Translations for ivy in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
And yet it was not quite the last. I found myself weary and yet wakeful, tossing restlessly from side to side, seeking for the sleep which would not come. Far away a chiming clock struck out the quarters of the hours, but otherwise a deathly silence lay upon the old house. And then suddenly, in the very dead of the night, there came a sound to my ears, clear, resonant, and unmistakable. It was the sob of a woman, the muffled, strangling gasp of one who is torn by an uncontrollable sorrow. I sat up in bed and listened intently. The noise could not have been far away, and was certainly in the house. For half an hour I waited with every nerve on the alert, but there came no other sound save the chiming clock and the rustle of the ivy on the wall. Et cependant elle devait être suivie d’une autre non moins pénible ! La fatigue me tenait éveillé. Je me retournais dans mon lit, à la recherche d’un sommeil qui me fuyait sans cesse. Dans le lointain, une horloge à carillon sonnait tous les quarts ; elle rompait seule le silence de mort qui pesait sur la maison. Tout à coup un bruit parvint à mon oreille, distinct, sonore, reconnaissable. C’était un gémissement de femme — le gémissement étouffé de quelqu’un en proie à un inconsolable chagrin. Je me dressai sur mon séant et j’écoutai avidement. Le bruit était proche et venait certainement de l’intérieur du château. Les nerfs tendus, je demeurai ainsi plus d’une demi-heure ; mais je ne perçus plus que le carillon de l’horloge et le frôlement des branches de lierre contre les volets de ma fenêtre.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle
October 17th .—All day to-day the rain poured down, rustling on the ivy and dripping from the eaves. I thought of the convict out upon the bleak, cold, shelterless moor. Poor fellow! Whatever his crimes, he has suffered something to atone for them. And then I thought of that other one—the face in the cab, the figure against the moon. Was he also out in that deluge—the unseen watcher, the man of darkness? In the evening I put on my waterproof and I walked far upon the sodden moor, full of dark imaginings, the rain beating upon my face and the wind whistling about my ears. God help those who wander into the Great Mire now, for even the firm uplands are becoming a morass. I found the black Tor upon which I had seen the solitary watcher, and from its craggy summit I looked out myself across the melancholy downs. Rain squalls drifted across their russet face, and the heavy, slate-coloured clouds hung low over the landscape, trailing in grey wreaths down the sides of the fantastic hills. In the distant hollow on the left, half hidden by the mist, the two thin towers of Baskerville Hall rose above the trees. They were the only signs of human life which I could see, save only those prehistoric huts which lay thickly upon the slopes of the hills. Nowhere was there any trace of that lonely man whom I had seen on the same spot two nights before. «  17 octobre. — La pluie n’a cessé de tomber toute la journée, fouettant les vitres et les feuilles du lierre qui tapisse le château. « Malgré moi, je songeais au prisonnier évadé qui errait sans abri sur la lande morne et glaciale. Le pauvre diable ! Quels que soient ses crimes, il faut lui tenir compte de ce qu’il a souffert. « Ce souvenir en évoque d’autres : celui de l’homme entrevu à travers la glace du cab et la silhouette qui se profila sur le ciel, au sommet du pic. Était-il également dehors, sous ce déluge, cet ami des ténèbres, ce veilleur inconnu ? « Vers le soir, je passai mon manteau en caoutchouc et je sortis sur la lande. « La pluie me battait le visage ; le vent sifflait à mes oreilles. J’étais en proie aux plus sombres pensées. Que Dieu vienne en aide à ceux qui s’engagent à cette heure sur la fondrière de Grimpen, car la terre ferme n’est déjà plus qu’un immense marécage ! « Je gravis le pic Noir, celui sur lequel j’avais aperçu le veilleur solitaire, et du haut de sa cime rocheuse, je contemplai à mon tour la plaine dénudée qui s’étendait à mes pieds. « Les rafales de pluie s’écrasaient sur la surface rouge de la terre et les nuages, lourds, aux teintes d’ardoise, formaient comme de grises couronnes aux sommets des collines fantastiques. « À gauche, dans un bas-fond à moitié caché par les embruns, les deux tourelles du château de Baskerville se dressaient au-dessus des arbres du parc. Elles représentaient, avec les huttes préhistoriques qui se pressaient sur le flanc des coteaux, les seuls indices de vie humaine que je pusse apercevoir. « Je ne découvris aucune trace de l’homme entrevu, deux nuits auparavant, à l’endroit même où je me trouvais.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle