Translations for his in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
However, I did not wish to go away without letting Marguerite know why I went. Only a man who really cares no more for his mistress leaves her without writing to her. I made and remade twenty letters in my head. I had had to do with a woman like all other women of the kind. I had been poetizing too much. She had treated me like a school-boy, she had used in deceiving me a trick which was insultingly simple. My self-esteem got the upper hand. I must leave this woman without giving her the satisfaction of knowing that she had made me suffer, and this is what I wrote to her in my most elegant handwriting and with tears of rage and sorrow in my eyes: Cependant je ne voulais pas partir sans que Marguerite sût bien pourquoi je partais. Seul, un homme qui n'aime décidément plus sa maîtresse la quitte sans lui écrire. Je fis et refis vingt lettres dans ma tête. J'avais eu affaire à une fille semblable à toutes les filles entretenues, je l'avais beaucoup trop poétisée, elle m'avait traité en écolier, en employant, pour me tromper, une ruse d'une simplicité insultante, c'était clair. Mon amour-propre prit alors le dessus. Il fallait quitter cette femme sans lui donner la satisfaction de savoir ce que cette rupture me faisait souffrir, et voici ce que je lui écrivis de mon écriture la plus élégante, et des larmes de rage et de douleur dans les yeux:
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"That is he, that is he; but his name?" — C’est cela, c’est cela ; mais son nom ?
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Yes, monsieur," replied the citizen, giving a still fainter intonation to his voice. — Oui, monsieur, répondit le bourgeois en donnant à sa voix une intonation plus sourde encore.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Ah, his name? I do not know that." — Ah ! son nom ? C’est ce que j’ignore.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
I scarcely dared reply, for the tone in which the words were spoken proved to me that the speaker was still possessed by the emotion which I had witnessed before, and that every time his thoughts or speech travelled back to that mournful subject emotion would still, for a long time to come, prove stronger than his will. I contented myself with a nod of the head. C'est à peine si j'osais répondre, car le ton de cette phrase me prouvait que celui qui me l'avait dite était toujours en proie à l'émotion dont j'avais été le témoin, et que chaque fois que sa pensée ou la parole d'un autre le reporterait sur ce douloureux sujet, pendant longtemps encore cette émotion trahirait sa volonté. Je me contentai donc de répondre par un signe de tête.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Illnesses like Armand’s have one fortunate thing about them: they either kill outright or are very soon overcome. A fortnight after the events which I have just related Armand was convalescent, and we had already become great friends. During the whole course of his illness I had hardly left his side. Les maladies comme celle dont Armand avait été atteint ont cela d'agréable qu'elles tuent sur le coup ou se laissent vaincre très vite. Quinze jours après les événements que je viens de raconter, Armand était en pleine convalescence, et nous étions liés d'une étroite amitié. À peine si j'avais quitté sa chambre tout le temps qu'avait duré sa maladie.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"I do not know that; what I do know is that he is a creature of the cardinal, his evil genius." — Ah ! son nom ? vous m’en demandez trop ; je suis sûr seulement que c’est une créature du cardinal, son âme damnée.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
D'Artagnan found his advice prudent. He took to his heels, and was soon at M. de Treville's; but instead of going into the saloon with the rest of the crowd, he asked to be introduced to M. de Treville's office. As d'Artagnan so constantly frequented the hotel, no difficulty was made in complying with his request, and a servant went to inform M. de Treville that his young compatriot, having something important to communicate, solicited a private audience. Five minutes after, M. de Treville was asking d'Artagnan what he could do to serve him, and what caused his visit at so late an hour. D’Artagnan trouva le conseil prudent ; il prit ses jambes à son cou, et arriva chez M. de Tréville ; mais au lieu de passer au salon avec tout le monde, il demanda à entrer dans son cabinet. Comme d’Artagnan était un des habitués de l’hôtel, on ne fit aucune difficulté d’accéder à sa demande, et l’on alla prévenir M. de Tréville que son jeune compatriote, ayant quelque chose d’important à lui dire, sollicitait une audience particulière. Cinq minutes après, M. de Tréville demandait à d’Artagnan ce qu’il pouvait faire pour son service, et ce qui lui valait sa visite à une heure si avancée.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
D'Artagnan found his advice prudent. He took to his heels, and was soon at M. de Treville's; but instead of going into the saloon with the rest of the crowd, he asked to be introduced to M. de Treville's office. As d'Artagnan so constantly frequented the hotel, no difficulty was made in complying with his request, and a servant went to inform M. de Treville that his young compatriot, having something important to communicate, solicited a private audience. Five minutes after, M. de Treville was asking d'Artagnan what he could do to serve him, and what caused his visit at so late an hour. D’Artagnan trouva le conseil prudent ; il prit ses jambes à son cou, et arriva chez M. de Tréville ; mais au lieu de passer au salon avec tout le monde, il demanda à entrer dans son cabinet. Comme d’Artagnan était un des habitués de l’hôtel, on ne fit aucune difficulté d’accéder à sa demande, et l’on alla prévenir M. de Tréville que son jeune compatriote, ayant quelque chose d’important à lui dire, sollicitait une audience particulière. Cinq minutes après, M. de Tréville demandait à d’Artagnan ce qu’il pouvait faire pour son service, et ce qui lui valait sa visite à une heure si avancée.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
D'Artagnan found his advice prudent. He took to his heels, and was soon at M. de Treville's; but instead of going into the saloon with the rest of the crowd, he asked to be introduced to M. de Treville's office. As d'Artagnan so constantly frequented the hotel, no difficulty was made in complying with his request, and a servant went to inform M. de Treville that his young compatriot, having something important to communicate, solicited a private audience. Five minutes after, M. de Treville was asking d'Artagnan what he could do to serve him, and what caused his visit at so late an hour. D’Artagnan trouva le conseil prudent ; il prit ses jambes à son cou, et arriva chez M. de Tréville ; mais au lieu de passer au salon avec tout le monde, il demanda à entrer dans son cabinet. Comme d’Artagnan était un des habitués de l’hôtel, on ne fit aucune difficulté d’accéder à sa demande, et l’on alla prévenir M. de Tréville que son jeune compatriote, ayant quelque chose d’important à lui dire, sollicitait une audience particulière. Cinq minutes après, M. de Tréville demandait à d’Artagnan ce qu’il pouvait faire pour son service, et ce qui lui valait sa visite à une heure si avancée.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“The first word he said to me when he came to the cemetery was: ‘How can I see her again?’ That can’t be done unless there is a change of grave, and I told him all about the formalities that have to be attended to in getting it done; for, you see, if you want to move a body from one grave to another you must have it identified, and only the family can give leave for it under the direction of a police inspector. That is why M. Duval has gone to see Mlle. Gautier’s sister, and you may be sure his first visit will be for me.” —Le premier mot qu'il m'a dit en venant au cimetière a été: «Comment faire pour la voir encore?» Cela ne pouvait avoir lieu que par le changement de tombe, et je l'ai renseigné sur toutes les formalités à remplir pour obtenir ce changement, car vous savez que pour transférer les morts d'un tombeau dans un autre, il faut les reconnaître, et la famille seule peut autoriser cette opération, à laquelle doit présider un commissaire de police. C'est pour avoir cette autorisation que M. Duval est allé chez la sœur de mademoiselle Gautier, et sa première visite sera évidemment pour nous.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Nevertheless, his steps became more irregular; he seemed to walk by a series of jerks; his teeth chattered; his hands were cold; a violent agitation ran through his body. I spoke to him; he did not answer. He was just able to let himself be led along. A cab was waiting at the gate. It was only just in time. Scarcely had he seated himself, when the shivering became more violent, and he had an actual attack of nerves, in the midst of which his fear of frightening me made him press my hand and whisper: “It is nothing, nothing. I want to weep.” Cependant sa marche devint saccadée; il semblait ne plus avancer que par secousses; ses dents claquaient, ses mains étaient froides, une violente agitation nerveuse s'emparait de toute sa personne. Je lui parlai, il ne me répondit pas. Tout ce qu'il pouvait faire, c'était de se laisser conduire. À la porte nous retrouvâmes une voiture. Il était temps. À peine y eut-il pris place, que le frisson augmenta et qu'il eut une véritable attaque de nerfs, au milieu de laquelle la crainte de m'effrayer lui faisait murmurer en me pressant la main: —Ce n'est rien, ce n'est rien, je voudrais pleurer.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Nevertheless, his steps became more irregular; he seemed to walk by a series of jerks; his teeth chattered; his hands were cold; a violent agitation ran through his body. I spoke to him; he did not answer. He was just able to let himself be led along. A cab was waiting at the gate. It was only just in time. Scarcely had he seated himself, when the shivering became more violent, and he had an actual attack of nerves, in the midst of which his fear of frightening me made him press my hand and whisper: “It is nothing, nothing. I want to weep.” Cependant sa marche devint saccadée; il semblait ne plus avancer que par secousses; ses dents claquaient, ses mains étaient froides, une violente agitation nerveuse s'emparait de toute sa personne. Je lui parlai, il ne me répondit pas. Tout ce qu'il pouvait faire, c'était de se laisser conduire. À la porte nous retrouvâmes une voiture. Il était temps. À peine y eut-il pris place, que le frisson augmenta et qu'il eut une véritable attaque de nerfs, au milieu de laquelle la crainte de m'effrayer lui faisait murmurer en me pressant la main: —Ce n'est rien, ce n'est rien, je voudrais pleurer.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Let our readers reassure themselves. IF d'Artagnan forgets his host, or appears to forget him, under the pretense of not knowing where he has been carried, we will not forget him, and we know where he is. But for the moment, let us do as did the amorous Gascon; we will see after the worthy mercer later. Cependant que nos lecteurs se rassurent : si d’Artagnan oublie son hôte ou fait semblant de l’oublier, sous prétexte qu’il ne sait pas où on l’a conduit, nous ne l’oublions pas, nous, et nous savons où il est. Mais pour le moment faisons comme le Gascon amoureux. Quant au digne mercier, nous reviendrons à lui plus tard.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“Yes; but he is an old man, and I am sure that Marguerite is not his mistress. Then, it is all very well to accept one liaison, but not two. Such easiness in the matter is very like calculation, and puts the man who consents to it, even out of love, very much in the category of those who, in a lower stage of society, make a trade of their connivance, and a profit of their trade.” —Oui, mais celui-là est un vieillard, et je suis sûr que Marguerite n'est pas sa maîtresse. Puis, on peut souvent accepter une liaison et n'en pas accepter deux. Cette facilité ressemble trop à un calcul et rapproche l'homme qui y consent, même par amour, de ceux qui, un étage plus bas, font un métier de ce consentement et un profit de ce métier.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
This is what I was told on the subject. In the spring of 1847 Marguerite was so ill that the doctors ordered her to take the waters, and she went to Bagneres. Among the invalids was the daughter of this duke; she was not only suffering from the same complaint, but she was so like Marguerite in appearance that they might have been taken for sisters; the young duchess was in the last stage of consumption, and a few days after Marguerite’s arrival she died. One morning, the duke, who had remained at Bagneres to be near the soil that had buried a part of his heart, caught sight of Marguerite at a turn of the road. He seemed to see the shadow of his child, and going up to her, he took her hands, embraced and wept over her, and without even asking her who she was, begged her to let him love in her the living image of his dead child. Marguerite, alone at Bagneres with her maid, and not being in any fear of compromising herself, granted the duke’s request. Some people who knew her, happening to be at Bagneres, took upon themselves to explain Mademoiselle Gautier’s true position to the duke. It was a blow to the old man, for the resemblance with his daughter was ended in one direction, but it was too late. She had become a necessity to his heart, his only pretext, his only excuse, for living. He made no reproaches, he had indeed no right to do so, but he asked her if she felt herself capable of changing her mode of life, offering her in return for the sacrifice every compensation that she could desire. She consented. Voici ce qu'on m'a raconté à ce sujet. Au printemps de 1842, Marguerite était si faible, si changée que les médecins lui ordonnèrent les eaux, et qu'elle partit pour Bagnères. Là, parmi les malades, se trouvait la fille de ce duc, laquelle avait non seulement la même maladie, mais encore le même visage que Marguerite, au point qu'on eût pu les prendre pour les deux sœurs. Seulement la jeune duchesse était au troisième degré de la phtisie, et peu de jours après l'arrivée de Marguerite elle succombait. Un matin, le duc, resté à Bagnères comme on reste sur le sol qui ensevelit une partie du cœur, aperçut Marguerite au détour d'une allée. Il lui sembla voir passer l'ombre de son enfant et, marchant vers elle, il lui prit les mains, l'embrassa en pleurant, et, sans lui demander qui elle était, implora la permission de la voir et d'aimer en elle l'image vivante de sa fille morte. Marguerite, seule à Bagnères avec sa femme de chambre, et d'ailleurs n'ayant aucune crainte de se compromettre, accorda au duc ce qu'il lui demandait. Il se trouvait à Bagnères des gens qui la connaissaient, et qui vinrent officiellement avertir le duc de la véritable position de mademoiselle Gautier. Ce fut un coup pour le vieillard, car là cessait la ressemblance avec sa fille; mais il était trop tard. La jeune femme était devenue un besoin de son cœur et son seul prétexte, sa seule excuse de vivre encore. Il ne lui fit aucun reproche, il n'avait pas le droit de lui en faire, mais il lui demanda si elle se sentait capable de changer sa vie, lui offrant en échange de ce sacrifice toutes les compensations qu'elle pourrait désirer. Elle promit.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
This is what I was told on the subject. In the spring of 1847 Marguerite was so ill that the doctors ordered her to take the waters, and she went to Bagneres. Among the invalids was the daughter of this duke; she was not only suffering from the same complaint, but she was so like Marguerite in appearance that they might have been taken for sisters; the young duchess was in the last stage of consumption, and a few days after Marguerite’s arrival she died. One morning, the duke, who had remained at Bagneres to be near the soil that had buried a part of his heart, caught sight of Marguerite at a turn of the road. He seemed to see the shadow of his child, and going up to her, he took her hands, embraced and wept over her, and without even asking her who she was, begged her to let him love in her the living image of his dead child. Marguerite, alone at Bagneres with her maid, and not being in any fear of compromising herself, granted the duke’s request. Some people who knew her, happening to be at Bagneres, took upon themselves to explain Mademoiselle Gautier’s true position to the duke. It was a blow to the old man, for the resemblance with his daughter was ended in one direction, but it was too late. She had become a necessity to his heart, his only pretext, his only excuse, for living. He made no reproaches, he had indeed no right to do so, but he asked her if she felt herself capable of changing her mode of life, offering her in return for the sacrifice every compensation that she could desire. She consented. Voici ce qu'on m'a raconté à ce sujet. Au printemps de 1842, Marguerite était si faible, si changée que les médecins lui ordonnèrent les eaux, et qu'elle partit pour Bagnères. Là, parmi les malades, se trouvait la fille de ce duc, laquelle avait non seulement la même maladie, mais encore le même visage que Marguerite, au point qu'on eût pu les prendre pour les deux sœurs. Seulement la jeune duchesse était au troisième degré de la phtisie, et peu de jours après l'arrivée de Marguerite elle succombait. Un matin, le duc, resté à Bagnères comme on reste sur le sol qui ensevelit une partie du cœur, aperçut Marguerite au détour d'une allée. Il lui sembla voir passer l'ombre de son enfant et, marchant vers elle, il lui prit les mains, l'embrassa en pleurant, et, sans lui demander qui elle était, implora la permission de la voir et d'aimer en elle l'image vivante de sa fille morte. Marguerite, seule à Bagnères avec sa femme de chambre, et d'ailleurs n'ayant aucune crainte de se compromettre, accorda au duc ce qu'il lui demandait. Il se trouvait à Bagnères des gens qui la connaissaient, et qui vinrent officiellement avertir le duc de la véritable position de mademoiselle Gautier. Ce fut un coup pour le vieillard, car là cessait la ressemblance avec sa fille; mais il était trop tard. La jeune femme était devenue un besoin de son cœur et son seul prétexte, sa seule excuse de vivre encore. Il ne lui fit aucun reproche, il n'avait pas le droit de lui en faire, mais il lui demanda si elle se sentait capable de changer sa vie, lui offrant en échange de ce sacrifice toutes les compensations qu'elle pourrait désirer. Elle promit.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
The duke wrote to her two or three times. She recognised the writing and gave me the letters without reading them. Sometimes the terms of these letters brought tears to my eyes. He had imagined that by closing his purse to Marguerite, he would bring her back to him; but when he had perceived the uselessness of these means, he could hold out no longer; he wrote and asked that he might see her again, as before, no matter on what conditions. Deux ou trois fois le duc lui écrivit. Elle reconnut l'écriture et me donna les lettres sans les lire. Quelquefois les termes de ces lettres me faisaient venir les larmes aux yeux. Il avait cru, en fermant sa bourse à Marguerite, la ramener à lui; mais quand il avait vu l'inutilité de ce moyen, il n'avait pas pu y tenir; il avait écrit, redemandant, comme autrefois, la permission de revenir, quelles que fussent les conditions mises à ce retour.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Armand passed his hand across his eyes and replied, “Exactly three weeks.” Armand passa la main sur ses yeux et me répondit: —Trois semaines juste.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Armand leaned against a tree and watched. All his life seemed to pass before his eyes. Suddenly one of the two pickaxes struck against a stone. At the sound Armand recoiled, as at an electric shock, and seized my hand with such force as to give me pain. Armand s'appuya contre un arbre et regarda. Toute sa vie semblait être passée dans ses yeux. Tout à coup une des deux pioches grinça contre une pierre. À ce bruit, Armand recula comme à une commotion électrique, et me serra la main avec une telle force qu'il me fit mal.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Armand leaned against a tree and watched. All his life seemed to pass before his eyes. Suddenly one of the two pickaxes struck against a stone. At the sound Armand recoiled, as at an electric shock, and seized my hand with such force as to give me pain. Armand s'appuya contre un arbre et regarda. Toute sa vie semblait être passée dans ses yeux. Tout à coup une des deux pioches grinça contre une pierre. À ce bruit, Armand recula comme à une commotion électrique, et me serra la main avec une telle force qu'il me fit mal.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
D'Artagnan, reflecting on his future amours, addressing himself to the beautiful night, and smiling at the stars, ascended the Rue Cherish-Midi, or Chase-Midi, as it was then called. As he found himself in the quarter in which Aramis lived, he took it into his head to pay his friend a visit in order to explain the motives which had led him to send Planchet with a request that he would come instantly to the mousetrap. Now, if Aramis had been at home when Planchet came to his abode, he had doubtless hastened to the Rue des Fossoyeurs, and finding nobody there but his other two companions perhaps, they would not be able to conceive what all this meant. This mystery required an explanation; at least, so d'Artagnan declared to himself. D’Artagnan, tout en réfléchissant à ses futures amours, tout en parlant à la nuit, tout en souriant aux étoiles, remontait la rue du Cherche-Midi ou Chasse-Midi, ainsi qu’on l’appelait alors. Comme il se trouvait dans le quartier d’Aramis, l’idée lui était venue d’aller faire une visite à son ami pour lui donner quelques explications sur les motifs qui lui avaient fait envoyer Planchet avec invitation de se rendre immédiatement à la Souricière. Or, si Aramis s’était trouvé chez lui lorsque Planchet y était venu, il avait sans aucun doute couru rue des Fossoyeurs, et n’y trouvant personne que ses deux autres compagnons peut-être, ils n’avaient dû savoir, ni les uns ni les autres, ce que cela voulait dire. Ce dérangement méritait donc une explication ; voilà ce que disait tout haut d’Artagnan.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
D'Artagnan, reflecting on his future amours, addressing himself to the beautiful night, and smiling at the stars, ascended the Rue Cherish-Midi, or Chase-Midi, as it was then called. As he found himself in the quarter in which Aramis lived, he took it into his head to pay his friend a visit in order to explain the motives which had led him to send Planchet with a request that he would come instantly to the mousetrap. Now, if Aramis had been at home when Planchet came to his abode, he had doubtless hastened to the Rue des Fossoyeurs, and finding nobody there but his other two companions perhaps, they would not be able to conceive what all this meant. This mystery required an explanation; at least, so d'Artagnan declared to himself. D’Artagnan, tout en réfléchissant à ses futures amours, tout en parlant à la nuit, tout en souriant aux étoiles, remontait la rue du Cherche-Midi ou Chasse-Midi, ainsi qu’on l’appelait alors. Comme il se trouvait dans le quartier d’Aramis, l’idée lui était venue d’aller faire une visite à son ami pour lui donner quelques explications sur les motifs qui lui avaient fait envoyer Planchet avec invitation de se rendre immédiatement à la Souricière. Or, si Aramis s’était trouvé chez lui lorsque Planchet y était venu, il avait sans aucun doute couru rue des Fossoyeurs, et n’y trouvant personne que ses deux autres compagnons peut-être, ils n’avaient dû savoir, ni les uns ni les autres, ce que cela voulait dire. Ce dérangement méritait donc une explication ; voilà ce que disait tout haut d’Artagnan.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas