Translations for ignorance in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
"Enmore Park, W. "Sir,—I have duly received your note, in which you claim to endorse my views, although I am not aware that they are dependent upon endorsement either from you or anyone else. You have ventured to use the word 'speculation' with regard to my statement upon the subject of Darwinism, and I would call your attention to the fact that such a word in such a connection is offensive to a degree. The context convinces me, however, that you have sinned rather through ignorance and tactlessness than through malice, so I am content to pass the matter by. You quote an isolated sentence from my lecture, and appear to have some difficulty in understanding it. I should have thought that only a sub-human intelligence could have failed to grasp the point, but if it really needs amplification I shall consent to see you at the hour named, though visits and visitors of every sort are exceeding distasteful to me. As to your suggestion that I may modify my opinion, I would have you know that it is not my habit to do so after a deliberate expression of my mature views. You will kindly show the envelope of this letter to my man, Austin, when you call, as he has to take every precaution to shield me from the intrusive rascals who call themselves 'journalists.' "Yours faithfully, " George Edward Challenger. "       « ENMORE PARK, W.     « Monsieur, « J’ai bien reçu la lettre par laquelle vous m’offrez d’endosser mes vues. Mes vues n’ont besoin d’être endossées ni par vous ni par personne. Vous vous risquez à taxer de « spéculations » mes déclarations sur le darwinisme ; et je tiens à vous signaler la grave inconvenance d’un pareil mot en pareille matière. Le contexte, cependant, me prouve que vous avez péché plutôt par ignorance et manque de tact que par malice ; je passe donc condamnation là-dessus. Une phrase de mon travail me semble vous donner quelque tablature. J’aurais cru que seule une intelligence au-dessous de la moyenne ne dût pas tout de suite saisir ce point ; si vraiment il demande explication, je veux bien vous voir à l’heure dite, malgré l’extrême déplaisir que me causent toujours les visites et les visiteurs. Gardez-vous de croire, comme vous le faites, que je puisse modifier mon opinion ; je n’exprime jamais une opinion que de propos délibéré, après l’avoir mûrement réfléchie ; et me reprendre n’est pas dans mes habitudes. Veuillez, quand vous vous présenterez, montrer à mon domestique, Austin, l’enveloppe de cette lettre : car il doit prendre toutes sortes de précautions pour me défendre contre ces coquins importuns qui s’intitulent des journalistes.   « Fidèlement vôtre « Georges-Édouard Challenger. »
The Lost World, by Arthur Conan Doyle Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle
"I glanced at the books upon the table, and in spite of my ignorance of German I could see that two of them were treatises on science, the others being volumes of poetry. Then I walked across to the window, hoping that I might catch some glimpse of the country-side, but an oak shutter, heavily barred, was folded across it. It was a wonderfully silent house. There was an old clock ticking loudly somewhere in the passage, but otherwise everything was deadly still. A vague feeling of uneasiness began to steal over me. Who were these German people, and what were they doing, living in this strange, out-of-the-way place? And where was the place? I was ten miles or so from Eyford, that was all I knew, but whether north, south, east, or west I had no idea. For that matter, Reading, and possibly other large towns, were within that radius, so the place might not be so secluded, after all. Yet it was quite certain, from the absolute stillness, that we were in the country. I paced up and down the room, humming a tune under my breath to keep up my spirits, and feeling that I was thoroughly earning my fifty-guinea fee. Je regardai les livres et malgré mon ignorance de l’allemand, je constatai que deux d’entre eux étaient des traités scientifiques, et les autres des livres de poésie. J’allai à la fenêtre, espérant voir la campagne, mais la fenêtre était fermée par un volet de chêne, assujetti au moyen d’une forte barre de fer. Cette maison était étonnamment silencieuse. En dehors du tic-tac d’une vieille pendule dans le corridor, tout semblait mort dans cette demeure. Un vague sentiment de malaise commença à m’envahir. Qui étaient ces Allemands, et que faisaient-ils dans cet endroit étrange écarté ? Où était cet endroit ? J’étais à dix milles, ou à peu près d’Eyford, c’est tout ce que je savais, mais au nord, au sud, à l’est, à l’ouest ? impossible de s’en rendre compte. Pour me rassurer je me disais que Reading, et peut-être d’autres grandes villes, se trouvaient dans le rayon et qu’après tout l’endroit pouvait bien n’être pas aussi isolé que je l’avais cru tout d’abord. Cependant, d’après le calme environnant, il était bien certain que nous étions en pleine campagne. J’arpentais la pièce de long en large, fredonnant un air pour me donner du courage, et trouvant que je gagnais bien mes cinquante guinées.
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle
"Yes, doubtless," replied d'Artagnan, who had never been able to cram the first rudiments of that language into his head, and who had by his ignorance driven his master to despair, "yes, doubtless there is one." — Oui, sans doute, reprit d’Artagnan, qui n’avait jamais pu se fourrer la première règle du Rudiment dans la tête et qui, par son ignorance, avait fait le désespoir de son précepteur ; oui, sans doute, il doit y en avoir un.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas