Translations for contempt in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
The constant sight of dissipation, precocious dissipation, in addition to her constant sickly state, had extinguished in her mind all the knowledge of good and evil that God had perhaps given her, but that no one had ever thought of developing. I shall always remember her, as she passed along the boulevards almost every day at the same hour, accompanied by her mother as assiduously as a real mother might have accompanied her daughter. I was very young then, and ready to accept for myself the easy morality of the age. I remember, however, the contempt and disgust which awoke in me at the sight of this scandalous chaperoning. Her face, too, was inexpressibly virginal in its expression of innocence and of melancholy suffering. She was like a figure of Resignation. La vue continuelle de la débauche, une débauche précoce, alimentée par l'état continuellement maladif de cette fille, avait éteint en elle l'intelligence du mal et du bien que Dieu lui avait donnée peut-être, mais qu'il n'était venu à l'idée de personne de développer. Je me rappellerai toujours cette jeune fille, qui passait sur les boulevards presque tous les jours à la même heure. Sa mère l'accompagnait sans cesse, aussi assidûment qu'une vraie mère eût accompagné sa vraie fille. J'étais bien jeune alors, et prêt à accepter pour moi la facile morale de mon siècle. Je me souviens cependant que la vue de cette surveillance scandaleuse m'inspirait le mépris et le dégoût. Joignez à cela que jamais visage de vierge n'eut un pareil sentiment d'innocence, une pareille expression de souffrance mélancolique. On eût dit une figure de la Résignation.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"A woman of such inferior condition! Can you believe so?" said Porthos, protruding his lips with contempt. — Une femme de condition si inférieure ! vous croyez, d’Artagnan ? fit Porthos en allongeant les lèvres avec mépris.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Strike me!" said the other, turning on his heels, and surveying the young man with as much astonishment as contempt. "Why, my good fellow, you must be mad!" Then, in a suppressed tone, as if speaking to himself, "This is annoying," continued he. "What a godsend this would be for his Majesty, who is seeking everywhere for brave fellows to recruit for his Musketeers!" — Me frapper, moi ! dit l’autre en pivotant sur ses talons et en regardant le jeune homme avec autant d’étonnement que de mépris. Allons donc, mon cher, vous êtes fou ! Puis, à demi-voix, et comme s’il se fût parlé à lui-même : quelle trouvaille pour Sa Majesté, qui cherche des braves de tous côtés pour recruter ses mousquetaires ! Il est fâcheux, continua-t-il, qu’elle ne connaisse pas celui-là.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
Anne of Austria was then twenty-six or twenty-seven years of age; that is to say, she was in the full splendor of her beauty. Her carriage was that of a queen or a goddess; her eyes, which cast the brilliancy of emeralds, were perfectly beautiful, and yet were at the same time full of sweetness and majesty. Her mouth was small and rosy; and although her underlip, like that of all princes of the House of Austria, protruded slightly beyond the other, it was eminently lovely in its smile, but as profoundly disdainful in its contempt. Her skin was admired for its velvety softness; her hands and arms were of surpassing beauty, all the poets of the time singing them as incomparable. Lastly, her hair, which, from being light in her youth, had become chestnut, and which she wore curled very plainly, and with much powder, admirably set off her face, in which the most rigid critic could only have desired a little less rouge, and the most fastidious sculptor a little more fineness in the nose. Anne d’Autriche avait alors vingt-six ou vingt-sept ans, c’est-à-dire qu’elle se trouvait dans tout l’éclat de sa beauté. Sa démarche était celle d’une reine ou d’une déesse ; ses yeux, qui jetaient des reflets d’émeraude, étaient parfaitement beaux, et tout à la fois pleins de douceur et de majesté. Sa bouche était petite et vermeille, et quoique sa lèvre inférieure, comme celle des princes de la maison d’Autriche, avançât légèrement sur l’autre, elle était éminemment gracieuse dans le sourire, mais aussi profondément dédaigneuse dans le mépris. Sa peau était citée pour sa douceur et son velouté, sa main et ses bras étaient d’une beauté surprenante, et tous les poètes du temps les chantaient comme incomparables. Enfin ses cheveux, qui, de blonds qu’ils étaient dans sa jeunesse, étaient devenus châtains, et qu’elle portait frisés très clair et avec beaucoup de poudre, encadraient admirablement son visage, auquel le censeur le plus rigide n’eût pu souhaiter qu’un peu moins de rouge, et le statuaire le plus exigeant qu’un peu plus de finesse dans le nez.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas