Translations for come in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
Armand had not yet returned. I left word for him, begging him to come and see me as soon as he arrived, or to send me word where I could find him. Armand n'était pas de retour. Je laissai un mot chez lui, le priant de me venir voir dès son arrivée, ou de me faire dire où je pourrais le trouver.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“No; only if you had told me that you wanted to come to the Vaudeville to-night I could have got this box for you as well as he.” —Non; seulement si vous m'aviez dit désirer venir au Vaudeville ce soir, j'aurais pu vous envoyer cette loge aussi bien que lui.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Now, my wife came home four days ago, monsieur. One of her conditions was that she should come and see me twice a week; for, as I had the honor to tell you, my wife loves me dearly--my wife, then, came and confided to me that the queen at that very moment entertained great fears." — Or, ma femme est venue il y a quatre jours, monsieur ; une de ses conditions était qu’elle devait me venir voir deux fois la semaine ; car, ainsi que j’ai eu l’honneur de vous le dire, ma femme m’aime beaucoup ; ma femme est donc venue et m’a confié que la reine, en ce moment-ci, avait de grandes craintes.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Yes, to make him come to Paris; and when once come to Paris, to draw him into some snare." — Oui, pour le faire venir à Paris, et une fois venu à Paris, pour l’attirer dans quelque piége.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
I lived at that time in the Rue de Provence; I followed the Rue du Mont-Blanc, crossed the Boulevard, went up the Rue Louis-le-Grand, the Rue de Port-Mahon, and the Rue d’Antin. I looked up at Marguerite’s windows. There was a light. I rang. I asked the porter if Mlle. Gautier was at home. He replied that she never came in before eleven or a quarter past eleven. I looked at my watch. I intended to come quite slowly, and I had come in five minutes from the Rue de Provence to the Rue d’Antin. Je demeurais à cette époque rue de Provence: je suivis la rue du Mont-Blanc, je traversai le boulevard, pris la rue Louis-le-Grand, la rue de Port-Mahon, et la rue d'Antin. Je regardai aux fenêtres de Marguerite. Il y avait de la lumière. Je sonnai. Je demandai au portier si mademoiselle Gautier était chez elle. Il me répondit qu'elle ne rentrait jamais avant onze heures ou onze heures un quart. Je regardai ma montre. J'avais cru venir tout doucement, je n'avais mis que cinq minutes pour venir de la rue de Provence chez Marguerite.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“We no longer belong to ourselves. We are no longer beings, but things. We stand first in their self-esteem, last in their esteem. We have women who call themselves our friends, but they are friends like Prudence, women who were once kept and who have still the costly tastes that their age does not allow them to gratify. Then they become our friends, or rather our guests at table. Their friendship is carried to the point of servility, never to that of disinterestedness. Never do they give you advice which is not lucrative. It means little enough to them that we should have ten lovers extra, as long as they get dresses or a bracelet out of them, and that they can drive in our carriage from time to time or come to our box at the theatre. They have our last night’s bouquets, and they borrow our shawls. They never render us a service, however slight, without seeing that they are paid twice its value. You yourself saw when Prudence brought me the six thousand francs that I had asked her to get from the duke, how she borrowed five hundred francs, which she will never pay me back, or which she will pay me in hats, which will never be taken out of their boxes. «Nous ne nous appartenons plus. Nous ne sommes plus des êtres, mais des choses. Nous sommes les premières dans leur amour-propre, les dernières dans leur estime. Nous avons des amies, mais ce sont des amies comme Prudence, des femmes jadis entretenues qui ont encore des goûts de dépense que leur âge ne leur permet plus. Alors elles deviennent nos amies ou plutôt nos commensales. Leur amitié va jusqu'à la servitude, jamais jusqu'au désintéressement. Jamais elles ne vous donneront qu'un conseil lucratif. Peu leur importe que nous ayons dix amants de plus, pourvu qu'elles y gagnent des robes ou un bracelet, et qu'elles puissent de temps en temps se promener dans notre voiture et venir au spectacle dans notre loge. Elles ont nos bouquets de la veille et nous empruntent nos cachemires. Elles ne nous rendent jamais un service, si petit qu'il soit, sans se le faire payer le double de ce qu'il vaut. Tu l'as vu toi-même le soir où Prudence m'a apporté six mille francs que je l'avais priée d'aller demander pour moi au duc, elle m'a emprunté cinq cents francs qu'elle ne me rendra jamais ou qu'elle me payera en chapeaux qui ne sortiront pas de leurs cartons.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Did you not promise me that I might come and see you to-day?” —Ne m'avez-vous pas permis de venir vous faire visite aujourd'hui?
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“But what the devil are you doing there?” cried Prudence, who had come in without our bearing her, and who now stood just inside the door, with her hair half coming down and her dress undone. I recognised the hand of Gaston. —Ah çà! que diable faites-vous là? cria Prudence, que nous n'avions pas entendue venir, et qui apparaissait sur le seuil de la chambre avec ses cheveux à moitié défaits et sa robe ouverte. Je reconnaissais dans ce désordre la main de Gaston.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Armand,” continued my father, “in the name of your sainted mother, abandon this life, which you will forget more easily than you think. You are tied to it by an impossible theory. You are twenty-four; think of the future. You can not always love this woman, who also can not always love you. You both exaggerate your love. You put an end to your whole career. One step further, and you will no longer be able to leave the path you have chosen, and you will suffer all your life for what you have done in your youth. Leave Paris. Come and stay for a month or two with your sister and me. Rest in our quiet family affection will soon heal you of this fever, for it is nothing else. Meanwhile, your mistress will console herself; she will take another lover; and when you see what it is for which you have all but broken with your father, and all but lost his love, you will tell me that I have done well to come and seek you out, and you will thank me for it. Come, you will go with me, Armand, will you not?” I felt that my father would be right if it had been any other woman, but I was convinced that he was wrong with regard to Marguerite. Nevertheless, the tone in which he said these last words was so kind, so appealing, that I dared not answer. —Armand, continua mon père, au nom de votre sainte mère, croyez-moi, renoncez à cette vie que vous oublierez plus vite que vous ne pensez, et à laquelle vous enchaîne une théorie impossible. Vous avez vingt-quatre ans, songez à l'avenir. Vous ne pouvez pas aimer toujours cette femme qui ne vous aimera pas toujours non plus. Vous vous exagérez tous deux votre amour. Vous vous fermez toute carrière. Un pas de plus et vous ne pourrez plus quitter la route où vous êtes, et vous aurez, toute votre vie, le remords de votre jeunesse. Partez, venez passer un mois ou deux auprès de votre sœur. Le repos et l'amour pieux de la famille vous guériront vite de cette fièvre, car ce n'est pas autre chose. «Pendant ce temps, votre maîtresse se consolera; elle prendra un autre amant, et quand vous verrez pour qui vous avez failli vous brouiller avec votre père et perdre son affection, vous me direz que j'ai bien fait de venir vous chercher, et vous me bénirez. «Allons, tu partiras, n'est-ce pas, Armand? Je sentais que mon père avait raison pour toutes les femmes, mais j'étais convaincu qu'il n'avait pas raison pour Marguerite. Cependant le ton dont il m'avait dit ses dernières paroles était si doux, si suppliant que je n'osais lui répondre.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“By allowing me to come and see you from time to time.” —Me permettre de venir de temps en temps vous voir.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
When the chancellor had opened and shut twenty times the drawers of the secretaries, it became necessary, whatever hesitation he might experience--it became necessary, I say, to come to the conclusion of the affair; that is to say, to search the queen herself. The chancellor advanced, therefore, toward Anne of Austria, and said with a very perplexed and embarrassed air, "And now it remains for me to make the principal examination." Quand le chancelier eut rouvert et refermé vingt fois les tiroirs du secrétaire, il fallut bien, quelque hésitation qu’il éprouvât, il fallut bien, dis-je, en venir à la conclusion de l’affaire, c’est-à-dire à fouiller la reine elle-même. Le chancelier s’avança donc vers Anne d’Autriche, et d’un ton très perplexe et d’un air fort embarrassé : — Et maintenant, dit-il, il me reste à faire la perquisition principale.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“I should say, on the contrary, that he has only come with you because it would have bored you to come here by yourself.” —Je crois plutôt que monsieur vous a accompagné ici parce que cela vous ennuyait d'y venir seul.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Ah, the others!" returned John. "They're a nice lot, ain't they? You say this cruise is bungled. Ah! by gum, if you could understand how bad it's bungled, you would see! We're that near the gibbet that my neck's stiff with thinking on it. You've seen 'em, may be, hanged in chains, birds about 'em, seamen p'inting 'em out as they go down with the tide. "Who's that?' saysone. "That! Why, that's John Silver. I knowed him well," says another. "And you can hear the chains a-jangle as you go about and reach for the other buoy. Now, that's about where we are, every mother's son of us, thanks to him, and Hands, and Anderson, and other ruination fools of you. And if you want to know about number four, and that boy, why, shiver my timbers! isn't he a hostage? Are we going to waste a hostage? No, not us; he might be our last chance, and I shouldn't wonder. Kill that boy? not me, mates! And number three? Ah, well, there's a deal to say to number three. May be you don't count it nothing to have a real college doctor come to see you every day—you, John, with your head broke—or you, George Merry, that had the ague shakes upon you not six hours agone, and has your eyes the color of lemon peel to this same moment on the clock? And maybe, perhaps, you didn't know there was a consort coming, either? But there is, and not so long till then; and we'll see who'll be glad to have a hostage when it comes to that. And as for number two, and why I made a bargain—well, you came crawling on your knees to me to make it—on your knees you came, you was that down-hearted—and you'd have starved, too, if I hadn't—but that's a trifle! you look there—that's why!" — Ah ! oui ! les autres ! C’est du joli, n’est-ce pas ? Vous dites que cette croisière est gâchée ? Ah ! crédié ! si vous pouviez comprendre à quel point elle l’est !… Nous sommes si près du gibet que mon cou se roidit déjà rien que d’y penser. Vous les avez vus, hein, les pendus, enchaînés, avec des oiseaux voltigeant tout autour… et les marins qui les montrent du doigt en descendant la rivière avec la marée… « Qui est celui-là ? » dit l’un. « Celui-là ? Tiens ! mais c’est Long John Silver ; je l’ai bien connu », dit un autre… Et l’on entend le cliquetis des chaînes quand on passe et qu’on arrive à la bouée suivante. Or donc, voilà à peu près où nous en sommes, nous tous fils de nos mères, grâce à lui, et à Hands, et à Anderson, et autres calamiteux imbéciles d’entre vous. Et si vous voulez savoir ce qui concerne le numéro quatre, et ce garçon, mais, mort de mes os ! n’est-il pas un otage ? Allons-nous donc perdre un otage ? Non, jamais : il serait notre dernier espoir que ça ne m’étonnerait pas. Tuer ce garçon ? jamais, camarades ! Et le numéro trois ? Eh bien, il y a beaucoup à dire, sur le numéro trois. Peut-être ne comptez-vous pour rien d’avoir un vrai docteur d’université qui vous visite chaque jour… toi, John, avec ton crâne fêlé… ou bien toi, George Merry, qui tremblais la fièvre il n’y a pas six heures, et qui à la présente minute as encore les yeux couleur peau de citron ? Et peut-être ne savez-vous pas non plus qu’il doit venir une conserve, hein ? Mais cela est ; vous n’aurez pas longtemps à l’attendre, et nous verrons alors qui sera bien aise d’avoir un otage lorsqu’on en sera là. Et quant au numéro deux : pourquoi j’ai conclu un marché… mais vous m’avez supplié à genoux de le faire… car vous vous traîniez à genoux, tant vous étiez abattus… et vous seriez morts de faim, d’ailleurs, si je ne l’avais pas fait… Mais ce n’est là qu’une bagatelle ! tenez, regardez : voilà ma vraie raison !
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
“Shall I ask her to come over to our box?” —Voulez-vous que je lui dise de venir dans notre loge?
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
At last I began to believe that she would come to see me herself; but hour followed hour, and she did not come. J'en arrivai à croire qu'elle allait venir elle-même chez moi, mais les heures se passèrent et elle ne vint pas.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
And now I began to feel that I was neglecting my business; that since I had been so foolhardy as to come ashore with these desperadoes, the least I could do was to overhear them at their councils, and that my plain and obvious duty was to draw as close as I could manage, under the favorable ambush of the crouching trees. Et alors, je m’aperçus que je négligeais mon rôle. Puisque j’avais eu la folle témérité de venir à terre avec ces sacripants, le moins que je pusse faire était de les espionner dans leurs conciliabules, et mon devoir clair et évident était de m’approcher d’eux autant que possible, sous le couvert propice des arbustes rampants.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
"And now," added the doctor, "Jim may come on board with us, may he not?" — Et maintenant, conclut le docteur, Jim va venir à bord avec nous, n’est-ce pas ?
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
Probably she had found a purchaser for her furniture, and she had gone to Paris to conclude the bargain. She did not wish to tell me beforehand, for she knew that, though I had consented to it, the sale, so necessary to our future happiness, was painful to me, and she feared to wound my self-respect in speaking to me about it. She would rather not see me till the whole thing was done, and that was evidently why Prudence was expecting her when she let out the secret. Marguerite could not finish the whole business to-day, and was staying the night with Prudence, or perhaps she would come even now, for she must know bow anxious I should be, and would not wish to leave me in that condition. But, if so, why those tears? No doubt, despite her love for me, the poor girl could not make up her mind to give up all the luxury in which she had lived until now, and for which she had been so envied, without crying over it. I was quite ready to forgive her for such regrets. I waited for her impatiently, that I might say to her, as I covered her with kisses, that I had guessed the reason of her mysterious absence. —La pauvre fille aura trouvé un acquéreur pour son mobilier, et elle sera allée à Paris pour conclure. Elle n'aura pas voulu me prévenir, car elle sait que, quoique je l'accepte, cette vente, nécessaire à notre bonheur à venir, m'est pénible, et elle aura craint de blesser mon amour-propre et ma délicatesse en m'en parlant. Elle aime mieux reparaître seulement quand tout sera terminé. Prudence l'attendait évidemment pour cela, et s'est trahie devant moi: Marguerite n'aura pu terminer son marché aujourd'hui, et elle couche chez elle, ou peut-être même va-t-elle arriver tout à l'heure, car elle doit se douter de mon inquiétude et ne voudra certainement pas m'y laisser. Mais alors, pourquoi ces larmes? Sans doute, malgré son amour pour moi, la pauvre fille n'aura pu se résoudre sans pleurer à abandonner le luxe au milieu duquel elle a vécu jusqu'à présent et qui la faisait heureuse et enviée. Je pardonnais bien volontiers ces regrets à Marguerite. Je l'attendais impatiemment pour lui dire, en la couvrant de baisers, que j'avais deviné la cause de sa mystérieuse absence.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Probably she had found a purchaser for her furniture, and she had gone to Paris to conclude the bargain. She did not wish to tell me beforehand, for she knew that, though I had consented to it, the sale, so necessary to our future happiness, was painful to me, and she feared to wound my self-respect in speaking to me about it. She would rather not see me till the whole thing was done, and that was evidently why Prudence was expecting her when she let out the secret. Marguerite could not finish the whole business to-day, and was staying the night with Prudence, or perhaps she would come even now, for she must know bow anxious I should be, and would not wish to leave me in that condition. But, if so, why those tears? No doubt, despite her love for me, the poor girl could not make up her mind to give up all the luxury in which she had lived until now, and for which she had been so envied, without crying over it. I was quite ready to forgive her for such regrets. I waited for her impatiently, that I might say to her, as I covered her with kisses, that I had guessed the reason of her mysterious absence. —La pauvre fille aura trouvé un acquéreur pour son mobilier, et elle sera allée à Paris pour conclure. Elle n'aura pas voulu me prévenir, car elle sait que, quoique je l'accepte, cette vente, nécessaire à notre bonheur à venir, m'est pénible, et elle aura craint de blesser mon amour-propre et ma délicatesse en m'en parlant. Elle aime mieux reparaître seulement quand tout sera terminé. Prudence l'attendait évidemment pour cela, et s'est trahie devant moi: Marguerite n'aura pu terminer son marché aujourd'hui, et elle couche chez elle, ou peut-être même va-t-elle arriver tout à l'heure, car elle doit se douter de mon inquiétude et ne voudra certainement pas m'y laisser. Mais alors, pourquoi ces larmes? Sans doute, malgré son amour pour moi, la pauvre fille n'aura pu se résoudre sans pleurer à abandonner le luxe au milieu duquel elle a vécu jusqu'à présent et qui la faisait heureuse et enviée. Je pardonnais bien volontiers ces regrets à Marguerite. Je l'attendais impatiemment pour lui dire, en la couvrant de baisers, que j'avais deviné la cause de sa mystérieuse absence.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Well, then, it won’t do for you to come and be pettish here because you have seen a man in my box.” —Alors, il ne faut pas venir nous faire la moue ici parce que vous avez vu un homme dans ma loge.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Doubtless Marguerite perceived the impression made on me by the presence of this man, for she smiled to me again, and, turning her back to the count, appeared to be very attentive to the play. At the third entr’acte she turned and said two words: the count left the box, and Marguerite beckoned to me to come to her. Sans doute, Marguerite s'apercevait de l'impression produite sur moi par la présence de cet homme dans sa loge, car elle me sourit de nouveau, et tournant le dos au comte, elle parut fort attentive à la pièce. Au troisième entr'acte, elle se retourna, dit deux mots; le comte quitta la loge, et Marguerite me fit signe de venir la voir.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Me, sir. These poor lads have chosen me cap'n, after your desertion, sir"—laying a particular emphasis upon the word "desertion." "We're willing to submit, if we can come to terms, and no bones about it. All I ask is your word, Cap'n Smollett, to let me safe and sound out of this here stockade, and one minute to get out o' shot before a gun is fired." — C’est moi, monsieur. Ces pauves gars m’ont choisi comme capitaine, monsieur, après votre désertion. (Et il appuya fortement sur le mot.) Nous sommes prêts à nous soumettre sans barguigner, si nous pouvons en venir à un accord avec vous. Tout ce que je vous demande, capitaine Smollett, c’est votre parole de me laisser sortir sain et sauf de cette palanque et de me donner une minute pour me mettre hors de portée, avant d’ouvrir le feu.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
“He will come for her?” —Il va donc venir la prendre?
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils