Translations for relative in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
On entering his hotel, M. de Treville thought it best to be first in making the complaint. He sent one of his servants to M. de la Tremouille with a letter in which he begged of him to eject the cardinal's Guardsmen from his house, and to reprimand his people for their audacity in making SORTIE against the king's Musketeers. But M. de la Tremouille--already prejudiced by his esquire, whose relative, as we already know, Bernajoux was-- replied that it was neither for M. de Treville nor the Musketeers to complain, but, on the contrary, for him, whose people the Musketeers had assaulted and whose hotel they had endeavored to burn. Now, as the debate between these two nobles might last a long time, each becoming, naturally, more firm in his own opinion, M. de Treville thought of an expedient which might terminate it quietly. This was to go himself to M. de la Tremouille. | En entrant à son hôtel, M. de Tréville songea qu’il fallait prendre date en portant plainte le premier. Il envoya un de ses domestiques chez M. de la Trémouille avec une lettre dans laquelle il le priait de mettre hors de chez lui le garde de M. le cardinal et de réprimander ses gens de l’audace qu’ils avaient eue de faire leur sortie contre les mousquetaires. Mais M. de la Trémouille, déjà prévenu par son écuyer, dont, comme on le sait, Bernajoux était le parent, lui fit répondre que ce n’était ni à M. de Tréville, ni à ses mousquetaires de se plaindre, mais bien au contraire à lui dont les mousquetaires avaient chargé les gens et voulu brûler l’hôtel. Or, comme le débat entre ces deux seigneurs eût pu durer longtemps, chacun devant naturellement s’entêter dans son opinion, M. de Tréville avisa un expédient qui avait pour but de tout terminer : c’était d’aller trouver lui-même M. de La Trémouille. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"The family was at one time among the richest in England, and the estates extended over the borders into Berkshire in the north, and Hampshire in the west. In the last century, however, four successive heirs were of a dissolute and wasteful disposition, and the family ruin was eventually completed by a gambler in the days of the Regency. Nothing was left save a few acres of ground, and the two-hundred-year-old house, which is itself crushed under a heavy mortgage. The last squire dragged out his existence there, living the horrible life of an aristocratic pauper; but his only son, my step-father, seeing that he must adapt himself to the new conditions, obtained an advance from a relative, which enabled him to take a medical degree, and went out to Calcutta, where, by his professional skill and his force of character, he established a large practice. In a fit of anger, however, caused by some robberies which had been perpetrated in the house, he beat his native butler to death, and narrowly escaped a capital sentence. As it was, he suffered a long term of imprisonment, and afterwards returned to England a morose and disappointed man. | — Cette famille fut à un moment donné parmi les plus riches d’Angleterre, et ses possessions s’étendaient jusque dans le Berkshire au nord, et le Hampshire à l’ouest. Mais, au siècle dernier, se succédèrent quatre générations de prodigues et de débauchés, et la ruine de la maison fut consommée par un joueur sous la Régence. Il ne resta rien de leurs terres, sauf quelques ares de terrain et la maison, vieille de deux cents ans, qui est elle-même hypothéquée autant qu’elle peut l’être. Le dernier possesseur y traîna sa misérable existence de noble ruiné ; mais son fils unique, mon beau-père, se rendit compte qu’il fallait se tirer de là, obtint d’un parent une avance de fonds, pour faire des études médicales, et partit pour Calcutta, où, grâce à son habileté professionnelle et à sa force de caractère, il se créa une belle clientèle. Dans un mouvement de colère, causé par un vol qui avait été commis chez lui, il assomma son maître d’hôtel indien, et peu s’en fallut qu’il ne fût condamné à mort. Il fit plusieurs années de prison et revint en Angleterre, morose et aigri. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
But d'Artagnan had on the preceding day served his apprenticeship. Fresh sharpened by his victory, full of hopes of future favor, he was resolved not to recoil a step. So the two swords were crossed close to the hilts, and as d'Artagnan stood firm, it was his adversary who made the retreating step; but d'Artagnan seized the moment at which, in this movement, the sword of Bernajoux deviated from the line. He freed his weapon, made a lunge, and touched his adversary on the shoulder. d'Artagnan immediately made a step backward and raised his sword; but Bernajoux cried out that it was nothing, and rushing blindly upon him, absolutely spitted himself upon d'Artagnan's sword. As, however, he did not fall, as he did not declare himself conquered, but only broke away toward the hotel of M. de la Tremouille, in whose service he had a relative, d'Artagnan was ignorant of the seriousness of the last wound his adversary had received, and pressing him warmly, without doubt would soon have completed his work with a third blow, when the noise which arose from the street being heard in the tennis court, two of the friends of the Guardsman, who had seen him go out after exchanging some words with d'Artagnan, rushed, sword in hand, from the court, and fell upon the conqueror. But Athos, Porthos, and Aramis quickly appeared in their turn, and the moment the two Guardsmen attacked their young companion, drove them back. Bernajoux now fell, and as the Guardsmen were only two against four, they began to cry, "To the rescue! The Hotel de la Tremouille!" At these cries, all who were in the hotel rushed out and fell upon the four companions, who on their side cried aloud, "To the rescue, Musketeers!" | Mais d’Artagnan avait fait la veille son apprentissage, et tout frais émoulu de sa victoire, tout gonflé de sa future faveur, il était résolu à ne pas reculer d’un pas : aussi les deux fers se trouvèrent-ils engagés jusqu’à la garde, et comme d’Artagnan tenait ferme à sa place, ce fut son adversaire qui fit un pas de retraite. Mais d’Artagnan saisit le moment où, dans ce mouvement, le fer de Bernajoux déviait de la ligne, il dégagea, se fendit et toucha son adversaire à l’épaule. Aussitôt, il fit, à son tour, un pas de retraite et releva son épée ; mais Bernajoux lui cria que ce n’était rien, et se fendant aveuglément sur lui, il s’enferra de lui-même. Cependant, comme il ne tombait pas, comme il ne se déclarait pas vaincu, mais que seulement il rompait du côté de l’hôtel de M. de La Trémouille au service duquel il avait un parent, d’Artagnan, ignorant lui-même la gravité de la dernière blessure que son adversaire avait reçue, le pressait vivement, et sans doute allait l’achever d’un troisième coup, lorsque la rumeur qui s’élevait de la rue s’étant étendue jusqu’au jeu de paume, deux des amis du garde, qui l’avaient entendu échanger quelques paroles avec d’Artagnan et qui l’avaient vu sortir à la suite de ces paroles, se précipitèrent l’épée à la main hors du tripot et tombèrent sur le vainqueur. Mais aussitôt Athos, Porthos et Aramis parurent à leur tour, et au moment où les deux gardes attaquaient leur jeune camarade, les forcèrent à se retourner. — En ce moment Bernajoux tomba, et comme les gardes étaient seulement deux contre quatre, ils se mirent à crier : « À nous, l’hôtel de La Trémouille ! » À ces cris, tout ce qui était dans l’hôtel sortit, se ruant sur les quatre compagnons, qui de leur côté se mirent à crier : « À nous, mousquetaires ! » |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |