Translations for estate in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
"Last week he hurled the local blacksmith over a parapet into a stream, and it was only by paying over all the money which I could gather together that I was able to avert another public exposure. He had no friends at all save the wandering gypsies, and he would give these vagabonds leave to encamp upon the few acres of bramble-covered land which represent the family estate, and would accept in return the hospitality of their tents, wandering away with them sometimes for weeks on end. He has a passion also for Indian animals, which are sent over to him by a correspondent, and he has at this moment a cheetah and a baboon, which wander freely over his grounds, and are feared by the villagers almost as much as their master. La semaine dernière, il jeta le forgeron par-dessus un parapet dans la rivière, et je n’ai pu éviter un scandale public qu’en donnant à la victime tout l’argent que j’ai pu réunir. Il n’a aucun ami, excepté les bohémiens : il permet à ces vagabonds de camper sur les quelques ares de terre couverts de ronces qui sont la seule propriété de la famille, et accepte en retour l’hospitalité sous leurs tentes, voyageant même avec eux pendant des semaines entières. Il a aussi une passion pour certaines bêtes indiennes qui lui sont envoyées par un correspondant, et il a dans ce moment-ci une panthère et un babouin qui se promènent en liberté, et sont redoutés des villageois presque autant que leur maître.
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
“No, Mr. Holmes, I have not. I’ve had no time, for it was only yesterday that I learned how matters stood. But in any case I feel that the money should go with the title and estate. That was my poor uncle’s idea. How is the owner going to restore the glories of the Baskervilles if he has not money enough to keep up the property? House, land, and dollars must go together.” — Non. Je n’en ai pas eu encore le temps, puisque je ne sais que d’hier comment sont les choses. Mais, en tout cas, les valeurs mobilières suivront le domaine et le titre…. Telle était la volonté de mon pauvre oncle. Comment le propriétaire de Baskerville, s’il était pauvre, entretiendrait-il le château ? Maison, terres, argent doivent se confondre sur la même tête.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle
“He would be the heir to the estate, because that is entailed. He would also be the heir to the money unless it were willed otherwise by the present owner, who can, of course, do what he likes with it.” — Certainement…. D’après l’ordre des successions, il hériterait du domaine. Il recueillerait également toutes les valeurs, à moins qu’il n’en soit décidé autrement par le précédent propriétaire qui peut, par testament, en disposer à son gré.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle
“We now come to that portion of his life which has proved to be of such intense interest to us. The fellow had evidently made inquiry, and found that only two lives intervened between him and a valuable estate. When he went to Devonshire his plans were, I believe, exceedingly hazy, but that he meant mischief from the first is evident from the way in which he took his wife with him in the character of his sister. The idea of using her as a decoy was clearly already in his mind, though he may not have been certain how the details of his plot were to be arranged. He meant in the end to have the estate, and he was ready to use any tool or run any risk for that end. His first act was to establish himself as near to his ancestral home as he could, and his second was to cultivate a friendship with Sir Charles Baskerville and with the neighbours. « Arrivons maintenant à la seule partie de sa vie qui nous offre vraiment de l’intérêt. Stapleton avait pris ses informations et savait que deux existences seulement le séparaient de la possession du riche domaine de Baskerville. « Je crois qu’à son arrivée dans le Devonshire, son plan était encore mal défini. Mais, dans le fait de présenter sa femme comme sa sœur, je trouve la preuve que, dès le début, il nourrissait déjà de mauvais desseins. Il avait l’intention manifeste de se servir d’elle comme d’un appât, quoiqu’il ne sût pas encore exactement de quelle façon il tendrait sa toile. « Il convoitait le domaine et, pour en venir à ses fins, il était prêt à employer tous les moyens, à courir tous les risques. D’abord il s’installa dans le plus immédiat voisinage de la demeure de ses ancêtres ; puis il tâcha de conquérir l’amitié de sir Charles Baskerville et de ses autres voisins.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle
"Really! Does it not strike you as a little singular that this McCarthy, who appears to have had little of his own, and to have been under such obligations to Turner, should still talk of marrying his son to Turner's daughter, who is, presumably, heiress to the estate, and that in such a very cocksure manner, as if it were merely a case of a proposal and all else would follow? It is the more strange, since we know that Turner himself was averse to the idea. The daughter told us as much. Do you not deduce something from that?" — Réellement ? Ne vous semble-t-il pas un peu singulier que ce M. Mac Carthy qui, sans fortune, semble avoir été l’obligé de M. Turner, parle encore de faire épouser à son fils la fille de Turner, héritière, sans doute, de la propriété, et cela d’une manière si péremptoire qu’il semble que ce soit chose faite ? Cela paraît d’autant plus étrange maintenant que nous savons que Turner lui-même était opposé à ce projet. Sa fille nous l’a dit. Cela ne vous suggère-t-il pas une nouvelle déduction ?
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
"My uncle Elias emigrated to America when he was a young man, and became a planter in Florida, where he was reported to have done very well. At the time of the war he fought in Jackson's army, and afterwards under Hood, where he rose to be a colonel. When Lee laid down his arms my uncle returned to his plantation, where he remained for three or four years. About 1869 or 1870 he came back to Europe, and took a small estate in Sussex, near Horsham. He had made a very considerable fortune in the States, and his reason for leaving them was his aversion to the negroes, and his dislike of the Republican policy in extending the franchise to them. He was a singular man, fierce and quick-tempered, very foul-mouthed when he was angry, and of a most retiring disposition. During all the years that he lived at Horsham I doubt if ever he set foot in the town. He had a garden and two or three fields round his house, and there he would take his exercise, though very often for weeks on end he would never leave his room. He drank a great deal of brandy, and smoked very heavily, but he would see no society, and did not want any friends, not even his own brother. Mon oncle Elias émigra tout jeune en Amérique et devint planteur en Floride, où il s’enrichit de son côté. Au moment de la guerre, il combattit dans l’armée de Jackson, puis, sous les ordres de Hood qui le nomma colonel. Quand Lee déposa les armes, mon oncle regagna sa plantation et y resta trois ou quatre ans. Vers 1869 ou 1870 il revint en Europe et acheta une propriété dans le comté de Sussex, près de Horsham. Il avait amassé une belle fortune en Amérique ; et s’il quitta le pays, ce fut à cause de la répulsion que lui inspiraient les noirs et de son aversion pour la République qui les avait affranchis. C’était un homme original, nerveux, violent, emporté même et d’humeur peu sociable. Pendant tout son séjour à Horsham, je doute qu’il ait consenti à aller une seule fois à la ville. Il avait un jardin et deux ou trois champs autour de sa maison ; c’est là qu’il prenait de l’exercice quand il ne restait pas des semaines entières dans sa chambre. Il buvait beaucoup d’eau-de-vie, il était gros fumeur, aimait la solitude et ne cherchait pas à avoir des amis ; son frère même paraissait lui être indifférent.
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
It was evident to us that all pursuit was in vain until the fog had lifted. Meanwhile we left Lestrade in possession of the house, while Holmes and I went back with the baronet to Baskerville Hall. The story of the Stapletons could no longer be withheld from him, but he took the blow bravely when he learned the truth about the woman whom he had loved. But the shock of the night’s adventures had shattered his nerves, and before morning he lay delirious in a high fever, under the care of Dr. Mortimer. The two of them were destined to travel together round the world before Sir Henry had become once more the hale, hearty man that he had been before he became master of that ill-omened estate. Il était évident que, pour commencer nos recherches, nous étions condamnés à attendre que le brouillard se fût dissipé. Nous confiâmes à Lestrade la garde de la maison et nous reprîmes, Holmes et moi, le chemin du château de Baskerville en compagnie du baronnet. Impossible de taire plus longtemps à sir Henry l’histoire des Stapleton… Il supporta courageusement le coup que lui porta au cœur la vérité sur la femme qu’il avait aimée. La secousse produite sur ses nerfs par les aventures de cette nuit déterminèrent une fièvre cérébrale. Le docteur Mortimer, accouru à son chevet, déclara qu’il ne faudrait rien moins qu’un long voyage autour du monde, pour rendre à sir Henry la vigueur et la santé qu’il possédait avant de devenir propriétaire de ce néfaste domaine.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle
"And one who was at home in the district, for the Pool can only be approached by the farm or by the estate, where strangers could hardly wander." — Et un homme qui habitait le district, car la mare n’est accessible que par la ferme ou par le domaine sur lequel les étrangers s’aventurent rarement.
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
"One day a gold convoy came down from Ballarat to Melbourne, and we lay in wait for it and attacked it. There were six troopers and six of us, so it was a close thing, but we emptied four of their saddles at the first volley. Three of our boys were killed, however, before we got the swag. I put my pistol to the head of the wagon-driver, who was this very man McCarthy. I wish to the Lord that I had shot him then, but I spared him, though I saw his wicked little eyes fixed on my face, as though to remember every feature. We got away with the gold, became wealthy men, and made our way over to England without being suspected. There I parted from my old pals, and determined to settle down to a quiet and respectable life. I bought this estate, which chanced to be in the market, and I set myself to do a little good with my money, to make up for the way in which I had earned it. I married, too, and though my wife died young, she left me my dear little Alice. Even when she was just a baby her wee hand seemed to lead me down the right path as nothing else had ever done. In a word, I turned over a new leaf, and did my best to make up for the past. All was going well when McCarthy laid his grip upon me. Un jour, un convoi d’or arriva de Ballarat se dirigeant sur Melbourne. Nous le guettâmes pour l’attaquer. Il était défendu par six cavaliers et nous étions six aussi, de sorte que c’était jouer serré ; mais quatre de nos adversaires tombèrent à la première décharge. Trois de nos boys furent tués cependant avant que nous ayons pu prendre le dessus. Je mis mon pistolet sous le nez du fourgonnier qui était précisément ce Mac Carthy. Plût à Dieu que je l’eusse tué alors ! Mais je l’épargnai, quoique je visse bien que ses mauvais yeux n’étaient fixés sur moi que pour bien graver mes traits dans sa mémoire. Cet or dont nous nous étions emparés fut le point de départ de notre fortune et nous revînmes en Angleterre sans avoir été soupçonnés. Là je me séparai de mes vieux camarades et je me décidai à me fixer enfin et à vivre d’une vie calme et respectable. J’achetai cette propriété que j’eus la chance de trouver à vendre et je cherchai à consacrer ma fortune au bien pour compenser la manière dont je l’avais acquise. Je me mariai aussi et, quoique ma femme mourût peu de temps après, elle me laissa une fille, ma chère petite Alice. Même tout enfant, sa main semblait me guider dans le bon chemin, où aucun autre ne m’eût mené. En un mot, je commençai une vie nouvelle et je fis de mon mieux pour réparer le passé. Tout alla bien jusqu’au moment où Mac Carthy parut.
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle