Translations for extreme in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
I, too, had not seen Armand again. I was beginning to ask myself if, when he had come to see me, the recent news of Marguerite’s death had not exaggerated his former love, and consequently his sorrow, and I said to myself that perhaps he had already forgotten the dead woman, and along with her his promise to come and see me again. This supposition would have seemed probable enough in most instances, but in Armand’s despair there had been an accent of real sincerity, and, going from one extreme to another, I imagined that distress had brought on an illness, and that my not seeing him was explained by the fact that he was ill, perhaps dead. | Moi non plus je n'avais pas revu Armand. J'en étais arrivé à me demander si, lorsqu'il s'était présenté chez moi, la nouvelle récente de la mort de Marguerite n'avait pas exagéré son amour d'autrefois et par conséquent sa douleur, et je me disais que peut-être il avait déjà oublié avec la morte la promesse faite de revenir me voir. Cette supposition eût été assez vraisemblable à l'égard d'un autre, mais il y avait eu dans le désespoir d'Armand des accents sincères, et passant d'un extrême à l'autre, je me figurai que le chagrin s'était changé en maladie, et que, si je n'avais pas de ses nouvelles, c'est qu'il était malade et peut-être bien mort. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
I, too, had not seen Armand again. I was beginning to ask myself if, when he had come to see me, the recent news of Marguerite’s death had not exaggerated his former love, and consequently his sorrow, and I said to myself that perhaps he had already forgotten the dead woman, and along with her his promise to come and see me again. This supposition would have seemed probable enough in most instances, but in Armand’s despair there had been an accent of real sincerity, and, going from one extreme to another, I imagined that distress had brought on an illness, and that my not seeing him was explained by the fact that he was ill, perhaps dead. | Moi non plus je n'avais pas revu Armand. J'en étais arrivé à me demander si, lorsqu'il s'était présenté chez moi, la nouvelle récente de la mort de Marguerite n'avait pas exagéré son amour d'autrefois et par conséquent sa douleur, et je me disais que peut-être il avait déjà oublié avec la morte la promesse faite de revenir me voir. Cette supposition eût été assez vraisemblable à l'égard d'un autre, mais il y avait eu dans le désespoir d'Armand des accents sincères, et passant d'un extrême à l'autre, je me figurai que le chagrin s'était changé en maladie, et que, si je n'avais pas de ses nouvelles, c'est qu'il était malade et peut-être bien mort. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
At bottom the character of M. Bonacieux was one of profound selfishness mixed with sordid avarice, the whole seasoned with extreme cowardice. The love with which his young wife had inspired him was a secondary sentiment, and was not strong enough to contend with the primitive feelings we have just enumerated. Bonacieux indeed reflected on what had just been said to him. | Le fond du caractère de maître Bonacieux était un profond égoïsme mêlé à une avarice sordide, le tout assaisonné d’une poltronnerie extrême. L’amour que lui avait inspiré sa jeune femme étant un sentiment tout secondaire ne pouvait lutter avec les sentiments primitifs que nous venons d’énumérer. Bonacieux réfléchit en effet sur ce qu’on venait de lui dire. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
At bottom the character of M. Bonacieux was one of profound selfishness mixed with sordid avarice, the whole seasoned with extreme cowardice. The love with which his young wife had inspired him was a secondary sentiment, and was not strong enough to contend with the primitive feelings we have just enumerated. Bonacieux indeed reflected on what had just been said to him. | Le fond du caractère de maître Bonacieux était un profond égoïsme mêlé à une avarice sordide, le tout assaisonné d’une poltronnerie extrême. L’amour que lui avait inspiré sa jeune femme étant un sentiment tout secondaire ne pouvait lutter avec les sentiments primitifs que nous venons d’énumérer. Bonacieux réfléchit en effet sur ce qu’on venait de lui dire. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
He stopped instantly. I could see by the workings of his face that he was trying to think, and the process was so slow and laborious that, in my new-found security, I laughed aloud. At last, with a swallow or two, he spoke, his face still wearing the same expression of extreme perplexity. In order to speak he had to take the dagger from his mouth, but, in all else, he remained unmoved. | Il s’arrêta aussitôt. Je vis au jeu de sa physionomie qu’il essayait de réfléchir, mais l’opération était si lente et laborieuse que, dans ma sécurité recouvrée, je poussai un éclat de rire. Enfin, et non sans ravaler préalablement sa salive, il parla, le visage encore empreint d’une extrême perplexité. Il dut, pour parler, ôter le poignard de sa bouche, mais il ne fit pas d’autre mouvement. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
He stopped instantly. I could see by the workings of his face that he was trying to think, and the process was so slow and laborious that, in my new-found security, I laughed aloud. At last, with a swallow or two, he spoke, his face still wearing the same expression of extreme perplexity. In order to speak he had to take the dagger from his mouth, but, in all else, he remained unmoved. | Il s’arrêta aussitôt. Je vis au jeu de sa physionomie qu’il essayait de réfléchir, mais l’opération était si lente et laborieuse que, dans ma sécurité recouvrée, je poussai un éclat de rire. Enfin, et non sans ravaler préalablement sa salive, il parla, le visage encore empreint d’une extrême perplexité. Il dut, pour parler, ôter le poignard de sa bouche, mais il ne fit pas d’autre mouvement. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
My friend was an enthusiastic musician, being himself not only a very capable performer, but a composer of no ordinary merit. All the afternoon he sat in the stalls wrapped in the most perfect happiness, gently waving his long, thin fingers in time to the music, while his gently smiling face and his languid, dreamy eyes were as unlike those of Holmes, the sleuth-hound, Holmes the relentless, keen-witted, ready-handed criminal agent, as it was possible to conceive. In his singular character the dual nature alternately asserted itself, and his extreme exactness and astuteness represented, as I have often thought, the reaction against the poetic and contemplative mood which occasionally predominated in him. The swing of his nature took him from extreme languor to devouring energy; and, as I knew well, he was never so truly formidable as when, for days on end, he had been lounging in his arm-chair amid his improvisations and his black-letter editions. Then it was that the lust of the chase would suddenly come upon him, and that his brilliant reasoning power would rise to the level of intuition, until those who were unacquainted with his methods would look askance at him as on a man whose knowledge was not that of other mortals. When I saw him that afternoon so enwrapped in the music at St. James's Hall I felt that an evil time might be coming upon those whom he had set himself to hunt down. | Mon ami Sherlock Holmes n’était pas seulement un musicien enthousiaste, mais aussi un habile exécutant et un compositeur émérite. Il passa tout l’après-midi dans sa stalle, battant doucement la mesure de ses doigts longs et effilés et jouissant du bonheur le plus complet. Son visage s’épanouissait en un sourire béat et ses yeux devenaient langoureux et rêveurs ; il ne restait plus rien de Holmes le fin limier, de Holmes l’implacable agent criminel que son esprit vif et perçant plaçait au premier rang parmi les policiers. La dualité de nature de ce singulier personnage s’affirmait tour à tour. À mon avis, l’extrême exactitude de Holmes et son astuce n’étaient que la réaction contre cet état d’âme poétique et contemplatif qui tendait à le dominer ; mais, grâce à l’élasticité de sa nature, il passait rapidement d’une langueur extrême à une énergie dévorante. J’avais remarqué qu’il n’était jamais plus vraiment redoutable que lorsqu’il était resté plusieurs jours étendu dans son fauteuil, au milieu de ses improvisations et de ses éditions gothiques. Tout à coup la passion de la chasse le saisissait, et, telle était alors la puissance de son raisonnement que le public ignorant de sa méthode prenait pour des intuitions ce qui n’était que de simples déductions, se demandant où cet homme avait pu puiser une science si supérieure à celle de ses semblables. En le voyant, cet après-midi, absorbé par la musique à Saint-James’Hall, je prévoyais que les gens qu’il allait traquer passeraient un mauvais quart d’heure. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
My friend was an enthusiastic musician, being himself not only a very capable performer, but a composer of no ordinary merit. All the afternoon he sat in the stalls wrapped in the most perfect happiness, gently waving his long, thin fingers in time to the music, while his gently smiling face and his languid, dreamy eyes were as unlike those of Holmes, the sleuth-hound, Holmes the relentless, keen-witted, ready-handed criminal agent, as it was possible to conceive. In his singular character the dual nature alternately asserted itself, and his extreme exactness and astuteness represented, as I have often thought, the reaction against the poetic and contemplative mood which occasionally predominated in him. The swing of his nature took him from extreme languor to devouring energy; and, as I knew well, he was never so truly formidable as when, for days on end, he had been lounging in his arm-chair amid his improvisations and his black-letter editions. Then it was that the lust of the chase would suddenly come upon him, and that his brilliant reasoning power would rise to the level of intuition, until those who were unacquainted with his methods would look askance at him as on a man whose knowledge was not that of other mortals. When I saw him that afternoon so enwrapped in the music at St. James's Hall I felt that an evil time might be coming upon those whom he had set himself to hunt down. | Mon ami Sherlock Holmes n’était pas seulement un musicien enthousiaste, mais aussi un habile exécutant et un compositeur émérite. Il passa tout l’après-midi dans sa stalle, battant doucement la mesure de ses doigts longs et effilés et jouissant du bonheur le plus complet. Son visage s’épanouissait en un sourire béat et ses yeux devenaient langoureux et rêveurs ; il ne restait plus rien de Holmes le fin limier, de Holmes l’implacable agent criminel que son esprit vif et perçant plaçait au premier rang parmi les policiers. La dualité de nature de ce singulier personnage s’affirmait tour à tour. À mon avis, l’extrême exactitude de Holmes et son astuce n’étaient que la réaction contre cet état d’âme poétique et contemplatif qui tendait à le dominer ; mais, grâce à l’élasticité de sa nature, il passait rapidement d’une langueur extrême à une énergie dévorante. J’avais remarqué qu’il n’était jamais plus vraiment redoutable que lorsqu’il était resté plusieurs jours étendu dans son fauteuil, au milieu de ses improvisations et de ses éditions gothiques. Tout à coup la passion de la chasse le saisissait, et, telle était alors la puissance de son raisonnement que le public ignorant de sa méthode prenait pour des intuitions ce qui n’était que de simples déductions, se demandant où cet homme avait pu puiser une science si supérieure à celle de ses semblables. En le voyant, cet après-midi, absorbé par la musique à Saint-James’Hall, je prévoyais que les gens qu’il allait traquer passeraient un mauvais quart d’heure. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
During this discourse the prisoner had stood balancing himself, first on one foot, then on the other, with shoulders stooped and arms inert. Under the strongest light one could observe his extreme thinness, his hollow cheeks, his projecting cheek-bones, his earthen-colored face dotted with small red spots and framed in a rough, straggling beard. Prison life had caused him to age and wither. He had lost the youthful face and elegant figure we had seen portrayed so often in the newspapers. | Pendant ce discours, l’accusé s’était balancé d’une jambe sur l’autre, le dos rond, les bras inertes. Sous la lumière plus vive, on remarqua son extrême maigreur, ses joues creuses, ses pommettes étrangement saillantes, son visage couleur de terre, marbré de petites plaques rouges, et encadré d’une barbe inégale et rare. La prison l’avait considérablement vieilli et flétri. On ne reconnaissait plus la silhouette élégante et le jeune visage dont les journaux avaient publié si souvent le portrait sympathique. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
During this discourse the prisoner had stood balancing himself, first on one foot, then on the other, with shoulders stooped and arms inert. Under the strongest light one could observe his extreme thinness, his hollow cheeks, his projecting cheek-bones, his earthen-colored face dotted with small red spots and framed in a rough, straggling beard. Prison life had caused him to age and wither. He had lost the youthful face and elegant figure we had seen portrayed so often in the newspapers. | Pendant ce discours, l’accusé s’était balancé d’une jambe sur l’autre, le dos rond, les bras inertes. Sous la lumière plus vive, on remarqua son extrême maigreur, ses joues creuses, ses pommettes étrangement saillantes, son visage couleur de terre, marbré de petites plaques rouges, et encadré d’une barbe inégale et rare. La prison l’avait considérablement vieilli et flétri. On ne reconnaissait plus la silhouette élégante et le jeune visage dont les journaux avaient publié si souvent le portrait sympathique. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
Inch by inch, I made a careful examination of the room. It was in vain. Unless I could consider this as a discovery: Under a small Persian rug, I found a card—an ordinary playing card. It was the seven of hearts; it was like any other seven of hearts in French playing-cards, with this slight but curious exception: The extreme point of each of the seven red spots or hearts was pierced by a hole, round and regular as if made with the point of an awl. | Pouce par pouce, avec les procédés d’investigation les plus minutieux, j’examinai la salle. Ce fut en vain. Ou plutôt… mais pouvais-je considérer cela comme une découverte ? Sous un petit tapis persan, jeté sur le parquet, je ramassai une carte, une carte à jouer. C’était un sept de cœur, pareil à tous les sept de cœur des jeux de cartes français, mais qui retint mon attention par un détail assez curieux. La pointe extrême de chacune des sept marques rouges en forme de cœur, était percée d’un trou, le trou rond et régulier qu’eût pratiqué l’extrémité d’un poinçon. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
Inch by inch, I made a careful examination of the room. It was in vain. Unless I could consider this as a discovery: Under a small Persian rug, I found a card—an ordinary playing card. It was the seven of hearts; it was like any other seven of hearts in French playing-cards, with this slight but curious exception: The extreme point of each of the seven red spots or hearts was pierced by a hole, round and regular as if made with the point of an awl. | Pouce par pouce, avec les procédés d’investigation les plus minutieux, j’examinai la salle. Ce fut en vain. Ou plutôt… mais pouvais-je considérer cela comme une découverte ? Sous un petit tapis persan, jeté sur le parquet, je ramassai une carte, une carte à jouer. C’était un sept de cœur, pareil à tous les sept de cœur des jeux de cartes français, mais qui retint mon attention par un détail assez curieux. La pointe extrême de chacune des sept marques rouges en forme de cœur, était percée d’un trou, le trou rond et régulier qu’eût pratiqué l’extrémité d’un poinçon. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |