Translations for music in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
But, sooner than the moral metamorphosis, a physical metamorphosis came about in Marguerite. I had taken her cure in hand, and the poor girl, seeing my aim, obeyed me in order to prove her gratitude. I had succeeded without effort or trouble in almost isolating her from her former habits. My doctor, whom I had made her meet, had told me that only rest and calm could preserve her health, so that in place of supper and sleepless nights, I succeeded in substituting a hygienic regime and regular sleep. In spite of herself, Marguerite got accustomed to this new existence, whose salutary effects she already realized. She began to spend some of her evenings at home, or, if the weather was fine, she wrapped herself in a shawl, put on a veil, and we went on foot, like two children, in the dim alleys of the Champs-Elysees. She would come in tired, take a light supper, and go to bed after a little music or reading, which she had never been used to do. The cough, which every time that I heard it seemed to go through my chest, had almost completely disappeared. | En attendant la métamorphose morale, une métamorphose physique s'était opérée chez Marguerite. J'avais entrepris sa guérison, et la pauvre fille, devinant mon but, m'obéissait pour me prouver sa reconnaissance. J'étais parvenu sans secousses et sans effort à l'isoler presque de ses anciennes habitudes. Mon médecin, avec qui je l'avais fait trouver, m'avait dit que le repos seul et le calme pouvaient lui conserver la santé, de sorte qu'aux soupers et aux insomnies, j'étais arrivé à substituer un régime hygiénique et le sommeil régulier. Malgré elle, Marguerite s'habituait à cette nouvelle existence dont elle ressentait les effets salutaires. Déjà elle commençait à passer quelques soirées chez elle, ou bien, s'il faisait beau, elle s'enveloppait d'un cachemire, se couvrait d'un voile, et nous allions à pied, comme deux enfants, courir le soir dans les allées sombres des Champs-Elysées. Elle rentrait fatiguée, soupait légèrement, se couchait après avoir fait un peu de musique ou après avoir lu, ce qui ne lui était jamais arrivé. Les toux, qui, chaque fois que je les entendais, me déchiraient la poitrine, avaient disparu presque complètement. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“Oh,” said she, flinging herself on the sofa and motioning to us to sit down, “Gaston knows what my music is like. It is all very well when I am alone with the count, but I won’t inflict such a punishment on you.” | —Oh! fit-elle en se jetant sur le canapé et en nous faisant signe de nous y asseoir, Gaston sait bien quel genre de musique je fais. C'est bon quand je suis seule avec le comte, mais je ne voudrais pas vous faire endurer pareil supplice. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“Isn’t it incredible,” she said, exactly like a child, “that I can not succeed in playing that passage? Would you believe that I sometimes spend two hours of the morning over it? And when I think that that idiot of a count plays it without his music, and beautifully, I really believe it is that that makes me so furious with him.” And she began again, always with the same result. | —Est-ce incroyable, dit-elle avec une véritable intonation d'enfant, que je ne puisse pas arriver à jouer ce passage! Croiriez-vous que je reste quelquefois jusqu'à deux heures du matin dessus! Et quand je pense que cet imbécile de comte le joue sans musique et admirablement, c'est cela qui me rend furieuse contre lui, je crois. Et elle recommença, toujours avec les mêmes résultats. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“The devil take Weber, music, and pianos!” she cried, throwing the music to the other end of the room. “How can I play eight sharps one after another?” She folded her arms and looked at us, stamping her foot. The blood flew to her cheeks, and her lips half opened in a slight cough. | —Que le diable emporte Weber, la musique et les pianos! dit-elle en jetant le cahier à l'autre bout de la chambre; comprend-on que je ne puisse pas faire huit dièses de suite? Et elle se croisait les bras en nous regardant et en frappant du pied. Le sang lui monta aux joues et une toux légère entr'ouvrit ses lèvres. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
Gaston rose and went to the piano, and began to play the wonderful melody of Weber, the music of which stood open before him. | Gaston se leva, se mit au piano et commença cette merveilleuse mélodie de Weber, dont la musique était ouverte sur le pupitre. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
At first I had supposed "the dead man's chest." to be that identical big box of his upstairs in the front room, and the thought had been mingled in my nightmares with that of the one-legged seafaring man. But by this time we had all long ceased to pay any particular notice to the song; it was new, that night, to nobody but Doctor Livesey, and on him I observed it did not produce an agreeable effect, for he looked up for a moment quite angrily before he went on with his talk to old Taylor, the gardener, on a new cure for rheumatics. In the meantime the captain gradually brightened up at his own music, and at last flapped his hand upon the table before him in a way we all knew to mean—silence. The voices stopped at once, all but Doctor Livesey's; he went on as before, speaking clear and kind, and drawing briskly at his pipe between every word or two. The captain glared at him for awhile, flapped his hand again, glared still harder, and at last broke out with a villainous, low oath: "Silence, there, between decks!" | Au début, j’avais cru que « le coffre du mort » était sa grande cantine de là-haut dans la chambre de devant, et cette imagination s’était amalgamée dans mes cauchemars avec celle de l’homme de mer à une jambe. Mais à cette époque nous avions depuis longtemps cessé de faire aucune attention au refrain ; il n’était nouveau, ce soir-là, que pour le seul docteur Livesey, et je m’aperçus qu’il produisait sur lui un effet rien moins qu’agréable, car le docteur leva un instant les yeux avec une véritable irritation avant de continuer à entretenir le vieux Taylor, le jardinier, d’un nouveau traitement pour ses rhumatismes. Cependant, le capitaine s’excitait peu à peu à sa propre musique, et il finit par claquer de la main sur sa table, d’une manière que nous connaissions tous et qui exigeait le silence. Aussitôt, chacun se tut, sauf le docteur Livesey qui poursuivit comme devant, d’une voix claire et courtoise, en tirant une forte bouffée de sa pipe tous les deux ou trois mots. Le capitaine le dévisagea un instant avec courroux, fit claquer de nouveau sa main, puis le toisa d’un air farouche, et enfin lança avec un vil et grossier juron : — Silence, là-bas dans l’entrepont ! |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
To make assurance surer, 1 got upon my hands and knees, and crawled, without a sound, toward the corner of the house. As I drew nearer, my heart was suddenly and greatly lightened. It was not a pleasant noise in itself, and I have often complained of it at other times, but just then it was like music to hear my friends snoring together so loud and peaceful in their sleep. The sea-cry of the watch, that beautiful "All's well," never fell more reassuringly on my ear. | Pour plus de sûreté, je me tins à quatre pattes et rampai sans bruit vers l’angle de la maison. En approchant j’éprouvai un soudain et grand soulagement. Le bruit n’a rien d’agréable en soi, et je m’en suis souvent plaint, à d’autres moments ; mais en cette minute-là ce me fut une musique céleste que d’entendre mes amis ronfler avec ensemble, d’un sommeil si profond et paisible. Le cri maritime de la vigie, ce beau : « Ouvre l’œil ! » ne parut jamais plus rassurant à mes oreilles. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
"Then put on your hat and come. I am going through the city first, and we can have some lunch on the way. I observe that there is a good deal of German music on the programme, which is rather more to my taste than Italian or French. It is introspective, and I want to introspect. Come along!" | — Alors prenez votre chapeau et venez. Je traverserai d’abord la City où nous pourrons trouver à déjeuner. Le programme du concert nous annonce beaucoup de musique allemande ; vous savez combien je la préfère à la musique italienne ou française, et elle conviendra aujourd’hui tout particulièrement à mon état d’âme. Venez. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
“Ah! then yours wasn’t a really good school,” said the Mock Turtle in a tone of great relief. “Now at ours they had at the end of the bill, ‘French, music, and washing —extra.’” | “Ah! Alors votre pension n’était pas vraiment des bonnes,” dit la Fausse-Tortue comme soulagée d’un grand poids. “Eh bien, à notre pension il y avait au bas du prospectus: ‘l’italien, la musique, et le blanchissage en sus.’” |
Alice’s Adventures in Wonderland, by Lewis Carroll | Aventures d’Alice au Pays des Merveilles, par Lewis Carroll |
My friend was an enthusiastic musician, being himself not only a very capable performer, but a composer of no ordinary merit. All the afternoon he sat in the stalls wrapped in the most perfect happiness, gently waving his long, thin fingers in time to the music, while his gently smiling face and his languid, dreamy eyes were as unlike those of Holmes, the sleuth-hound, Holmes the relentless, keen-witted, ready-handed criminal agent, as it was possible to conceive. In his singular character the dual nature alternately asserted itself, and his extreme exactness and astuteness represented, as I have often thought, the reaction against the poetic and contemplative mood which occasionally predominated in him. The swing of his nature took him from extreme languor to devouring energy; and, as I knew well, he was never so truly formidable as when, for days on end, he had been lounging in his arm-chair amid his improvisations and his black-letter editions. Then it was that the lust of the chase would suddenly come upon him, and that his brilliant reasoning power would rise to the level of intuition, until those who were unacquainted with his methods would look askance at him as on a man whose knowledge was not that of other mortals. When I saw him that afternoon so enwrapped in the music at St. James's Hall I felt that an evil time might be coming upon those whom he had set himself to hunt down. | Mon ami Sherlock Holmes n’était pas seulement un musicien enthousiaste, mais aussi un habile exécutant et un compositeur émérite. Il passa tout l’après-midi dans sa stalle, battant doucement la mesure de ses doigts longs et effilés et jouissant du bonheur le plus complet. Son visage s’épanouissait en un sourire béat et ses yeux devenaient langoureux et rêveurs ; il ne restait plus rien de Holmes le fin limier, de Holmes l’implacable agent criminel que son esprit vif et perçant plaçait au premier rang parmi les policiers. La dualité de nature de ce singulier personnage s’affirmait tour à tour. À mon avis, l’extrême exactitude de Holmes et son astuce n’étaient que la réaction contre cet état d’âme poétique et contemplatif qui tendait à le dominer ; mais, grâce à l’élasticité de sa nature, il passait rapidement d’une langueur extrême à une énergie dévorante. J’avais remarqué qu’il n’était jamais plus vraiment redoutable que lorsqu’il était resté plusieurs jours étendu dans son fauteuil, au milieu de ses improvisations et de ses éditions gothiques. Tout à coup la passion de la chasse le saisissait, et, telle était alors la puissance de son raisonnement que le public ignorant de sa méthode prenait pour des intuitions ce qui n’était que de simples déductions, se demandant où cet homme avait pu puiser une science si supérieure à celle de ses semblables. En le voyant, cet après-midi, absorbé par la musique à Saint-James’Hall, je prévoyais que les gens qu’il allait traquer passeraient un mauvais quart d’heure. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
“Yes,” said Alice, “we learned French and music.” | “Oui,” dit Alice, “nous apprenions l’italien et la musique en sus.” |
Alice’s Adventures in Wonderland, by Lewis Carroll | Aventures d’Alice au Pays des Merveilles, par Lewis Carroll |
" 'My accomplishments, sir, may be less than you imagine,' said I. 'A little French, a little German, music, and drawing—' | « — Mon savoir, monsieur, est peut-être moindre que vous ne l’imaginez, dis-je : un peu de français, un peu d’allemand, la musique, le dessin… |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |