Translations for oak in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
The coffin was of oak, and they began to unscrew the lid. The humidity of the earth had rusted the screws, and it was not without some difficulty that the coffin was opened. A painful odour arose in spite of the aromatic plants with which it was covered. | La bière était en chêne, et ils se mirent à dévisser la paroi supérieure qui faisait couvercle. L'humidité de la terre avait rouillé les vis, et ce ne fut pas sans efforts que la bière s'ouvrit. Une odeur infecte s'en exhala, malgré les plantes aromatiques dont elle était semée. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
The coffin was of oak, and they began to unscrew the lid. The humidity of the earth had rusted the screws, and it was not without some difficulty that the coffin was opened. A painful odour arose in spite of the aromatic plants with which it was covered. | La bière était en chêne, et ils se mirent à dévisser la paroi supérieure qui faisait couvercle. L'humidité de la terre avait rouillé les vis, et ce ne fut pas sans efforts que la bière s'ouvrit. Une odeur infecte s'en exhala, malgré les plantes aromatiques dont elle était semée. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
I was so pleased at having given the slip to Long John, that I began to enjoy myself and look around me with some interest on the strange land that I was in. I had crossed a marshy tract full of willows, bulrushes, and odd, outlandish, swampish trees; and I had now come out upon the skirts of an open piece of undulating, sandy country, about a mile long, dotted with a few pines, and a great number of contorted trees, not unlike the oak in growth, but pale in the foliage, like willows. On the far side of the open stood one of the hills, with two quaint, craggy peaks, shining vividly in the sun. | J’étais si content d’avoir planté là Long John, que je commençai à me divertir et à examiner avec curiosité le lieu où je me trouvais, sur cette terre étrangère. J’avais franchi un espace marécageux, encombré de saules, de joncs et de singuliers arbres paludéens à l’aspect exotique, et j’étais arrivé sur les limites d’un terrain découvert, aux ondulations sablonneuses, long d’un mille environ, parsemé de quelques pins et d’un grand nombre d’arbustes rabougris, rappelant assez des chênes par leur aspect, mais d’un feuillage argenté comme celui des saules. À l’extrémité du découvert s’élevait l’une des montagnes, dont le soleil éclatant illuminait les deux sommets, aux escarpements bizarres. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
A small side door led into the whitewashed corridor from which the three bedrooms opened. Holmes refused to examine the third chamber, so we passed at once to the second, that in which Miss Stoner was now sleeping, and in which her sister had met with her fate. It was a homely little room, with a low ceiling and a gaping fireplace, after the fashion of old country-houses. A brown chest of drawers stood in one corner, a narrow white-counterpaned bed in another, and a dressing-table on the left-hand side of the window. These articles, with two small wicker-work chairs, made up all the furniture in the room, save for a square of Wilton carpet in the centre. The boards round and the panelling of the walls were of brown, worm-eaten oak, so old and discolored that it may have dated from the original building of the house. Holmes drew one of the chairs into a corner and sat silent, while his eyes travelled round and round and up and down, taking in every detail of the apartment. | Une petite porte donnait accès dans le corridor, blanchi à la chaux, sur lequel s’ouvraient les trois chambres. Holmes refusa d’examiner la troisième, et nous passâmes immédiatement dans la seconde, celle qu’habitait actuellement miss Stoner, et où sa sœur était morte. C’était une jolie chambre, un peu basse de plafond, avec une large cheminée, comme on en trouve souvent dans les vieilles maisons. Dans un coin, une commode de couleur sombre, dans un autre, un lit étroit, peint en blanc, et à gauche de la fenêtre, une table de toilette. Ces trois meubles, deux petites chaises d’osier et un morceau de tapis Wilton formaient tout le mobilier de la pièce. Les murs étaient revêtus de boiseries en chêne bruni, piquées des vers, si vieilles et si décolorées par le temps qu’elles devaient dater de la construction même. Holmes poussa une des chaises dans un coin, et s’y assit, gardant le silence absolu et parcourant des yeux tous les coins et recoins de la chambre pour en fixer chaque détail dans son esprit. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
A small side door led into the whitewashed corridor from which the three bedrooms opened. Holmes refused to examine the third chamber, so we passed at once to the second, that in which Miss Stoner was now sleeping, and in which her sister had met with her fate. It was a homely little room, with a low ceiling and a gaping fireplace, after the fashion of old country-houses. A brown chest of drawers stood in one corner, a narrow white-counterpaned bed in another, and a dressing-table on the left-hand side of the window. These articles, with two small wicker-work chairs, made up all the furniture in the room, save for a square of Wilton carpet in the centre. The boards round and the panelling of the walls were of brown, worm-eaten oak, so old and discolored that it may have dated from the original building of the house. Holmes drew one of the chairs into a corner and sat silent, while his eyes travelled round and round and up and down, taking in every detail of the apartment. | Une petite porte donnait accès dans le corridor, blanchi à la chaux, sur lequel s’ouvraient les trois chambres. Holmes refusa d’examiner la troisième, et nous passâmes immédiatement dans la seconde, celle qu’habitait actuellement miss Stoner, et où sa sœur était morte. C’était une jolie chambre, un peu basse de plafond, avec une large cheminée, comme on en trouve souvent dans les vieilles maisons. Dans un coin, une commode de couleur sombre, dans un autre, un lit étroit, peint en blanc, et à gauche de la fenêtre, une table de toilette. Ces trois meubles, deux petites chaises d’osier et un morceau de tapis Wilton formaient tout le mobilier de la pièce. Les murs étaient revêtus de boiseries en chêne bruni, piquées des vers, si vieilles et si décolorées par le temps qu’elles devaient dater de la construction même. Holmes poussa une des chaises dans un coin, et s’y assit, gardant le silence absolu et parcourant des yeux tous les coins et recoins de la chambre pour en fixer chaque détail dans son esprit. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
The wheels died away down the drive while Sir Henry and I turned into the hall, and the door clanged heavily behind us. It was a fine apartment in which we found ourselves, large, lofty, and heavily raftered with huge baulks of age-blackened oak. In the great old-fashioned fireplace behind the high iron dogs a log-fire crackled and snapped. Sir Henry and I held out our hands to it, for we were numb from our long drive. Then we gazed round us at the high, thin window of old stained glass, the oak panelling, the stags’ heads, the coats-of-arms upon the walls, all dim and sombre in the subdued light of the central lamp. | Le roulement de la voiture qui emmenait le docteur s’éteignit bientôt dans le lointain. Sir Henry et moi nous entrâmes dans le château et la porte se referma lourdement sur nous. Nous nous trouvâmes dans une grande pièce, dont le plafond, très élevé, était soutenu par de fortes solives de chêne noircies par le temps. Dans une cheminée monumentale, un feu de bois pétillait sur de hauts chenets. Nous en approchâmes nos mains engourdies par le froid du voyage. Nous examinâmes curieusement les hautes et longues fenêtres aux vitraux multicolores, les lambris de chêne, les têtes de cerf et les armes accrochées aux murs — le tout triste et sombre sous la lumière atténuée d’une lampe accrochée au milieu du plafond. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
The wheels died away down the drive while Sir Henry and I turned into the hall, and the door clanged heavily behind us. It was a fine apartment in which we found ourselves, large, lofty, and heavily raftered with huge baulks of age-blackened oak. In the great old-fashioned fireplace behind the high iron dogs a log-fire crackled and snapped. Sir Henry and I held out our hands to it, for we were numb from our long drive. Then we gazed round us at the high, thin window of old stained glass, the oak panelling, the stags’ heads, the coats-of-arms upon the walls, all dim and sombre in the subdued light of the central lamp. | Le roulement de la voiture qui emmenait le docteur s’éteignit bientôt dans le lointain. Sir Henry et moi nous entrâmes dans le château et la porte se referma lourdement sur nous. Nous nous trouvâmes dans une grande pièce, dont le plafond, très élevé, était soutenu par de fortes solives de chêne noircies par le temps. Dans une cheminée monumentale, un feu de bois pétillait sur de hauts chenets. Nous en approchâmes nos mains engourdies par le froid du voyage. Nous examinâmes curieusement les hautes et longues fenêtres aux vitraux multicolores, les lambris de chêne, les têtes de cerf et les armes accrochées aux murs — le tout triste et sombre sous la lumière atténuée d’une lampe accrochée au milieu du plafond. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
"I glanced at the books upon the table, and in spite of my ignorance of German I could see that two of them were treatises on science, the others being volumes of poetry. Then I walked across to the window, hoping that I might catch some glimpse of the country-side, but an oak shutter, heavily barred, was folded across it. It was a wonderfully silent house. There was an old clock ticking loudly somewhere in the passage, but otherwise everything was deadly still. A vague feeling of uneasiness began to steal over me. Who were these German people, and what were they doing, living in this strange, out-of-the-way place? And where was the place? I was ten miles or so from Eyford, that was all I knew, but whether north, south, east, or west I had no idea. For that matter, Reading, and possibly other large towns, were within that radius, so the place might not be so secluded, after all. Yet it was quite certain, from the absolute stillness, that we were in the country. I paced up and down the room, humming a tune under my breath to keep up my spirits, and feeling that I was thoroughly earning my fifty-guinea fee. | Je regardai les livres et malgré mon ignorance de l’allemand, je constatai que deux d’entre eux étaient des traités scientifiques, et les autres des livres de poésie. J’allai à la fenêtre, espérant voir la campagne, mais la fenêtre était fermée par un volet de chêne, assujetti au moyen d’une forte barre de fer. Cette maison était étonnamment silencieuse. En dehors du tic-tac d’une vieille pendule dans le corridor, tout semblait mort dans cette demeure. Un vague sentiment de malaise commença à m’envahir. Qui étaient ces Allemands, et que faisaient-ils dans cet endroit étrange écarté ? Où était cet endroit ? J’étais à dix milles, ou à peu près d’Eyford, c’est tout ce que je savais, mais au nord, au sud, à l’est, à l’ouest ? impossible de s’en rendre compte. Pour me rassurer je me disais que Reading, et peut-être d’autres grandes villes, se trouvaient dans le rayon et qu’après tout l’endroit pouvait bien n’être pas aussi isolé que je l’avais cru tout d’abord. Cependant, d’après le calme environnant, il était bien certain que nous étions en pleine campagne. J’arpentais la pièce de long en large, fredonnant un air pour me donner du courage, et trouvant que je gagnais bien mes cinquante guinées. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"I glanced at the books upon the table, and in spite of my ignorance of German I could see that two of them were treatises on science, the others being volumes of poetry. Then I walked across to the window, hoping that I might catch some glimpse of the country-side, but an oak shutter, heavily barred, was folded across it. It was a wonderfully silent house. There was an old clock ticking loudly somewhere in the passage, but otherwise everything was deadly still. A vague feeling of uneasiness began to steal over me. Who were these German people, and what were they doing, living in this strange, out-of-the-way place? And where was the place? I was ten miles or so from Eyford, that was all I knew, but whether north, south, east, or west I had no idea. For that matter, Reading, and possibly other large towns, were within that radius, so the place might not be so secluded, after all. Yet it was quite certain, from the absolute stillness, that we were in the country. I paced up and down the room, humming a tune under my breath to keep up my spirits, and feeling that I was thoroughly earning my fifty-guinea fee. | Je regardai les livres et malgré mon ignorance de l’allemand, je constatai que deux d’entre eux étaient des traités scientifiques, et les autres des livres de poésie. J’allai à la fenêtre, espérant voir la campagne, mais la fenêtre était fermée par un volet de chêne, assujetti au moyen d’une forte barre de fer. Cette maison était étonnamment silencieuse. En dehors du tic-tac d’une vieille pendule dans le corridor, tout semblait mort dans cette demeure. Un vague sentiment de malaise commença à m’envahir. Qui étaient ces Allemands, et que faisaient-ils dans cet endroit étrange écarté ? Où était cet endroit ? J’étais à dix milles, ou à peu près d’Eyford, c’est tout ce que je savais, mais au nord, au sud, à l’est, à l’ouest ? impossible de s’en rendre compte. Pour me rassurer je me disais que Reading, et peut-être d’autres grandes villes, se trouvaient dans le rayon et qu’après tout l’endroit pouvait bien n’être pas aussi isolé que je l’avais cru tout d’abord. Cependant, d’après le calme environnant, il était bien certain que nous étions en pleine campagne. J’arpentais la pièce de long en large, fredonnant un air pour me donner du courage, et trouvant que je gagnais bien mes cinquante guinées. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
The wagonette swung round into a side road, and we curved upward through deep lanes worn by centuries of wheels, high banks on either side, heavy with dripping moss and fleshy hart’s-tongue ferns. Bronzing bracken and mottled bramble gleamed in the light of the sinking sun. Still steadily rising, we passed over a narrow granite bridge, and skirted a noisy stream which gushed swiftly down, foaming and roaring amid the grey boulders. Both road and stream wound up through a valley dense with scrub oak and fir. At every turn Baskerville gave an exclamation of delight, looking eagerly about him and asking countless questions. To his eyes all seemed beautiful, but to me a tinge of melancholy lay upon the country-side, which bore so clearly the mark of the waning year. Yellow leaves carpeted the lanes and fluttered down upon us as we passed. The rattle of our wheels died away as we drove through drifts of rotting vegetation—sad gifts, as it seemed to me, for Nature to throw before the carriage of the returning heir of the Baskervilles. | Nous traversions un pays vallonné, couvert de pâturages. Le toit de quelques maisons s’élevait au-dessus des frondaisons épaisses des arbres ; mais au-delà de cette campagne paisible, illuminée par les rayons du soleil couchant, la longue silhouette de la lande se détachait en noir sur l’azur du ciel. La voiture s’engagea dans un chemin de traverse. Nous gravîmes ainsi des sentiers abrupts, bordés de hauts talus tapissés de mousse et de scolopendres, où, pendant des siècles, le passage des roues avait creusé de profondes ornières. Des fougères rouillées par la rosée, des ronces aux baies sanglantes étincelaient aux derniers feux du soleil. Nous franchîmes un petit pont de granit et nous côtoyâmes un ruisseau qui fuyait rapidement sur un lit de cailloux grisâtres. La route et le ruisseau suivaient une vallée plantée de chênes rabougris et de sapins étiques. Baskerville saluait chaque tournant du chemin par une exclamation de surprise. Tout lui semblait beau, tandis que j’éprouvais une indéfinissable tristesse à l’aspect de cette campagne qui portait les stigmates irrécusables de l’hiver déjà prochain. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |