Translations for Pompey in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
Now, we must have badly painted the character of our adventure seeker, or our readers must have already perceived that d'Artagnan was not an ordinary man; therefore, while repeating to himself that his death was inevitable, he did not make up his mind to die quietly, as one less courageous and less restrained might have done in his place. He reflected upon the different characters of men he had to fight with, and began to view his situation more clearly. He hoped, by means of loyal excuses, to make a friend of Athos, whose lordly air and austere bearing pleased him much. He flattered himself he should be able to frighten Porthos with the adventure of the baldric, which he might, if not killed upon the spot, relate to everybody a recital which, well managed, would cover Porthos with ridicule. As to the astute Aramis, he did not entertain much dread of him; and supposing he should be able to get so far, he determined to dispatch him in good style or at least, by hitting him in the face, as Caesar recommended his soldiers do to those of Pompey, to damage forever the beauty of which he was so proud. Au reste, ou nous avons mal exposé le caractère de notre chercheur d’aventures, ou notre lecteur a déjà dû remarquer que d’Artagnan n’était point un homme ordinaire. Aussi, tout en se répétant à lui-même que sa mort était inévitable, il ne se résigna point à mourir tout doucettement comme un autre moins courageux et moins modéré que lui eût fait à sa place. Il réfléchit aux différents caractères de ceux avec lesquels il allait se battre, et commença à voir plus clair dans sa situation. Il espérait, grâce aux excuses loyales qu’il lui réservait, se faire un ami d’Athos, dont l’air grand seigneur et la mine austère lui agréaient fort. Il se flattait de faire peur à Porthos avec l’aventure du baudrier, qu’il pouvait, s’il n’était pas tué sur le coup, raconter à tout le monde, récit qui, poussé adroitement à l’effet, devait couvrir Porthos de ridicule ; enfin, quant au sournois Aramis, il n’en avait pas très grand-peur, et en supposant qu’il arrivât jusqu’à lui, il se chargeait de l’expédier bel et bien, ou du moins en le frappant au visage, comme César avait recommandé de faire aux soldats de Pompée, d’endommager à tout jamais cette beauté dont il était si fier.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas