Translations for fortune in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
“Then, besides that,” continued Prudence; “admit that Marguerite loves you enough to give up the count or the duke, in case one of them were to discover your liaison and to tell her to choose between him and you, the sacrifice that she would make for you would be enormous, you can not deny it. What equal sacrifice could you make for her, on your part, and when you had got tired of her, what could you do to make up for what you had taken from her? Nothing. You would have cut her off from the world in which her fortune and her future were to be found; she would have given you her best years, and she would be forgotten. Either you would be an ordinary man, and, casting her past in her teeth, you would leave her, telling her that you were only doing like her other lovers, and you would abandon her to certain misery; or you would be an honest man, and, feeling bound to keep her by you, you would bring inevitable trouble upon yourself, for a liaison which is excusable in a young man, is no longer excusable in a man of middle age. It becomes an obstacle to every thing; it allows neither family nor ambition, man’s second and last loves. Believe me, then, my friend, take things for what they are worth, and do not give a kept woman the right to call herself your creditor, no matter in what.” «Puis, outre cela, admettons, continua Prudence, que Marguerite vous aime assez pour renoncer au comte et au duc, dans le cas où celui-ci s'apercevrait de votre liaison et lui dirait de choisir entre vous et lui, le sacrifice qu'elle vous ferait serait énorme, c'est incontestable. Quel sacrifice égal pourriez-vous lui faire, vous? Quand la satiété serait venue, quand vous n'en voudriez plus enfin, que feriez-vous pour la dédommager de ce que vous lui auriez fait perdre? Rien. Vous l'auriez isolée du monde dans lequel étaient sa fortune et son avenir, elle vous aurait donné ses plus belles années, et elle serait oubliée. Ou vous seriez un homme ordinaire, alors, lui jetant son passé à la face, vous lui diriez qu'en la quittant vous ne faites qu'agir comme ses autres amants, et vous l'abandonneriez à une misère certaine; ou vous seriez un honnête homme, et, vous croyant forcé de la garder auprès de vous, vous vous livreriez vous-même à un malheur inévitable, car cette liaison, excusable chez le jeune homme, ne l'est plus chez l'homme mûr. Elle devient un obstacle à tout, elle ne permet ni la famille, ni l'ambition, ces secondes et dernières amours de l'homme. Croyez-m'en donc, mon ami, prenez les choses pour ce qu'elles valent, les femmes pour ce qu'elles sont, et ne donnez pas à une fille entretenue le droit de se dire votre créancière en quoi que ce soit.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
This liaison, whose motive and origin were quite unknown, caused a great sensation, for the duke, already known for his immense fortune, now became known for his prodigality. All this was set down to the debauchery of a rich old man, and everything was believed except the truth. The father’s sentiment for Marguerite had, in truth, so pure a cause that anything but a communion of hearts would have seemed to him a kind of incest, and he had never spoken to her a word which his daughter might not have heard. Cette liaison, dont on ne connaissait ni la véritable origine, ni le véritable motif, causa une grande sensation ici, car le duc, connu par sa grande fortune, se faisait connaître maintenant par sa prodigalité. On attribua au libertinage, fréquent chez les vieillards riches, ce rapprochement du vieux duc et de la jeune femme. On supposa tout, excepté ce qui était. Cependant le sentiment de ce père pour Marguerite avait une cause si chaste, que tout autre rapport que des rapports de cœur avec elle lui eût semblé un inceste, et jamais il ne lui avait dit un mot que sa fille n'eût pu entendre.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
The sister opened her eyes very wide when the lawyer wrote to her that she had inherited 50,000 francs. The girl had not seen her sister for six or seven years, and did not know what had become of her from the moment when she had disappeared from home. She came up to Paris in haste, and great was the astonishment of those who had known Marguerite when they saw as her only heir a fine, fat country girl, who until then had never left her village. She had made the fortune at a single stroke, without even knowing the source of that fortune. She went back, I heard afterward, to her countryside, greatly saddened by her sister’s death, but with a sadness which was somewhat lightened by the investment at four and a half per cent which she had been able to make. Cette sœur avait ouvert de grands yeux quand l'homme d'affaires lui avait écrit qu'elle héritait de cinquante mille francs. Il y avait six ou sept ans que cette jeune fille n'avait vu sa sœur, laquelle avait disparu un jour sans que l'on sût, ni par elle ni par d'autres, le moindre détail sur sa vie depuis le moment de sa disparition. Elle était donc arrivée en toute hâte à Paris, et l'étonnement de ceux qui connaissaient Marguerite avait été grand quand ils avaient vu que son unique héritière était une grosse et belle fille de campagne qui jusqu'alors n'avait jamais quitté son village. Sa fortune se trouva faite d'un seul coup, sans qu'elle sût même de quelle source lui venait cette fortune inespérée. Elle retourna, m'a-t-on dit depuis, à sa campagne, emportant de la mort de sa sœur une grande tristesse que compensait néanmoins le placement à quatre et demi qu'elle venait de faire.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Ah, my dear fellow, how old-fashioned you are! How many of the richest and most fashionable men of the best families I have seen quite ready to do what I advise you to do, and without an effort, without shame, without remorse, Why, one sees it every day. How do you suppose the kept women in Paris could live in the style they do, if they had not three or four lovers at once? No single fortune, however large, could suffice for the expenses of a woman like Marguerite. A fortune of five hundred thousand francs a year is, in France, an enormous fortune; well, my dear friend, five hundred thousand francs a year would still be too little, and for this reason: a man with such an income has a large house, horses, servants, carriages; he shoots, has friends, often he is married, he has children, he races, gambles, travels, and what not. All these habits are so much a part of his position that he can not forego them without appearing to have lost all his money, and without causing scandal. Taking it all round, with five hundred thousand francs a year he can not give a woman more than forty or fifty thousand francs in the year, and that is already a good deal. Well, other lovers make up for the rest of her expenses. With Marguerite, it is still more convenient; she has chanced by a miracle on an old man worth ten millions, whose wife and daughter are dead; who has only some nephews, themselves rich, and who gives her all she wants without asking anything in return. But she can not ask him for more than seventy thousand francs a year; and I am sure that if she did ask for more, despite his health and the affection he has for her he would not give it to her. —Ah! Mon cher, que vous êtes arriéré! Combien en ai-je vus, et des plus nobles, des plus élégants, des plus riches, faire ce que je vous conseille et cela, sans efforts, sans honte, sans remords! Mais cela se voit tous les jours. Mais comment voudriez-vous que les femmes entretenues de Paris fissent pour soutenir le train qu'elles mènent, si elles n'avaient pas trois ou quatre amants à la fois? Il n'y a pas de fortune, si considérable qu'elle soit, qui puisse subvenir seule aux dépenses d'une femme comme Marguerite. Une fortune de cinq cent mille francs de rente est une fortune énorme en France; eh bien, mon cher ami, cinq cent mille francs de rente n'en viendraient pas à bout, et voici pourquoi: un homme qui a un pareil revenu a une maison montée, des chevaux, des domestiques, des voitures, des chasses, des amis; souvent il est marié, il a des enfants, il fait courir, il joue, il voyage, que sais-je, moi! Toutes ces habitudes sont prises de telle façon qu'il ne peut s'en défaire sans passer pour être ruiné et sans faire scandale. Tout compte fait, avec cinq cent mille francs par an, il ne peut pas donner à une femme plus de quarante ou cinquante mille francs dans l'année, et encore c'est beaucoup. Eh bien, d'autres amours complètent la dépense annuelle de la femme. Avec Marguerite, c'est encore plus commode; elle est tombée par un miracle du ciel sur un vieillard riche à dix millions, dont la femme et la fille sont mortes, qui n'a plus que des neveux riches eux-mêmes, qui lui donne tout ce qu'elle veut sans rien lui demander en échange; mais elle ne peut pas lui demander plus de soixante-dix mille francs par an, et je suis sûre que si elle lui en demandait davantage, malgré sa fortune et l'affection qu'il a pour elle, il le lui refuserait.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“That I would report his decision to you, and I promised him that I would bring you into a more reasonable frame of mind. Only think, my dear child, of the position that you are losing, and that Armand can never give you. He loves you with all his soul, but he has no fortune capable of supplying your needs, and he will be bound to leave you one day, when it will be too late and when the duke will refuse to do any more for you. Would you like me to speak to Armand?” —Que je vous communiquerais sa décision, et je lui ai promis de vous faire entendre raison. Réfléchissez, ma chère enfant, à la position que vous perdez et que ne pourra jamais vous rendre Armand. Il vous aime de toute son âme, mais il n'a pas assez de fortune pour subvenir à tous vos besoins, et il faudra bien un jour vous quitter, quand il sera trop tard et que le duc ne voudra plus rien faire pour vous. Voulez-vous que je parle à Armand?
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Oh, let us speak of it; on the contrary, let us speak of it! That is the most happy and brilliant evening of my life! You remember what a beautiful night it was? How soft and perfumed was the air; how lovely the blue heavens and star-enameled sky! Ah, then, madame, I was able for one instant to be alone with you. Then you were about to tell me all--the isolation of your life, the griefs of your heart. You leaned upon my arm--upon this, madame! I felt, in bending my head toward you, your beautiful hair touch my cheek; and every time that it touched me I trembled from head to foot. Oh, Queen! Queen! You do not know what felicity from heaven, what joys from paradise, are comprised in a moment like that. Take my wealth, my fortune, my glory, all the days I have to live, for such an instant, for a night like that. For that night, madame, that night you loved me, I will swear it." — Oh ! parlons-en, au contraire, madame, parlons-en : c’est la soirée heureuse et rayonnante de ma vie. Vous rappelez-vous la belle nuit qu’il faisait  ? Comme l’air était doux et parfumé, comme le ciel était beau et tout émaillé d’étoiles. Ah ! cette fois, madame, j’avais pu être un instant seul avec vous ; cette fois vous étiez prête à tout me dire, l’isolement de votre vie, les chagrins de votre cœur. Vous étiez appuyée à mon bras ; tenez, à celui-ci. Je sentais, en inclinant ma tête de votre côté, vos beaux cheveux effleurer mon visage, et à chaque fois qu’ils l’effleuraient, je frissonnais de la tête aux pieds. Oh ! reine ! reine ! oh ! vous ne savez pas tout ce qu’il y a de félicités du ciel, de joies du paradis enfermées dans un moment pareil. Tenez, mes biens, ma fortune, ma gloire, tout ce qui me reste de jours à vivre, pour un pareil instant, et pour une semblable nuit ; car, cette nuit-là, madame, cette nuit-là vous m’aimiez, je vous le jure.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
Day after day this work went on; by every evening a fortune had been stowed aboard, but there was another fortune waiting for the morrow; and all this time we heard nothing of the three surviving mutineers. At last—I think it was on the third night—the doctor and I were strolling on the shoulder of the hill where it overlooks the lowlands of the isle, when, from out the thick darkness below, the wind brought us a noise between shrieking and singing. It was only a snatch that reached our ears, followed by the former silence. Ce travail dura plusieurs jours : chaque soir une fortune se trouvait entassée à bord, mais une autre attendait son tour pour le lendemain ; et de tout ce temps-là les trois mutins ne donnèrent pas signe de vie. À la fin — ce devait être le troisième soir — je flânais avec le docteur sur la montagne à l’endroit où elle domine les basses terres de l’île, lorsque du fond des épaisses ténèbres le vent nous apporta un son qui tenait du chant et du hurlement. Un seul lambeau en parvint à nos oreilles, et le silence primitif se rétablit.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
"Did any of you gentlemen want to have it out with me? " roared Silver, bending far forward from his position on the keg, with his pipe still glowing in his right hand. 'Put a name on what you're at; you ain't dumb, I reckon. Him that wants shall get it. Have I lived this many years to have a son of a rum puncheon cock his hat athwart my hawser at the latter end of it? You know the way; you're all gentlemen o' fortune, by your account. Well, I'm ready. Take a cutlass him that dares and I'll see the color of his inside, crutch and all, before that pipe's empty." — Y en a-t-il un de vous autres, messeigneurs, qui veut venir s’expliquer dehors avec moi ? rugit Silver de dessus son tonnelet, en avançant fortement le haut du corps et agitant vers eux sa pipe brasillante. Si c’est cela que vous voulez, dites-le : vous n’êtes pas muets, je suppose. Celui qui le désire sera servi. Aurai-je donc vécu tant d’années pour me voir finalement braver en face par un fils d’ivrognesse ? Vous connaissez le système, puisque vous êtes tous gentilshommes de fortune, à vous entendre. Eh bien, je suis prêt. Qu’il prenne un coutelas, celui qui ose, et je verrai la couleur de ses tripes, tout béquillard que je suis, avant la fin de cette pipe.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
"It is a thing of the highest interest, and upon which our future fortune perhaps depends." — Une chose du plus haut intérêt et de laquelle dépend notre fortune à venir, peut-être.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Then I believe you. You appear to be a brave young man; besides, your fortune may perhaps be the result of your devotedness." — Tenez, je vous crois ; vous avez l’air d’un brave jeune homme. D’ailleurs votre fortune est peut-être au bout de votre dévoûement.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
This was the more so because Bonacieux's reflections were all rose-colored. Rochefort called him his friend, his dear Bonacieux, and never ceased telling him that the cardinal had a great respect for him. The mercer fancied himself already on the high road to honors and fortune. D’autant plus que les réflexions de Bonacieux étaient toutes couleur de rose. Rochefort l’appelait son ami, son cher Bonacieux, et ne cessait de lui dire que le cardinal faisait le plus grand cas de lui. Le mercier se voyait déjà sur le chemin des honneurs et de la fortune.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Then," he continued, "then you'll up, and you'll say this: Gunn is a good man (you'll say), and he puts a precious sight more confidence—a precious sight, mind that—in a gen'leman born than in these gen'lemen of fortune, having been one hisself." — Alors, continua-t-il, alors tu te redresseras et tu lui diras ceci : « Gunn est un homme de bien (que tu diras) et il a un riche coup plus de confiance… un riche coup plus, souviens-toi bien… dans un gentilhomme de naissance que dans ces gentilshommes de fortune, en ayant été un lui-même. »
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
"Nobody in this here island ever heard of Darby," he muttered; "not one but us that's here." And then, making a great effort: "Shipmates," he cried, "I'm here to get that stuff, and I'll not be beat by man or devil. I never was feared of Flint in his life, and, by the powers, I'll face him dead. There's seven hundred thousand pound not a quarter of a mile from here. When did ever a gentleman o' fortune show his stern to that much dollars for a boozy old seaman with a blue mug—and him dead, too?" — Personne dans cette île ne sait rien de Darby, murmura-t-il, personne en dehors de nous autres. (Et puis, faisant un grand effort :) Camarades, cria-t-il, je suis venu ici pour avoir cette marchandise, et je ne reculerai devant homme ni diable. Flint vivant ne m’a jamais fait peur et, par tous les diables ! je le braverai mort. À moins d’un quart de mille d’ici, il y a sept cent mille livres enterrées. Quand donc un gentilhomme de fortune a-t-il jamais tourné la poupe à autant de galette, à cause d’un vieux pochard de marin à gueule bleue… et qui est mort, avec ça !
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
Then d'Artagnan, as the reader, from whom we have not concealed the state of his fortune, very well knows--d'Artagnan was not a millionaire; he hoped to become one someday, but the time which in his own mind he fixed upon for this happy change was still far distant. In the meanwhile, how disheartening to see the woman one loves long for those thousands of nothings which constitute a woman's happiness, and be unable to give her those thousands of nothings. At least, when the woman is rich and the lover is not, that which he cannot offer she offers to herself; and although it is generally with her husband's money that she procures herself this indulgence, the gratitude for it seldom reverts to him. Puis d’Artagnan, comme le sait très bien le lecteur, auquel nous n’avons pas caché l’état de sa fortune, d’Artagnan n’était pas un millionnaire ; il espérait bien le devenir un jour ; mais le temps qu’il se fixait lui-même pour cet heureux changement était assez éloigné. En attendant, quel désespoir que de voir une femme qu’on aime désirer ces mille riens dont les femmes composent leur bonheur, et de ne pouvoir lui donner ces mille riens. Au moins quand la femme est riche et que l’amant ne l’est pas, ce qu’il ne peut lui offrir, elle se l’offre elle-même, et quoique ce soit ordinairement avec l’argent du mari qu’elle se passe cette jouissance, il est rare que ce soit à lui qu’en revienne la reconnaissance.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Never mind about that. For six months, I have worked on this affair, investigated it, studied it, questioned the servants, the money-lenders and men of straw; for six months, I have shadowed the husband and wife. Consequently, I know what I am talking about. Whether the fortune came to them from old Brawford, as they pretend, or from some other source, I do not care. I know that it is a reality; that it exists. And some day it will be mine." — Laisse-les courir. Il y a six mois que je poursuis l’affaire, six mois que je me renseigne, que j’étudie, que je tends mes filets, que j’interroge les domestiques, les prêteurs et les hommes de paille, six mois que je vis dans l’ombre du mari et de la femme. Par conséquent je sais à quoi m’en tenir. Que la fortune provienne du vieux Brawford, comme ils le prétendent, ou d’une autre source, j’affirme qu’elle existe. Et puisqu’elle existe, elle est à moi.
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc
I tried one or two explanations, but, indeed, I was completely puzzled myself. Our friend’s title, his fortune, his age, his character, and his appearance are all in his favour, and I know nothing against him, unless it be this dark fate which runs in his family. That his advances should be rejected so brusquely without any reference to the lady’s own wishes, and that the lady should accept the situation without protest, is very amazing. However, our conjectures were set at rest by a visit from Stapleton himself that very afternoon. He had come to offer apologies for his rudeness of the morning, and after a long private interview with Sir Henry in his study the upshot of their conversation was that the breach is quite healed, and that we are to dine at Merripit House next Friday as a sign of it. « Je risquai une ou deux explications ; mais j’étais en réalité tout aussi troublé que sir Henry. « Le titre de notre ami, sa fortune, son âge, ses manières, son physique, tout militait en sa faveur. On ne pouvait rien lui reprocher — rien que le fatal destin qui s’acharnait sur sa famille. « Pourquoi repousser brusquement ses avances, sans même prendre l’avis de la personne qui en était l’objet ? Et pourquoi miss Stapleton avait-elle obéi à son frère, sans protester autrement que par son effarement ? « Dans l’après-midi, une visite du naturaliste fit cesser nos conjectures. Il venait s’excuser de sa conduite grossière. « Après un long entretien avec sir Henry, dans le cabinet de ce dernier, tout malentendu fut dissipé, et l’on convint que, pour fêter cette réconciliation, nous irions dîner le vendredi suivant à Merripit house.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle