Translations for passage in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
She rose, opened the piano and began to play the “Invitation a la Valse”, as far as the famous passage in the major which always stopped her. Was it through force of habit, or was it to remind me of the day when we first met? All I know is that the melody brought back that recollection, and, coming up to her, I took her head between my hands and kissed her. “You forgive me?” I said. | Et, en même temps, elle se leva, ouvrit son piano et se remit à jouer l'Invitation à la valse, jusqu'à ce fameux passage en majeur qui l'arrêtait toujours. Etait-ce par habitude, ou pour me rappeler le jour où nous nous étions connus? Tout ce que je sais, c'est qu'avec cette mélodie les souvenirs me revinrent, et, m'approchant d'elle, je lui pris la tête entre mes mains et l'embrassai. —Vous me pardonnez? Lui dis-je. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
Ten minutes afterward she was at home. As she told the queen, she had not seen her husband since his liberation; she was ignorant of the change that had taken place in him with respect to the cardinal--a change which had since been strengthened by two or three visits from the Comte de Rochefort, who had become the best friend of Bonacieux, and had persuaded him, without much trouble, was putting his house in order, the furniture of which he had found mostly broken and his closets nearly empty--justice not being one of the three things which King Solomon names as leaving no traces of their passage. As to the servant, she had run away at the moment of her master's arrest. Terror had had such an effect upon the poor girl that she had never ceased walking from Paris till she reached Burgundy, her native place. | Dix minutes après, elle était chez elle, comme elle l’avait dit à la reine ; elle n’avait pas revu son mari depuis sa mise en liberté ; elle ignorait donc le changement qui s’était fait en lui à l’endroit du cardinal, changement qu’avaient opéré la flatterie et l’argent de Son Éminence et qu’avaient corroboré depuis, deux ou trois visites du comte de Rochefort, devenu le meilleur ami de Bonacieux, auquel il avait fait croire, sans beaucoup de peine, qu’aucun sentiment coupable n’avait amené l’enlèvement de sa femme, mais que c’était seulement une précaution politique. Elle trouva M. Bonacieux seul : le pauvre homme remettait à grand-peine de l’ordre dans la maison, dont il avait trouvé les meubles à peu près brisés et les armoires à peu près vides, la justice n’étant pas une des trois choses que le roi Salomon indique comme ne laissant point de traces de leur passage. Quant à la servante, elle s’était enfuie lors de l’arrestation de son maître. La terreur avait gagné la pauvre fille au point qu’elle n’avait cessé de marcher de Paris jusqu’en Bourgogne, son pays natal. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
We went into a confectioner’s in the passage de l’Opera. I would have bought the whole shop, and I was looking about to see what sweets to choose, when my friend asked for a pound of raisins glaces. | Nous entrâmes chez un confiseur du passage de l'Opéra. J'aurais voulu acheter toute la boutique, et je regardais même de quoi l'on pouvait composer le sac, quand mon ami demanda: —Une livre de raisins glacés. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
Marguerite, resting one hand on the piano, followed every note on the music, accompanying it in a low voice, and when Gaston had come to the passage which she had mentioned to him, she sang out, running her fingers along the top of the piano: | Marguerite, une main appuyée sur le piano, regardait le cahier, suivait des yeux chaque note qu'elle accompagnait tout bas de la voix, et, quand Gaston en arriva au passage qu'elle lui avait indiqué, elle chantonna en faisant aller ses doigts sur le dos du piano: |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
" And a passage home?" he added, with a look of great shrewdness. "Why," I cried, "the squire's a gentleman. And, besides, if we got rid of the others, we should want you to help work the vessel home." | — Et le passage de retour ? ajouta-t-il, d’un air très soupçonneux. — Voyons ! le chevalier est un gentilhomme ! Et d’ailleurs, si nous venons à bout des autres, nous aurons besoin de vous pour aider à la manœuvre du bâtiment. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
But the letter of Arsene Lupin that was published in the `Echo de France' (no once ever knew how the newspaper obtained it), that letter in which Baron Cahorn was impudently warned of the coming theft, caused considerable excitement. The most fabulous theories were advanced. Some recalled the existence of the famous subterranean tunnels, and that was the line of research pursued by the officers of the law, who searched the house from top to bottom, questioned every stone, studied the wainscoting and the chimneys, the window-frames and the girders in the ceilings. By the light of torches, they examined the immense cellars where the lords of Malaquis were wont to store their munitions and provisions. They sounded the rocky foundation to its very centre. But it was all in vain. They discovered no trace of a subterranean tunnel. No secret passage existed. | Mais la lettre initiale d’Arsène Lupin, que publia l’ Écho de France (et nul ne sut jamais qui en avait communiqué le texte), cette lettre où le baron Cahorn était effrontément prévenu de ce qui le menaçait, causa une émotion considérable. Aussitôt des explications fabuleuses furent proposées. On rappela l’existence des fameux souterrains. Et le parquet influencé poussa ses recherches dans ce sens. On fouilla le château du haut en bas. On questionna chacune des pierres. On étudia les boiseries et les cheminées, les cadres des glaces et les poutres des plafonds. À la lueur des torches, on examina les caves immenses où les seigneurs du Malaquis entassaient jadis leurs munitions et leurs provisions. On sonda les entrailles du rocher. Ce fut vainement. On ne découvrit pas le moindre vestige de souterrain. Il n’existait point de passage secret. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
I walked down the narrow passage between the double row of sleepers, holding my breath to keep out the vile, stupefying fumes of the drug, and looking about for the manager. As I passed the tall man who sat by the brazier I felt a sudden pluck at my skirt, and a low voice whispered, "Walk past me, and then look back at me." The words fell quite distinctly upon my ear. I glanced down. They could only have come from the old man at my side, and yet he sat now as absorbed as ever, very thin, very wrinkled, bent with age, an opium pipe dangling down from between his knees, as though it had dropped in sheer lassitude from his fingers. I took two steps forward and looked back. It took all my self-control to prevent me from breaking out into a cry of astonishment. He had turned his back so that none could see him but I. His form had filled out, his wrinkles were gone, the dull eyes had regained their fire, and there, sitting by the fire, and grinning at my surprise, was none other than Sherlock Holmes. He made a slight motion to me to approach him, and instantly, as he turned his face half round to the company once more, subsided into a doddering, loose-lipped senility. | Pour arriver jusqu’au patron de l’établissement, je m’engageai dans l’étroit passage laissé libre entre les doubles rangs de dormeurs, retenant mon souffle afin de ne pas aspirer les vapeurs délétères et engourdissantes de l’opium. En passant devant l’homme décharné qui était assis à côté du brasier je sentis une main qui tirait ma veste et j’entendis une voix sourde qui murmurait : « Lorsque vous m’aurez dépassé, retournez-vous et regardez-moi. » Je jetai un coup d’œil autour de moi. Ces paroles avaient été prononcées très distinctement et ne pouvaient l’avoir été que par le vieillard à côté duquel je me trouvais ; j’hésitais cependant à le croire, tant cet individu paraissait absorbé ! Il était d’une maigreur extrême, très ridé, voûté par l’âge ; il tenait entre ses genoux sa longue pipe d’opium qu’il semblait avoir laissé échapper de sa main par lassitude. Je fis deux pas en avant, puis je me retournai ; mais il me fallut toute ma présence d’esprit pour retenir une exclamation ! Le vieillard s’était placé de telle manière que moi seul pouvais le voir. Son corps était moins maigre, ses rides avaient disparu, les yeux ternes étaient redevenus brillants et l’être que j’avais là devant moi, assis près du fourneau, n’était autre que Sherlock Holmes, oui, Sherlock Holmes en personne, s’amusant de ma surprise. Je compris à un signe imperceptible que je devais m’approcher de lui, mais déjà il avait repris, avec sa lèvre pendante, son attitude de vieillard tombé en enfance. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
Three o'clock! The great clock struck slowly: one....two....three....Horace Velmont took out his watch, glanced at the clock, then returned the watch to his pocket. A few seconds passed in silence; and then the crowd in the courtyard parted to give passage to two wagons, that had just entered the park-gate, each drawn by two horses. They were army-wagons, such as are used for the transportation of provisions, tents, and other necessary military stores. They stopped in front of the main entrance, and a commissary-sergeant leaped from one of the wagons and inquired for Mon. Devanne. A moment later, that gentleman emerged from the house, descended the steps, and, under the canvas covers of the wagons, beheld his furniture, pictures and ornaments carefully packaged and arranged. | Trois heures… Le premier coup sonna, le deuxième coup, le troisième… Horace Velmont tira sa montre, leva les yeux vers l’horloge, puis remit sa montre dans sa poche. Quelques secondes s’écoulèrent. Et voici que la foule s’écarta, autour de la pelouse, livrant passage à deux voitures qui venaient de franchir la grille du parc, attelées l’une et l’autre de deux chevaux. C’étaient de ces fourgons qui vont à la suite des régiments et qui portent les cantines des officiers et les sacs des soldats. Ils s’arrêtèrent devant le perron. Un sergent-fourrier sauta de l’un des sièges et demanda M. Devanne. Devanne accourut et descendit les marches. Sous les bâches, il vit, soigneusement rangés, bien enveloppés, ses meubles, ses tableaux, ses objets d’art. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
The day on which d'Artagnan presented himself the assemblage was imposing, particularly for a provincial just arriving from his province. It is true that this provincial was a Gascon; and that, particularly at this period, the compatriots of d'Artagnan had the reputation of not being easily intimidated. When he had once passed the massive door covered with long square-headed nails, he fell into the midst of a troop of swordsmen, who crossed one another in their passage, calling out, quarreling, and playing tricks one with another. In order to make one's way amid these turbulent and conflicting waves, it was necessary to be an officer, a great noble, or a pretty woman. | Le jour où d’Artagnan se présenta, l’assemblée était imposante, surtout pour un provincial arrivant de sa province ; il est vrai que ce provincial était Gascon et que surtout à cette époque les compatriotes de d’Artagnan avaient la réputation de ne point facilement se laisser intimider. En effet, une fois qu’on avait franchi la porte massive, chevillée de longs clous à tête quadrangulaire, on tombait au milieu d’une troupe de gens d’épée qui se croisaient dans la cour, s’interpellant, se querellant et jouant entre eux. Pour se frayer un passage au milieu de toutes ces vagues tourbillonnantes, il eût fallu être officier, grand seigneur ou jolie femme. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
She started toward the gangway. I followed. But we had not taken ten steps when Ganimard barred out passage. | Elle s’avança. Je la suivis. Mais nous n’avions pas fait dix pas que Ganimard nous barra le passage. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
Bonacieux re-entered the house, passed through the same door that had afforded a passage for the two fugitives, went up to d'Artagnan's door, and knocked. | Bonacieux rentra chez lui, passa par la même porte qui venait de donner passage aux deux fugitifs, monta jusqu’au palier de d’Artagnan et frappa. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
We had reached the same crowded thoroughfare in which we had found ourselves in the morning. Our cabs were dismissed, and, following the guidance of Mr. Merryweather, we passed down a narrow passage and through a side door, which he opened for us. Within there was a small corridor, which ended in a very massive iron gate. This also was opened, and led down a flight of winding stone steps, which terminated at another formidable gate. Mr. Merryweather stopped to light a lantern, and then conducted us down a dark, earth-smelling passage, and so, after opening a third door, into a huge vault or cellar, which was piled all round with crates and massive boxes. | Nos voitures s’étaient arrêtées devant ce même passage que nous avions exploré dans la journée, alors qu’il était si encombré de passants. Nous congédiâmes nos fiacres et nous suivîmes M. Merryweather dans un petit couloir terminé par une porte de service qu’il nous ouvrit. Cette porte donnait sur un étroit corridor que fermait une massive porte de fer, laquelle donnait accès à un escalier de pierre tournant, au bas duquel se trouvait une autre formidable grille de fer. Là, M. Merryweather s’arrêta pour allumer une lanterne à la lueur de laquelle nous nous engageâmes dans un couloir sombre, imprégné d’humidité, au bout duquel se trouvait une troisième porte. C’était l’entrée d’une grande cave voûtée, entièrement tapissée de massives caisses de fer. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"This time, at least, I did not scorn her advice. I staggered to my feet and ran with her along the corridor and down a winding stair. The latter led to another broad passage, and, just as we reached it, we heard the sound of running feet and the shouting of two voices, one answering the other, from the floor on which we were and from the one beneath. My guide stopped and looked about her like one who is at her wits' end. Then she threw open a door which led into a bedroom, through the window of which the moon was shining brightly. | Cette fois, au moins, je ne méprisai plus son avis. Je me relevai avec effort, et courus avec elle au bout du corridor où se trouvait un escalier tournant qui nous conduisit à un passage plus large. Au moment où nous y arrivions, nous entendîmes des pas accélérés et les éclats de deux voix se répondant d’un étage à l’autre. Mon guide s’arrêta perplexe, puis ouvrit brusquement une porte donnant accès sur une chambre, dont la fenêtre reflétait les rayons de la lune. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
Suddenly she came upon a little three-legged table, all made of solid glass; there was nothing on it except a tiny golden key, and Alice’s first thought was that it might belong to one of the doors of the hall; but, alas! either the locks were too large, or the key was too small, but at any rate it would not open any of them. However, on the second time round, she came upon a low curtain she had not noticed before, and behind it was a little door about fifteen inches high: she tried the little golden key in the lock, and to her great delight it fitted! Alice opened the door and found that it led into a small passage, not much larger than a rat-hole: she knelt down and looked along the passage into the loveliest garden you ever saw. How she longed to get out of that dark hall, and wander about among those beds of bright flowers and those cool fountains, but she could not even get her head through the doorway; “and even if my head would go through,” thought poor Alice, “it would be of very little use without my shoulders. Oh, how I wish I could shut up like a telescope! I think I could, if I only knew how to begin.” For, you see, so many out-of-the-way things had happened lately, that Alice had begun to think that very few things indeed were really impossible. | Tout à coup elle rencontra sur son passage une petite table à trois pieds, en verre massif, et rien dessus qu’une toute petite clef d’or. Alice pensa aussitôt que ce pouvait être celle d’une des portes; mais hélas! soit que les serrures fussent trop grandes, soit que la clef fût trop petite, elle ne put toujours en ouvrir aucune. Cependant, ayant fait un second tour, elle aperçut un rideau placé très-bas et qu’elle n’avait pas vu d’abord; par derrière se trouvait encore une petite porte à peu près quinze pouces de haut; elle essaya la petite clef d’or à la serrure, et, à sa grande joie, il se trouva qu’elle y allait à merveille. Alice ouvrit la porte, et vit qu’elle conduisait dans un étroit passage à peine plus large qu’un trou à rat. Elle s’agenouilla, et, jetant les yeux le long du passage, découvrit le plus ravissant jardin du monde. Oh! Qu’il lui tardait de sortir de cette salle ténébreuse et d’errer au milieu de ces carrés de fleurs brillantes, de ces fraîches fontaines! Mais sa tête ne pouvait même pas passer par la porte. “Et quand même ma tête y passerait,” pensait Alice, “à quoi cela servirait-il sans mes épaules? Oh! que je voudrais donc avoir la faculté de me fermer comme un télescope! Ça se pourrait peut-être, si je savais comment m’y prendre.” Il lui était déjà arrivé tant de choses extraordinaires, qu’Alice commençait à croire qu’il n’y en avait guère d’impossibles. |
Alice’s Adventures in Wonderland, by Lewis Carroll | Aventures d’Alice au Pays des Merveilles, par Lewis Carroll |
I have told you that the corridor is broken by the balcony which runs round the hall, but that it is resumed upon the farther side. I waited until he had passed out of sight, and then I followed him. When I came round the balcony he had reached the end of the farther corridor, and I could see from the glimmer of light through an open door that he had entered one of the rooms. Now, all these rooms are unfurnished and unoccupied, so that his expedition became more mysterious than ever. The light shone steadily, as if he were standing motionless. I crept down the passage as noiselessly as I could and peeped round the corner of the door. | « Je vous ai écrit que le balcon qui court autour du hall coupe en deux le corridor et que ce dernier se prolonge à droite et à gauche jusqu’à chaque extrémité du château. « J’attendis que Barrymore eût disparu, puis je le suivis. « Lorsque j’arrivai au tournant du balcon, il avait atteint le fond du corridor et, à une clarté qui passait par l’entre-bâillement d’une porte, je vis qu’il était entré dans une chambre. « Toutes ces chambres sont nues et inoccupées ; son expédition n’en devenait que plus incompréhensible pour moi. « En étouffant le bruit de mes pas, je me glissai le long du passage et j’avançai ma tête par l’ouverture de la porte. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
“Surely your memory deceives you,” said I. “I could even quote a passage of your letter. It ran ‘Please, please, as you are a gentleman, burn this letter, and be at the gate by ten o’clock.’” | — Votre mémoire vous trahit sûrement, dis-je. Je puis vous citer un passage de votre lettre. Le voici : « Je vous en prie, je vous en supplie, vous êtes un homme d’honneur, brûlez cette lettre et soyez ce soir, à dix heures, à la porte de la lande ». |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
As you can imagine, the disturbance created by my passage through the Saint-Lazare station has not escaped my notice. Going to visit friends who knew me under the name of Guillaume Berlat, and amongst whom my resemblance to Arsene Lupin was a subject of many innocent jests, I could not assume a disguise, and my presence had been remarked. So, beyond question, the commissary of police at Rouen, notified by telegraph, and assisted by numerous agents, would be awaiting the train, would question all suspicious passengers, and proceed to search the cars. | Comme bien l’on pense, l’agitation causée par mon passage à travers la gare Saint-Lazare ne m’avait pas échappé. Invité chez des amis que je fréquentais sous le nom de Guillaume Berlat, et pour qui ma ressemblance avec Arsène Lupin était un sujet de plaisanteries affectueuses, je n’avais pu me grimer à ma guise, et ma présence avait été signalée. En outre, on avait vu un homme, Arsène Lupin sans doute, se précipiter de l’express dans le rapide. Donc, inévitablement, fatalement, le commissaire de police de Rouen, prévenu par télégramme, et assisté d’un nombre respectable d’agents, se trouverait à l’arrivée du train, interrogerait les voyageurs suspects, et procéderait à une revue minutieuse des wagons. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
"If so, he will be arrested just the same; for the employees and guards would no doubt observe his passage from one train to the other, and, when we arrive at Rouen, they will arrest him there." | — En ce cas, c’est ici qu’il sera pincé. Car les employés et les agents n’auront pas manqué de voir ce passage d’un train dans l’autre, et, lorsque nous arriverons à Rouen, on le cueillera bien proprement. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
Alice was not a bit hurt, and she jumped up on to her feet in a moment: she looked up, but it was all dark overhead; before her was another long passage, and the White Rabbit was still in sight, hurrying down it. There was not a moment to be lost: away went Alice like the wind, and was just in time to hear it say, as it turned a corner, “Oh my ears and whiskers, how late it’s getting!” She was close behind it when she turned the corner, but the Rabbit was no longer to be seen: she found herself in a long, low hall, which was lit up by a row of lamps hanging from the roof. | Alice ne s’était pas fait le moindre mal. Vite elle se remet sur ses pieds et regarde en l’air; mais tout est noir là-haut. Elle voit devant elle un long passage et le Lapin Blanc qui court à toutes jambes. Il n’y a pas un instant à perdre; Alice part comme le vent et arrive tout juste à temps pour entendre le Lapin dire, tandis qu’il tourne le coin: “Par ma moustache et mes oreilles, comme il se fait tard!” Elle n’en était plus qu’à deux pas: mais le coin tourné, le Lapin avait disparu. Elle se trouva alors dans une salle longue et basse, éclairée par une rangée de lampes pendues au plafond. |
Alice’s Adventures in Wonderland, by Lewis Carroll | Aventures d’Alice au Pays des Merveilles, par Lewis Carroll |