Translations for paste in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
“A dog!” said Holmes. “By Jove, a curly-haired spaniel. Poor Mortimer will never see his pet again. Well, I do not know that this place contains any secret which we have not already fathomed. He could hide his hound, but he could not hush its voice, and hence came those cries which even in daylight were not pleasant to hear. On an emergency he could keep the hound in the outhouse at Merripit, but it was always a risk, and it was only on the supreme day, which he regarded as the end of all his efforts, that he dared do it. This paste in the tin is no doubt the luminous mixture with which the creature was daubed. It was suggested, of course, by the story of the family hell-hound, and by the desire to frighten old Sir Charles to death. No wonder the poor devil of a convict ran and screamed, even as our friend did, and as we ourselves might have done, when he saw such a creature bounding through the darkness of the moor upon his track. It was a cunning device, for, apart from the chance of driving your victim to his death, what peasant would venture to inquire too closely into such a creature should he get sight of it, as many have done, upon the moor? I said it in London, Watson, and I say it again now, that never yet have we helped to hunt down a more dangerous man than he who is lying yonder”—he swept his long arm towards the huge mottled expanse of green-splotched bog which stretched away until it merged into the russet slopes of the moor. | « Un chien ! fit Holmes, en le retournant du pied. Par Dieu ! c’était un caniche ! Pauvre Mortimer, il ne reverra plus son favori !… Je doute qu’il reste ici des secrets que nous n’ayons pas pénétrés… Stapleton pouvait cacher son chien, mais il ne pouvait l’empêcher d’aboyer ! De là ces hurlements si terrifiants à entendre, même en plein jour. Enfermer la bête dans un des pavillons de Merripit house exposait le naturaliste aux plus grands risques et ce ne fut que le dernier jour, alors qu’il se croyait au terme de ses efforts, qu’il osa s’y décider… La pâte contenue dans cette boîte d’étain est sans doute la composition phosphorescente dont il enduisait son chien. Cette idée lui fut sûrement suggérée par l’histoire du chien des Baskerville et par le désir d’effrayer sir Charles jusqu’à le tuer. Est-il étonnant que ce pauvre diable de Selden ait couru, ait crié — ainsi que sir Henry et nous-mêmes — lorsqu’il vit bondir à sa poursuite, dans les ténèbres de la lande, une créature aussi étrange ?… Il faut admirer l’ingéniosité de l’invention. En effet, indépendamment de la possibilité de tuer sa victime, cela présentait l’avantage d’éloigner du monstre tous les paysans qui, le rencontrant sur la lande — cela est arrivé à plusieurs — auraient eu l’intention de l’examiner de trop près. Je l’ai dit à Londres, Watson, et je le répète ici à cette heure, nous n’avons jamais donné la chasse à un homme plus dangereux que celui qui gît là-bas. » En prononçant ces dernières paroles, Holmes étendit la main vers le grand espace moucheté de vert qui représentait la fondrière de Grimpen et qui s’étendait au loin jusqu’aux pentes sombres de la lande. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |