Translations for ribbon in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
Perhaps you know the inn, which is a hotel on week days and a tea garden on Sundays. There is a magnificent view from the garden, which is at the height of an ordinary first floor. On the left the Aqueduct of Marly closes in the horizon, on the right one looks across bill after hill; the river, almost without current at that spot, unrolls itself like a large white watered ribbon between the plain of the Gabillons and the island of Croissy, lulled eternally by the trembling of its high poplars and the murmur of its willows. Beyond, distinct in the sunlight, rise little white houses, with red roofs, and manufactories, which, at that distance, put an admirable finish to the landscape. Beyond that, Paris in the mist! As Prudence had told us, it was the real country, and, I must add, it was a real lunch. | Vous connaissez peut-être cette auberge, hôtel de semaine, guinguette le dimanche. Du jardin, qui est à la hauteur d'un premier étage ordinaire, on découvre une vue magnifique. À gauche, l'aqueduc de Marly ferme l'horizon, à droite la vue s'étend sur un infini de collines; la rivière, presque sans courant dans cet endroit, se déroule comme un large ruban blanc moiré, entre la plaine des Gabillons et l'île de Croissy, éternellement bercée par le frémissement de ses hauts peupliers et le murmure de ses saules. Au fond, dans un large rayon de soleil, s'élèvent de petites maisons blanches à toits rouges, et des manufactures qui, perdant par la distance leur caractère dur et commercial, complètent admirablement le paysage. Au fond, Paris dans la brume! Comme nous l'avait dit Prudence, c'était une vraie campagne, et, je dois le dire, ce fut un vrai déjeuner. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"But you have never told me that you did not love me; and truly, to speak such words to me would be, on the part of your Majesty, too great an ingratitude. For tell me, where can you find a love like mine--a love which neither time, nor absence, nor despair can extinguish, a love which contents itself with a lost ribbon, a stray look, or a chance word? It is now three years, madame, since I saw you for the first time, and during those three years I have loved you thus. Shall I tell you each ornament of your toilet? Mark! I see you now. You were seated upon cushions in the Spanish fashion; you wore a robe of green satin embroidered with gold and silver, hanging sleeves knotted upon your beautiful arms--those lovely arms--with large diamonds. You wore a close ruff, a small cap upon your head of the same color as your robe, and in that cap a heron's feather. Hold! Hold! I shut my eyes, and I can see you as you then were; I open them again, and I see what you are now--a hundred time more beautiful!" | — Mais vous ne m’avez jamais dit non plus que vous ne m’aimiez point, et vraiment me dire de semblables paroles, ce serait de la part de Votre Majesté une trop grande ingratitude. Car, dites-moi, où trouveriez-vous un amour pareil au mien, un amour que ni le temps, ni l’absence, ni le désespoir ne peuvent éteindre ; un amour qui se contente d’un ruban égaré, d’un regard perdu, d’une parole échappée ? Il y a trois ans, madame, que je vous ai vue pour la première fois, et depuis trois ans je vous aime ainsi. Voulez-vous que je vous dise comment vous étiez vêtue la première fois que je vous vis ? voulez-vous que je détaille chacun des ornements de votre toilette ? Tenez, je vous vois encore : vous étiez assise sur des carreaux à la mode d’Espagne ; vous aviez une robe de satin vert avec des broderies d’or et d’argent ; des manches pendantes et renouées sur vos beaux bras, sur ces bras admirables, avec de gros diamants ; vous aviez une fraise fermée, un petit bonnet sur votre tête, de la couleur de votre robe, et sur ce bonnet une plume de héron. Oh ! tenez, tenez, je ferme les yeux, et je vous vois telle que vous étiez alors ; je les rouvre et je vous vois telle que vous êtes maintenant, c’est-à-dire cent fois plus belle encore ! |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
He prepared a special toilet for the occasion; a shabby frock-coat, baggy trousers, a frayed silk hat, well-worn collar and cuffs, all quite correct in form, but bearing the unmistakable stamp of poverty. His cravat was a black ribbon pinned with a false diamond. Thus accoutred, he descended the stairs of the house in which he lived at Montmartre. At the third floor, without stopping, he rapped on a closed door with the head of his cane. He walked to the exterior boulevards. A tram-car was passing. He boarded it, and some one who had been following him took a seat beside him. It was the lodger who occupied the room on the third floor. A moment later, this man said to Lupin: | Il fit une toilette spéciale, redingote râpée, pantalon élimé, chapeau de soie un peu rougeâtre, manchettes et faux-cols effiloqués, le tout fort propre, mais sentant la misère. Comme cravate, un ruban noir épinglé d’un diamant de noix à surprise. Et, ainsi accoutré, il descendit l’escalier du logement qu’il occupait à Montmartre. Au troisième étage, sans s’arrêter, il frappa du pommeau de sa canne sur le battant d’une porte close. Dehors il gagna les boulevards extérieurs. Un tramway passait. Il y prit place, et quelqu’un qui marchait derrière lui, le locataire du troisième étage, s’assit à son côté. Au bout d’un instant, cet homme lui dit : |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
The duke approached the altar, knelt as a priest might have done before a crucifix, and opened the casket. "There," said he, drawing from the casket a large bow of blue ribbon all sparkling with diamonds, "there are the precious studs which I have taken an oath should be buried with me. The queen gave them to me, the queen requires them again. Her will be done, like that of God, in all things." | Le duc s’approcha de l’autel, s’agenouilla comme eût pu faire un prêtre devant le Christ, puis il ouvrit le coffret. — Tenez, lui dit-il, en tirant du coffre un gros nœud de ruban bleu tout étincelant de diamants, tenez, voici ces précieux ferrets avec lesquels j’avais fait le serment d’être enterré. La reine me les avait donnés, la reine me les reprend : sa volonté, comme celle de Dieu, soit faite en toutes choses. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |