Translations for deaf in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
Then from Manon and Marguerite my mind wandered to those whom I knew, and whom I saw singing along the way which led to just such another death. Poor souls! if it is not right to love them, is it not well to pity them? You pity the blind man who has never seen the daylight, the deaf who has never heard the harmonies of nature, the dumb who has never found a voice for his soul, and, under a false cloak of shame, you will not pity this blindness of heart, this deafness of soul, this dumbness of conscience, which sets the poor afflicted creature beside herself and makes her, in spite of herself, incapable of seeing what is good, of bearing the Lord, and of speaking the pure language of love and faith. Puis de Manon et de Marguerite ma pensée se reportait sur celles que je connaissais et que je voyais s'acheminer en chantant vers une mort presque toujours invariable. Pauvres créatures! Si c'est un tort de les aimer, c'est bien le moins qu'on les plaigne. Vous plaignez l'aveugle qui n'a jamais vu les rayons du jour, le sourd qui n'a jamais entendu les accords de la nature, le muet qui n'a jamais pu rendre la voix de son âme, et, sous un faux prétexte de pudeur, vous ne voulez pas plaindre cette cécité du cœur, cette surdité de l'âme, ce mutisme de la conscience qui rendent folle la malheureuse affligée et qui la font malgré elle incapable de voir le bien, d'entendre le Seigneur et de parler la langue pure de l'amour et de la foi.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
As for Aramis, of whom we believe we have sufficiently explained the character--a character which, like that of his lackey was called Bazin. Thanks to the hopes which his master entertained of someday entering into orders, he was always clothed in black, as became the servant of a churchman. He was a Berrichon, thirty-five or forty years old, mild, peaceable, sleek, employing the leisure his master left him in the perusal of pious works, providing rigorously for two a dinner of few dishes, but excellent. For the rest, he was dumb, blind, and deaf, and of unimpeachable fidelity. Quant à Aramis, dont nous croyons avoir suffisamment exposé le caractère, caractère du reste que, comme celui de ses compagnons, nous pourrons suivre dans son développement, son laquais s’appelait Bazin. Grâce à l’espérance qu’avait son maître d’entrer un jour dans les ordres, il était toujours vêtu de noir, comme doit l’être le serviteur d’un homme d’Église. C’était un Berrichon de trente-cinq à quarante ans, doux, paisible, grassouillet, occupant à lire de pieux ouvrages les loisirs que lui laissait son maître, faisant, à la rigueur pour deux un dîner de peu de plats, mais excellent. Au reste, muet, aveugle, sourd et d’une fidélité à toute épreuve.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
Very stealthily we heard it pass along until it died away in the distance. Then the baronet gently opened his door, and we set out in pursuit. Already our man had gone round the gallery, and the corridor was all in darkness. Softly we stole along until we had come into the other wing. We were just in time to catch a glimpse of the tall, black-bearded figure, his shoulders rounded, as he tip-toed down the passage. Then he passed through the same door as before, and the light of the candle framed it in the darkness and shot one single yellow beam across the gloom of the corridor. We shuffled cautiously towards it, trying every plank before we dared to put our whole weight upon it. We had taken the precaution of leaving our boots behind us, but, even so, the old boards snapped and creaked beneath our tread. Sometimes it seemed impossible that he should fail to hear our approach. However, the man is fortunately rather deaf, and he was entirely preoccupied in that which he was doing. When at last we reached the door and peeped through we found him crouching at the window, candle in hand, his white, intent face pressed against the pane, exactly as I had seen him two nights before. « Un pas glissait furtivement le long du corridor. « Quand il se fut évanoui dans le lointain, le baronnet, très doucement, ouvrit la porte et nous sortîmes de la chambre. « Notre homme avait déjà dépassé le balcon du hall. « Le corridor était plongé dans les ténèbres. Nous le parcourûmes jusqu’à l’autre aile du château. « Nous arrivâmes assez tôt pour apercevoir la silhouette d’un homme barbu, de haute taille, qui marchait sur la pointe des pieds, en courbant les épaules. « Il poussa la même porte que l’avant-veille. La lueur de la bougie en dessina lumineusement l’encadrement et piqua d’un rayon de clarté jaune l’obscurité du corridor. « Avec des précautions infinies, nous nous dirigeâmes de ce côté, tâtant du pied chaque lame du parquet avant de lui confier le poids de notre corps. « Nous avions au préalable enlevé nos bottines ; mais le plancher vermoulu fléchissait et criait sous nos pas. « Parfois il nous semblait impossible que Barrymore ne nous entendît pas. « Fort heureusement, il est sourd, et la préoccupation de ne pas faire de bruit l’absorbait entièrement. « Nous atteignîmes enfin la porte derrière laquelle il avait disparu et nous jetâmes un coup d’œil dans la chambre. « Barrymore, une bougie à la main, était presque collé contre la fenêtre et regardait attentivement à travers les carreaux — dans la même position que les nuits précédentes.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle