Translations for do in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
“All the young men of twenty or thirty thousand francs a year at Paris, that is to say, men who have only just enough to live on in the society in which they mix, know perfectly well, when they are the lovers of a woman like Marguerite, that she could not so much as pay for the rooms she lives in and the servants who wait upon her with what they give her. They do not say to her that they know it; they pretend not to see anything, and when they have had enough of it they go their way. If they have the vanity to wish to pay for everything they get ruined, like the fools they are, and go and get killed in Africa, after leaving a hundred thousand francs of debt in Paris. Do you think a woman is grateful to them for it? Far from it. She declares that she has sacrificed her position for them, and that while she was with them she was losing money. These details seem to you shocking? Well, they are true. You are a very nice fellow; I like you very much. I have lived with these women for twenty years; I know what they are worth, and I don’t want to see you take the caprice that a pretty girl has for you too seriously. «Tous ces jeunes gens ayant vingt ou trente mille livres de rente à Paris, c'est-à-dire à peine de quoi vivre dans le monde qu'ils fréquentent, savent très bien, quand ils sont les amants d'une femme comme Marguerite, qu'elle ne pourrait pas seulement payer son appartement et ses domestiques avec ce qu'ils lui donnent. Ils ne lui disent pas qu'ils le savent, ils ont l'air de ne rien voir, et quand ils en ont assez ils s'en vont. S'ils ont la vanité de suffire à tout, ils se ruinent comme des sots et vont se faire tuer en Afrique après avoir laissé cent mille francs de dettes à Paris. Croyez-vous que la femme leur en soit reconnaissante? Pas le moins du monde. Au contraire, elle dit qu'elle leur a sacrifié sa position et que, pendant qu'elle était avec eux, elle perdait de l'argent. Ah! vous trouvez tous ces détails honteux, n'est-ce pas? Ils sont vrais. Vous êtes un charmant garçon, que j'aime de tout mon cœur; je vis depuis vingt ans parmi les femmes entretenues, je sais ce qu'elles sont et ce qu'elles valent, et je ne voudrais pas vous voir prendre au sérieux le caprice qu'une jolie fille a pour vous.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“You are very good! What would you have of me? I can not sleep. I must amuse myself a little. And then, girls like me, what does it matter, one more or less? The doctors tell me that the blood I spit up comes from my throat; I pretend to believe them; it is all I can do for them.” —Vous êtes bien bon! Que voulez-vous? Je ne puis pas dormir, il faut bien que je me distraie un peu. Et puis des filles comme moi, une de plus ou de moins, qu'est-ce que cela fait? Les médecins me disent que le sang que je crache vient des bronches; j'ai l'air de les croire, c'est tout ce que je puis faire pour eux.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Do, re, mi, do, re, fa, mi, re; that is what I can not do. Over again.” —Ré, mi, ré, do, ré, fa, mi, ré, voilà ce que je ne puis faire. Recommencez.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“My dear friend, you have done nothing. I am ill; I must go to bed, so you will be good enough to go. It is sickening not to be able to return at night without your making your appearance five minutes afterward. What is it you want? For me to be your mistress? Well, I have already told you a hundred times, No; you simply worry me, and you might as well go somewhere else. I repeat to you to-day, for the last time, I don’t want to have anything to do with you; that’s settled. Good-bye. Here’s Nanine coming in; she can light you to the door. Good-night.” —Mon cher ami, vous ne m'avez rien fait. Je suis malade, il faut que je me couche; ainsi vous allez me faire le plaisir de vous en aller. Cela m'assomme de ne pas pouvoir rentrer le soir sans vous voir apparaître cinq minutes après. Qu'est-ce que vous voulez? que je sois votre maîtresse? Eh bien, je vous ai déjà dit cent fois que non, que vous m'agacez horriblement, et que vous pouvez vous adresser autre part. Je vous le répète aujourd'hui pour la dernière fois: je ne veux pas de vous, c'est bien convenu; adieu. Tenez, voici Nanine qui rentre; elle va vous éclairer. Bonsoir.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Mighty pretty," said George."But how are we to get away with it, and us no ship?" Silver suddenly sprung up, and supporting himself with a hand against the wall: "Now, I give you warning, George," he cried. "One more word of your sauce, and I'll call you down and fight you. How? Why, how do I know? You had ought to tell me that—you and the rest, that lost me my schooner, with your interference, burn you! But not you, you can't; you ain't got the invention of a cockroach. But civil you can speak, and shall, George Merry, you may lay to that." — Très joli, dit George. Mais comment allons-nous faire pour emporter le trésor, sans navire ? D’un bond, Silver se leva, et s’appuyant au mur d’une main, s’écria : — Cette fois, je te préviens, George. Encore un mot de ce genre, et je te provoque au combat. Comment l’emporter ?… Eh ! est-ce que je sais, moi ? Ce serait plutôt à toi de me le dire… à toi et aux autres qui avez perdu ma goélette par vos manigances, le diable vous grille ! Mais tu en es bien incapable : tu n’as pas plus d’idées qu’un pou. Mais tu peux être poli, et tu le seras, George Merry, sois-en sûr.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
"In that case, monseigneur, do you believe the cardinal will be so kind as to tell me what has become of my wife?" — En ce cas, monseigneur, est-ce que vous croyez que le cardinal consentira à me dire ce qu’est devenue ma femme ?
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Well, I don't say no, do I?" growled the cockswain. "What I say is, when? That's what I say." — Eh ! est-ce que je te dis le contraire ? grommela le quartier-maître. Je demande seulement : pour quand est-ce ? Voilà tout ce que je dis.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
Now, we must have badly painted the character of our adventure seeker, or our readers must have already perceived that d'Artagnan was not an ordinary man; therefore, while repeating to himself that his death was inevitable, he did not make up his mind to die quietly, as one less courageous and less restrained might have done in his place. He reflected upon the different characters of men he had to fight with, and began to view his situation more clearly. He hoped, by means of loyal excuses, to make a friend of Athos, whose lordly air and austere bearing pleased him much. He flattered himself he should be able to frighten Porthos with the adventure of the baldric, which he might, if not killed upon the spot, relate to everybody a recital which, well managed, would cover Porthos with ridicule. As to the astute Aramis, he did not entertain much dread of him; and supposing he should be able to get so far, he determined to dispatch him in good style or at least, by hitting him in the face, as Caesar recommended his soldiers do to those of Pompey, to damage forever the beauty of which he was so proud. Au reste, ou nous avons mal exposé le caractère de notre chercheur d’aventures, ou notre lecteur a déjà dû remarquer que d’Artagnan n’était point un homme ordinaire. Aussi, tout en se répétant à lui-même que sa mort était inévitable, il ne se résigna point à mourir tout doucettement comme un autre moins courageux et moins modéré que lui eût fait à sa place. Il réfléchit aux différents caractères de ceux avec lesquels il allait se battre, et commença à voir plus clair dans sa situation. Il espérait, grâce aux excuses loyales qu’il lui réservait, se faire un ami d’Athos, dont l’air grand seigneur et la mine austère lui agréaient fort. Il se flattait de faire peur à Porthos avec l’aventure du baudrier, qu’il pouvait, s’il n’était pas tué sur le coup, raconter à tout le monde, récit qui, poussé adroitement à l’effet, devait couvrir Porthos de ridicule ; enfin, quant au sournois Aramis, il n’en avait pas très grand-peur, et en supposant qu’il arrivât jusqu’à lui, il se chargeait de l’expédier bel et bien, ou du moins en le frappant au visage, comme César avait recommandé de faire aux soldats de Pompée, d’endommager à tout jamais cette beauté dont il était si fier.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Why should you not?" I cried. "It is women like you who brace men up. Give me a chance and see if I will take it! Besides, as you say, men ought to make their own chances, and not wait until they are given. Look at Clive—just a clerk, and he conquered India! By George! I'll do something in the world yet!" — Pourquoi pas ? m’écriai-je. Ce sont des femmes comme vous qui exaltent les hommes. Vous m’avez exalté. Offrez-moi une chance, vous verrez si je n’en profite pas sur l’heure ! Ou plutôt, non : les hommes, vous l’avez fort bien dit, ont à se faire leurs chances, sans les attendre de personne. Un simple commis, Cleeve, ne nous a-t-il pas conquis l’Inde ? By George  ! je prétends servir à quelque chose ici-bas !
The Lost World, by Arthur Conan Doyle Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle