Translations for flower in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
D'Artagnan owned nothing. Provincial diffidence, that slight varnish, the ephemeral flower, that down of the peach, had evaporated to the winds through the little orthodox counsels which the three Musketeers gave their friend. D'Artagnan, following the strange custom of the times, considered himself at Paris as on a campaign, neither more nor less than if he had been in Flanders--Spain yonder, woman here. In each there was an enemy to contend with, and contributions to be levied. | D’Artagnan ne possédait rien ; l’hésitation du provincial, vernis léger, fleur éphémère, duvet de la pêche, s’était évaporée au vent des conseils peu orthodoxes que les trois mousquetaires donnaient à leur ami. D’Artagnan, suivant l’étrange coutume du temps, se regardait à Paris comme en campagne, et cela ni plus ni moins que dans les Flandres : l’Espagnol là-bas, la femme ici. — C’était partout un ennemi-né à combattre, des contributions à frapper. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
“They tell me there were people who ruined themselves over that girl, and lovers that worshipped her; well, when I think there isn’t one of them that so much as buys her a flower now, that’s queer, sir, and sad. And, after all, she isn’t so badly off, for she has her grave to herself, and if there is only one who remembers her, he makes up for the others. But we have other poor girls here, just like her and just her age, and they are just thrown into a pauper’s grave, and it breaks my heart when I hear their poor bodies drop into the earth. And not a soul thinks about them any more, once they are dead! ‘Tisn’t a merry trade, ours, especially when we have a little heart left. What do you expect? I can’t help it. I have a fine, strapping girl myself; she’s just twenty, and when a girl of that age comes here I think of her, and I don’t care if it’s a great lady or a vagabond, I can’t help feeling it a bit. But I am taking up your time, sir, with my tales, and it wasn’t to hear them you came here. I was told to show you Mlle. Gautier’s grave; here you have it. Is there anything else I can do for you?” | —On dit qu'il y avait des gens qui se ruinaient pour cette fille-là, et qu'elle avait des amants qui l'adoraient; eh bien, quand je pense qu'il n'y en a pas un qui vienne lui acheter une fleur seulement, c'est cela qui est curieux et triste. Et encore, celle-ci n'a pas à se plaindre, car elle a sa tombe, et s'il n'y en a qu'un qui se souvienne d'elle, il fait les choses pour les autres. Mais nous avons ici de pauvres filles du même genre et du même âge qu'on jette dans la fosse commune, et cela me fend le cœur quand j'entends tomber leurs pauvres corps dans la terre. Et pas un être ne s'occupe d'elles, une fois qu'elles sont mortes! Ce n'est pas toujours gai, le métier que nous faisons, surtout tant qu'il nous reste un peu de cœur. Que voulez-vous? C'est plus fort que moi. J'ai une belle grande fille de vingt ans, et, quand on apporte ici une morte de son âge, je pense à elle, et, que ce soit une grande dame ou une vagabonde, je ne peux pas m'empêcher d'être ému. «Mais je vous ennuie sans doute avec mes histoires et ce n'est pas pour les écouter que vous voilà ici. On m'a dit de vous amener à la tombe de mademoiselle Gautier, vous y voilà; puis-je vous être bon encore à quelque chose? |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"Ah!" cried another voice, that of the youngest hand on board, and evidently full of admiration, "he was the flower of the flock, was Flint!" | — Ah ! s’écria une autre voix (celle du plus jeune marin du bord, évidemment plein d’admiration), c’était la fleur du troupeau, que Flint ! |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
Her delight in the smallest things was like that of a child. There were days when she ran in the garden, like a child of ten, after a butterfly or a dragon-fly. This courtesan who had cost more money in bouquets than would have kept a whole family in comfort, would sometimes sit on the grass for an hour, examining the simple flower whose name she bore. | Cette femme avait des étonnements d'enfant pour les moindres choses. Il y avait des jours où elle courait dans le jardin, comme une fille de dix ans, après un papillon ou une demoiselle. Cette courtisane, qui avait fait dépenser en bouquets plus d'argent qu'il n'en faudrait pour faire vivre dans la joie une famille entière, s'asseyait quelquefois sur la pelouse, pendant une heure, pour examiner la simple fleur dont elle portait le nom. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |