Translations for favor in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
"I will go this very evening to Treville, whom I will request to ask this favor for me of his brother-in-law, Monsieur Dessessart." — J’irai trouver ce soir même M. de Tréville, que je chargerai de demander pour moi cette faveur à son beau-frère, M. des Essarts.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Yes, yes, that is true. And any other love but mine would have sunk beneath this ordeal; but my love came out from it more ardent and more eternal. You believed that you would fly from me by returning to Paris; you believed that I would not dare to quit the treasure over which my master had charged me to watch. What to me were all the treasures in the world, or all the kings of the earth! Eight days after, I was back again, madame. That time you had nothing to say to me; I had risked my life and favor to see you but for a second. I did not even touch your hand, and you pardoned me on seeing me so submissive and so repentant." — Oh ! oui, oui, cela est vrai, et un autre amour que le mien aurait succombé à cette épreuve ; mais mon amour, à moi, en est sorti plus ardent et plus éternel. Vous avez cru me fuir en revenant à Paris, vous avez cru que je n’oserais quitter le trésor sur lequel mon maître m’avait chargé de veiller. Ah ! que m’importent à moi tous les trésors du monde et tous les rois de la terre ! Huit jours après j’étais de retour, madame. Cette fois, vous n’avez rien eu à me dire ; j’avais risqué ma faveur, ma vie pour vous voir une seconde ; je n’ai pas même touché votre main ; et vous m’avez pardonné en me voyant si soumis et si repentant.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
Treville had grasped the weak side of his master; and it was to this address that he owed the long and constant favor of a king who has not left the reputation behind him of being very faithful in his friendships. He paraded his Musketeers before the Cardinal Armand Duplessis with an insolent air which made the gray moustache of his Eminence curl with ire. Treville understood admirably the war method of that period, in which he who could not live at the expense of the enemy must live at the expense of his compatriots. His soldiers formed a legion of devil-may-care fellows, perfectly undisciplined toward all but himself. Tréville avait pris son maître par le côté faible, et c’était à cette adresse qu’il devait la longue et constante faveur d’un roi qui n’a pas laissé la réputation d’être très fidèle à ses amitiés. Il faisait parader ses mousquetaires devant le cardinal Armand Duplessis, avec un air narquois qui hérissait de colère la moustache grise de Son Éminence. Tréville entendait admirablement la guerre de cette époque, où, quand on ne vivait pas aux dépens de l’ennemi, on vivait aux dépens de ses compatriotes : ses soldats formaient une légion de diable-à-quatre, indisciplinée pour tout autre que pour lui.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"I would contest nothing; but I tell you that the favor of a minister is ephemeral, and that a man must be mad to attach himself to a minister. There are powers above his which do not depend upon a man or the issue of an event; it is to these powers we should rally." — Je ne lui conteste rien, mais je vous dis que la faveur d’un ministre est éphémère, et qu’il faut être fou pour s’attacher à un ministre : il est des pouvoirs au-dessus du sien, qui ne reposent pas sur le caprice d’un homme ou l’issue d’un événement ; c’est à ces pouvoirs qu’il faut se rallier.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
He who at the moment occupied the upper step kept his adversaries marvelously in check. A circle was formed around them. The conditions required that at every hit the man touched should quit the game, yielding his turn for the benefit of the adversary who had hit him. In five minutes three were slightly wounded, one on the hand, another on the ear, by the defender of the stair, who himself remained intact--a piece of skill which was worth to him, according to the rules agreed upon, three turns of favor. Celui qui occupait le degré en ce moment tenait merveilleusement ses adversaires en respect. On faisait cercle autour d’eux. La condition portait qu’à chaque coup le touché quitterait la partie, en perdant son tour d’audience au profit du toucheur. En cinq minutes trois furent effleurés, l’un au poignet, l’autre au menton, l’autre à l’oreille, par le défenseur du degré, qui, lui-même, ne fut pas atteint ; adresse qui lui valut, selon les conventions arrêtées, trois tours de faveur.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"From the first, two facts were very obvious to me, the one that the lady had been quite willing to undergo the wedding ceremony, the other that she had repented of it within a few minutes of returning home. Obviously something had occurred during the morning, then, to cause her to change her mind. What could that something be? She could not have spoken to any one when she was out, for she had been in the company of the bridegroom. Had she seen some one, then? If she had, it must be some one from America, because she had spent so short a time in this country that she could hardly have allowed any one to acquire so deep an influence over her that the mere sight of him would induce her to change her plans so completely. You see we have already arrived, by a process of exclusion, at the idea that she might have seen an American. Then who could this American be, and why should he possess so much influence over her? It might be a lover; it might be a husband. Her young womanhood had, I knew, been spent in rough scenes and under strange conditions. So far I had got before I ever heard Lord St. Simon's narrative. When he told us of a man in a pew, of the change in the bride's manner, of so transparent a device for obtaining a note as the dropping of a bouquet, of her resort to her confidential maid, and of her very significant allusion to claim-jumping—which in miners' parlance means taking possession of that which another person has a prior claim to—the whole situation became absolutely clear. She had gone off with a man, and the man was either a lover or was a previous husband—the chances being in favor of the latter." — Dès le début, il y avait deux faits absolument évidents pour moi : premièrement, que la jeune fille avait consenti de plein gré à la cérémonie du mariage, secondement qu’elle en avait eu du regret quelques minutes avant de rentrer. Il devait donc s’être produit, dans la matinée, une circonstance qui l’avait fait changer d’avis. Quelle était cette circonstance ? La jeune fille ne pouvait avoir parlé à personne, au dehors, puisqu’elle était avec son fiancé. Avait-elle donc vu quelqu’un ? Si oui, ce devait être quelqu’un venant d’Amérique ; elle avait passé peu de temps dans ce pays-ci et ne connaissait sûrement personne ayant sur elle assez d’influence pour bouleverser tous ses plans. Nous voici déjà, par un simple procédé d’élimination, arrivés à l’idée qu’elle avait pu voir un Américain. Quel pouvait être cet Américain, et pourquoi avait-il une telle influence sur elle ? Un amoureux, un mari peut-être ? Je savais que la jeune fille avait été élevée dans un milieu primitif et bizarre et voilà où j’en étais lorsque lord Saint Simon est arrivé. Quand il nous parla de l’homme assis dans le banc, du changement survenu dans la manière d’être de la mariée, de la chute du bouquet, — un artifice si communément employé pour recevoir une lettre, — de l’entretien de lady Saint Simon avec la femme de chambre, sa confidente, et de son expression si significative d’enlever une concession, ce qui en argot de mineurs signifie prendre possession d’une chose appartenant de droit à un autre, la situation devint absolument nette pour moi. La jeune femme était partie avec un homme et cet homme était ou un amoureux ou un mari, les chances étant en faveur de la dernière hypothèse.
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
At first, I had decided to open a flirtation with her; but, in the rapidly growing intimacy of the voyage, I was soon impressed by her charming manner and my feelings became too deep and reverential for a mere flirtation. Moreover, she accepted my attentions with a certain degree of favor. She condescended to laugh at my witticisms and display an interest in my stories. Yet I felt that I had a rival in the person of a young man with quiet and refined tastes; and it struck me, at times, that she preferred his taciturn humor to my Parisian frivolity. He formed one in the circle of admirers that surrounded Miss Nelly at the time she addressed to me the foregoing question. We were all comfortably seated in out deck-chairs. The storm of the preceding evening had cleared the sky. The weather was now delightful. Dès la première heure, j’avais posé ma candidature de flirt. Mais, dans l’intimité rapide du voyage, tout de suite son charme m’avait troublé, et je me sentais un peu trop ému pour un flirt quand ses grands yeux noirs rencontraient les miens. Cependant elle accueillait mes hommages avec une certaine faveur. Elle daignait rire de mes bons mots et s’intéresser à mes anecdotes. Une vague sympathie semblait répondre à l’empressement que je lui témoignais. Un seul rival peut-être m’eût inquiété, un assez beau garçon, élégant, réservé, dont elle paraissait quelquefois préférer l’humeur taciturne à mes façons plus « en dehors » de Parisien. Il faisait justement partie du groupe d’admirateurs qui entourait miss Nelly, lorsqu’elle m’interrogea. Nous étions sur le pont, agréablement installés dans des rocking-chairs. L’orage de la veille avait éclairci le ciel. L’heure était délicieuse.
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc
" 'In the case of another,' said he, 'the objection might be fatal, but we must stretch a point in favor of a man with such a head of hair as yours. When shall you be able to enter upon your new duties?' — Pour un autre, nous n’aurions peut-être pas consenti à cette faveur, mais vos cheveux sont d’un roux si admirable et si rare que nous ferons pour vous une exception. Pouvez-vous entrer rapidement en fonctions ?
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
But d'Artagnan had on the preceding day served his apprenticeship. Fresh sharpened by his victory, full of hopes of future favor, he was resolved not to recoil a step. So the two swords were crossed close to the hilts, and as d'Artagnan stood firm, it was his adversary who made the retreating step; but d'Artagnan seized the moment at which, in this movement, the sword of Bernajoux deviated from the line. He freed his weapon, made a lunge, and touched his adversary on the shoulder. d'Artagnan immediately made a step backward and raised his sword; but Bernajoux cried out that it was nothing, and rushing blindly upon him, absolutely spitted himself upon d'Artagnan's sword. As, however, he did not fall, as he did not declare himself conquered, but only broke away toward the hotel of M. de la Tremouille, in whose service he had a relative, d'Artagnan was ignorant of the seriousness of the last wound his adversary had received, and pressing him warmly, without doubt would soon have completed his work with a third blow, when the noise which arose from the street being heard in the tennis court, two of the friends of the Guardsman, who had seen him go out after exchanging some words with d'Artagnan, rushed, sword in hand, from the court, and fell upon the conqueror. But Athos, Porthos, and Aramis quickly appeared in their turn, and the moment the two Guardsmen attacked their young companion, drove them back. Bernajoux now fell, and as the Guardsmen were only two against four, they began to cry, "To the rescue! The Hotel de la Tremouille!" At these cries, all who were in the hotel rushed out and fell upon the four companions, who on their side cried aloud, "To the rescue, Musketeers!" Mais d’Artagnan avait fait la veille son apprentissage, et tout frais émoulu de sa victoire, tout gonflé de sa future faveur, il était résolu à ne pas reculer d’un pas : aussi les deux fers se trouvèrent-ils engagés jusqu’à la garde, et comme d’Artagnan tenait ferme à sa place, ce fut son adversaire qui fit un pas de retraite. Mais d’Artagnan saisit le moment où, dans ce mouvement, le fer de Bernajoux déviait de la ligne, il dégagea, se fendit et toucha son adversaire à l’épaule. Aussitôt, il fit, à son tour, un pas de retraite et releva son épée ; mais Bernajoux lui cria que ce n’était rien, et se fendant aveuglément sur lui, il s’enferra de lui-même. Cependant, comme il ne tombait pas, comme il ne se déclarait pas vaincu, mais que seulement il rompait du côté de l’hôtel de M. de La Trémouille au service duquel il avait un parent, d’Artagnan, ignorant lui-même la gravité de la dernière blessure que son adversaire avait reçue, le pressait vivement, et sans doute allait l’achever d’un troisième coup, lorsque la rumeur qui s’élevait de la rue s’étant étendue jusqu’au jeu de paume, deux des amis du garde, qui l’avaient entendu échanger quelques paroles avec d’Artagnan et qui l’avaient vu sortir à la suite de ces paroles, se précipitèrent l’épée à la main hors du tripot et tombèrent sur le vainqueur. Mais aussitôt Athos, Porthos et Aramis parurent à leur tour, et au moment où les deux gardes attaquaient leur jeune camarade, les forcèrent à se retourner. — En ce moment Bernajoux tomba, et comme les gardes étaient seulement deux contre quatre, ils se mirent à crier : « À nous, l’hôtel de La Trémouille ! » À ces cris, tout ce qui était dans l’hôtel sortit, se ruant sur les quatre compagnons, qui de leur côté se mirent à crier : « À nous, mousquetaires ! »
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"It is indeed a favor, young man," replied M. de Treville, "but it may not be so far beyond your hopes as you believe, or rather as you appear to believe. But his majesty's decision is always necessary; and I inform you with regret that no one becomes a Musketeer without the preliminary ordeal of several campaigns, certain brilliant actions, or a service of two years in some other regiment less favored than ours." — C’est une faveur en effet, jeune homme, répondit M. de Tréville ; mais elle peut ne pas être si fort au-dessus de vous que vous le croyez ou que vous avez l’air de le croire. Toutefois, une décision de Sa Majesté a prévu ce cas, et je vous annonce avec regret qu’on ne reçoit personne mousquetaire avant l’épreuve préalable de quelques campagnes, de certaines actions d’éclat, ou d’un service de deux ans dans quelque autre régiment moins favorisé que le nôtre.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
In the meanwhile the promises of M. de Treville went on prosperously. One fine morning the king commanded M. de Chevalier Dessessart to admit d'Artagnan as a cadet in his company of Guards. D'Artagnan, with a sigh, donned his uniform, which he would have exchanged for that of a Musketeer at the expense of ten years of his existence. But M. de Treville promised this favor after a novitiate of two years--a novitiate which might besides be abridged if an opportunity should present itself for d'Artagnan to render the king any signal service, or to distinguish himself by some brilliant action. Upon this promise d'Artagnan withdrew, and the next day he began service. En attendant, les promesses de M. de Tréville allaient leur train. Un beau jour, le roi commanda à M. le chevalier des Essarts de prendre d’Artagnan comme cadet dans sa compagnie des gardes. D’Artagnan endossa en soupirant cet habit, qu’il eût voulu au prix de dix années de son existence troquer contre la casaque de mousquetaire. Mais M. de Tréville promit cette faveur après un noviciat de deux ans, noviciat qui pouvait être abrégé, au reste, si l’occasion se présentait pour d’Artagnan de rendre quelque service au roi ou de faire quelque action d’éclat. D’Artagnan se retira sur cette promesse et, dès le lendemain commença son service.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Monsieur," said d'Artagnan, "on quitting Tarbes and coming hither, it was my intention to request of you, in remembrance of the friendship which you have not forgotten, the uniform of a Musketeer; but after all that I have seen during the last two hours, I comprehend that such a favor is enormous, and tremble lest I should not merit it." — Monsieur, dit d’Artagnan, en quittant Tarbes et en venant ici, je me proposais de vous demander, en souvenir de cette amitié dont vous n’avez pas perdu mémoire, une casaque de mousquetaire, mais après tout ce que je vois depuis deux heures, je comprends qu’une telle faveur serait énorme, et je tremble de ne point la mériter.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Well, now, in considering this case there are two points about young McCarthy's narrative which struck us both instantly, although they impressed me in his favor and you against him. One was the fact that his father should, according to his account, cry 'Cooee!' before seeing him. The other was his singular dying reference to a rat. He mumbled several words, you understand, but that was all that caught the son's ear. Now from this double point our research must commence, and we will begin it by presuming that what the lad says is absolutely true." "What of this 'Cooee!' then?" "Well, obviously it could not have been meant for the son. The son, as far as he knew, was in Bristol. It was mere chance that he was within ear-shot. The 'Cooee!' was meant to attract the attention of whoever it was that he had the appointment with. But 'Cooee' is a distinctly Australian cry, and one which is used between Australians. There is a strong presumption that the person whom McCarthy expected to meet him at Boscombe Pool was some one who had been in Australia." — Eh bien ! maintenant, en y réfléchissant, il y a deux points dans la déposition du jeune Mac Carthy qui nous ont frappés et qui nous ont impressionnés, moi en sa faveur et vous contre lui. Le premier de ces points est que son père ait pu crier « Couhi » avant de le voir. Le second est l’étrange allusion qu’a faite le mourant à un rat. Il murmura quelques mots, il est vrai, mais le fils n’entendit que celui-là. Prenons ce double point de départ et supposons que le récit du jeune homme soit rigoureusement exact. Dans ce cas que signifie ce « Couhi » ? Cet appel n’était évidemment pas à l’adresse de son fils qu’il croyait encore à Bristol. C’est par hasard que le jeune homme se trouvait à portée de sa voix. Le « Couhi » était donc un signal à la personne avec laquelle il avait un rendez-vous. Mais « Couhi » est un cri essentiellement australien et employé par les habitants de cette colonie. Il y a donc de fortes présomptions pour que la personne que Mac Carthy s’attendait à rencontrer à l’étang de Boscombe fût un Australien.
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
Holmes laughed softly to himself, and stretched himself out upon the cushioned seat. "Both you and the coroner have been at some pains," said he, "to single out the very strongest points in the young man's favor. Don't you see that you alternately give him credit for having too much imagination and too little. Too little, if he could not invent a cause of quarrel which would give him the sympathy of the jury; too much, if he evolved from his own inner consciousness anything so outré as a dying reference to a rat, and the incident of the vanishing cloth. No, sir, I shall approach this case from the point of view that what this young man says is true, and we shall see whither that hypothesis will lead us. And now here is my pocket Petrarch, and not another word shall I say of this case until we are on the scene of action. We lunch at Swindon, and I see that we shall be there in twenty minutes." Holmes sourit malicieusement et s’étala de tout son long sur le coussin capitonné du wagon. — Vous avez tous deux, le coroner et vous, fait un véritable effort pour mettre en lumière les chefs d’accusation les plus en faveur pour le jeune homme. Ne voyez-vous pas que vous lui prêtez alternativement trop d’imagination ou pas assez ? Pas assez puisqu’il n’est pas capable d’inventer un sujet de querelle qui lui donnerait la sympathie du jury ; trop, puisqu’en toute conscience il fait mention d’une chose aussi extraordinaire que l’allusion du mourant à un rat ou l’incident d’un manteau qui disparaît. Vous êtes donc dans l’erreur. Moi je suppose, au contraire, que le jeune homme dit vrai et nous verrons à quoi nous mènera cette hypothèse. Maintenant voici mon Pétrarque de poche dans la lecture duquel je vais m’absorber. Plus un mot de cette affaire, je vous prie, jusqu’à ce que nous soyons sur le lieu de l’action. Nous déjeunerons à Swindon, dans vingt minutes.
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
"Well, by his insufferable rudeness and impossible behaviour. There was poor old Wadley, of the Zoological Institute. Wadley sent a message: 'The President of the Zoological Institute presents his compliments to Professor Challenger, and would take it as a personal favor if he would do them the honor to come to their next meeting.' The answer was unprintable." — Par son intolérable grossièreté, par ses façons impossibles. Je vous citerai entre autres le vieux Wadley, de l’Institut Zoologique. Wadley lui envoya un message conçu en ces termes : « Le président de l’Institut Zoologique présente ses compliments au professeur Challenger et considérerait comme une faveur personnelle qu’il voulût bien faire à ses collègues et à lui-même l’honneur d’assister à leur prochaine séance. » La réponse n’aurait pu décemment s’imprimer.
The Lost World, by Arthur Conan Doyle Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle
"To ask a favor." — J’ai à vous demander une faveur.
The Lost World, by Arthur Conan Doyle Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle
"What have I to fear," replied d'Artagnan, "as long as I shall have the luck to enjoy the favor of their Majesties?" — Qu’ai-je à craindre, répondit d’Artagnan, tant que j’aurai le bonheur de jouir de la faveur de Leurs Majestés ?
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas