Translations for Madrid in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
At one o’clock on the 16th I went to the Rue d’Antin. The voice of the auctioneer could be heard from the outer door. The rooms were crowded with people. There were all the celebrities of the most elegant impropriety, furtively examined by certain great ladies who had again seized the opportunity of the sale in order to be able to see, close at hand, women whom they might never have another occasion of meeting, and whom they envied perhaps in secret for their easy pleasures. The Duchess of F. elbowed Mlle. A., one of the most melancholy examples of our modern courtesan; the Marquis de T. hesitated over a piece of furniture the price of which was being run high by Mme. D., the most elegant and famous adulteress of our time; the Duke of Y., who in Madrid is supposed to be ruining himself in Paris, and in Paris to be ruining himself in Madrid, and who, as a matter of fact, never even reaches the limit of his income, talked with Mme. M., one of our wittiest story-tellers, who from time to time writes what she says and signs what she writes, while at the same time he exchanged confidential glances with Mme. de N., a fair ornament of the Champs-Elysees, almost always dressed in pink or blue, and driving two big black horses which Tony had sold her for 10,000 francs, and for which she had paid, after her fashion; finally, Mlle. R., who makes by her mere talent twice what the women of the world make by their dot and three times as much as the others make by their amours, had come, in spite of the cold, to make some purchases, and was not the least looked at among the crowd. Le 16, à une heure, je me rendis rue d'Antin. De la porte cochère on entendait crier les commissaires-priseurs. L'appartement était plein de curieux. Il y avait là toutes les célébrités du vice élégant, sournoisement examinées par quelques grandes dames qui avaient pris encore une fois le prétexte de la vente, pour avoir le droit de voir de près des femmes avec qui elles n'auraient jamais eu occasion de se retrouver, et dont elles enviaient peut-être en secret les faciles plaisirs. Madame la duchesse de F... coudoyait Mademoiselle A..., une des plus tristes épreuves de nos courtisanes modernes; madame la marquise de T... hésitait pour acheter un meuble sur lequel enchérissait madame D..., la femme adultère la plus élégante et la plus connue de notre époque; le duc d'Y... qui passe à Madrid pour se ruiner à Paris, à Paris pour se ruiner à Madrid, et qui, somme toute, ne dépense même pas son revenu, tout en causant avec madame M..., une de nos plus spirituelles conteuses qui veut bien de temps en temps écrire ce qu'elle dit et signer ce qu'elle écrit, échangeait des regards confidentiels avec madame de N..., cette belle promeneuse des Champs-Elysées, presque toujours vêtue de rose ou de bleu et qui fait traîner sa voiture par deux grands chevaux noirs, que Tony lui a vendus dix mille francs et... qu'elle lui a payés; enfin mademoiselle R... qui se fait avec son seul talent le double de ce que les femmes du monde se font avec leur dot, et le triple de ce que les autres se font avec leurs amours, était, malgré le froid, venue faire quelques emplettes, et ce n'était pas elle qu'on regardait le moins.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils