Translations for rose in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
It was terrible to see, it is horrible to relate. The eyes were nothing but two holes, the lips had disappeared, vanished, and the white teeth were tightly set. The black hair, long and dry, was pressed tightly about the forehead, and half veiled the green hollows of the cheeks; and yet I recognised in this face the joyous white and rose face that I had seen so often. | C'était terrible à voir, c'est horrible à raconter. Les yeux ne faisaient plus que deux trous, les lèvres avaient disparu, et les dents blanches étaient serrées les unes contre les autres. Les longs cheveux noirs et secs étaient collés sur les tempes et voilaient un peu les cavités vertes des joues, et cependant je reconnaissais dans ce visage le visage blanc, rose et joyeux que j'avais vu si souvent. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
It was terrible to see, it is horrible to relate. The eyes were nothing but two holes, the lips had disappeared, vanished, and the white teeth were tightly set. The black hair, long and dry, was pressed tightly about the forehead, and half veiled the green hollows of the cheeks; and yet I recognised in this face the joyous white and rose face that I had seen so often. | C'était terrible à voir, c'est horrible à raconter. Les yeux ne faisaient plus que deux trous, les lèvres avaient disparu, et les dents blanches étaient serrées les unes contre les autres. Les longs cheveux noirs et secs étaient collés sur les tempes et voilaient un peu les cavités vertes des joues, et cependant je reconnaissais dans ce visage le visage blanc, rose et joyeux que j'avais vu si souvent. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
She was a charming woman of twenty-five or twenty-six years, with dark hair, blue eyes, and a nose slightly turned up, admirable teeth, and a complexion marbled with rose and opal. There, however, ended the signs which might have confounded her with a lady of rank. The hands were white, but without delicacy; the feet did not bespeak the woman of quality. Happily, d'Artagnan was not yet acquainted with such niceties. | C’était une charmante femme de vingt-cinq à vingt-six ans, brune avec des yeux bleus, ayant le nez légèrement retroussé, des dents admirables, un teint marbré de rose et d’opale. Là cependant s’arrêtaient les signes qui pouvaient la faire confondre avec une grande dame. Les mains étaient blanches, mais sans finesse ; les pieds n’annonçaient pas la femme de qualité. Heureusement d’Artagnan n’en était pas encore à se préoccuper de ces détails. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
She was a charming woman of twenty-five or twenty-six years, with dark hair, blue eyes, and a nose slightly turned up, admirable teeth, and a complexion marbled with rose and opal. There, however, ended the signs which might have confounded her with a lady of rank. The hands were white, but without delicacy; the feet did not bespeak the woman of quality. Happily, d'Artagnan was not yet acquainted with such niceties. | C’était une charmante femme de vingt-cinq à vingt-six ans, brune avec des yeux bleus, ayant le nez légèrement retroussé, des dents admirables, un teint marbré de rose et d’opale. Là cependant s’arrêtaient les signes qui pouvaient la faire confondre avec une grande dame. Les mains étaient blanches, mais sans finesse ; les pieds n’annonçaient pas la femme de qualité. Heureusement d’Artagnan n’en était pas encore à se préoccuper de ces détails. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"Ah! how long ago that was! You remember the long hours on the deck of the `Provence.' Then, you carried a rose in your hand, a white rose like the one you carry to-day. I asked you for it. You pretended you did not hear me. After you had gone away, I found the rose—forgotten, no doubt—and I kept it." | — Comme le passé est loin ! Vous rappelez-vous les longues heures sur le pont de la Provence . Ah ! tenez… vous aviez, comme aujourd’hui, une rose à la main, une rose pâle comme celle-ci… Je vous l’ai demandée… vous n’avez pas eu l’air d’entendre… Cependant, après votre départ, j’ai trouvé la rose… oubliée sans doute… Je l’ai gardée… |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
"Ah! how long ago that was! You remember the long hours on the deck of the `Provence.' Then, you carried a rose in your hand, a white rose like the one you carry to-day. I asked you for it. You pretended you did not hear me. After you had gone away, I found the rose—forgotten, no doubt—and I kept it." | — Comme le passé est loin ! Vous rappelez-vous les longues heures sur le pont de la Provence . Ah ! tenez… vous aviez, comme aujourd’hui, une rose à la main, une rose pâle comme celle-ci… Je vous l’ai demandée… vous n’avez pas eu l’air d’entendre… Cependant, après votre départ, j’ai trouvé la rose… oubliée sans doute… Je l’ai gardée… |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
A cloud obscured the sun. Arsene Lupin stood watching the imprints of her tiny feet in the sand. Suddenly, he gave a start. Upon the box which contained the bamboo, beside which Nelly had been standing, he saw the rose, the white rose which he had desired but dared not ask for. Forgotten, no doubt—it, also! But how— designedly or through distraction? He seized it eagerly. Some of its petals fell to the ground. He picked them up, one by one, like precious relics. | Un nuage obscurcit le soleil. Arsène Lupin observait, immobile, la trace des petits pas empreinte dans le sable. Tout à coup, il tressaillit : sur la caisse de bambou contre laquelle Nelly s’était appuyée gisait la rose, la rose pâle qu’il n’avait pas osé lui demander… Oubliée sans doute, elle aussi ? Mais oubliée volontairement ou par distraction ? Il la saisit ardemment. Des pétales s’en détachèrent. Il les ramassa un à un comme des reliques… |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
A cloud obscured the sun. Arsene Lupin stood watching the imprints of her tiny feet in the sand. Suddenly, he gave a start. Upon the box which contained the bamboo, beside which Nelly had been standing, he saw the rose, the white rose which he had desired but dared not ask for. Forgotten, no doubt—it, also! But how— designedly or through distraction? He seized it eagerly. Some of its petals fell to the ground. He picked them up, one by one, like precious relics. | Un nuage obscurcit le soleil. Arsène Lupin observait, immobile, la trace des petits pas empreinte dans le sable. Tout à coup, il tressaillit : sur la caisse de bambou contre laquelle Nelly s’était appuyée gisait la rose, la rose pâle qu’il n’avait pas osé lui demander… Oubliée sans doute, elle aussi ? Mais oubliée volontairement ou par distraction ? Il la saisit ardemment. Des pétales s’en détachèrent. Il les ramassa un à un comme des reliques… |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
When I reached Coombe Tracey I told Perkins to put up the horses, and I made inquiries for the lady whom I had come to interrogate. I had no difficulty in finding her rooms, which were central and well appointed. A maid showed me in without ceremony, and as I entered the sitting-room a lady, who was sitting before a Remington typewriter, sprang up with a pleasant smile of welcome. Her face fell, however, when she saw that I was a stranger, and she sat down again and asked me the object of my visit. The first impression left by Mrs. Lyons was one of extreme beauty. Her eyes and hair were of the same rich hazel colour, and her cheeks, though considerably freckled, were flushed with the exquisite bloom of the brunette, the dainty pink which lurks at the heart of the sulphur rose. Admiration was, I repeat, the first impression. But the second was criticism. There was something subtly wrong with the face, some coarseness of expression, some hardness, perhaps, of eye, some looseness of lip which marred its perfect beauty. But these, of course, are afterthoughts. At the moment I was simply conscious that I was in the presence of a very handsome woman, and that she was asking me the reasons for my visit. I had not quite understood until that instant how delicate my mission was. | En arrivant à Coombe Tracey, j’ordonnai à Perkins de dételer les chevaux, et je m’enquis de la dame que je venais interroger. Je la trouvai sans peine : elle habitait au centre de la petite localité. La bonne m’introduisit dans le salon, sans m’annoncer. Une femme, assise devant une machine à écrire, se leva et s’avança vers moi avec un sourire de bienvenue. Quand elle se trouva en face d’un étranger, ce sourire s’évanouit ; elle se rassit et s’informa de l’objet de ma visite. À première vue, Mme Laura Lyons produisait l’impression d’une très jolie femme. Ses yeux et ses cheveux avaient cette chaude coloration de la noisette ; ses joues, quoique marquées de quelques taches de rousseur, possédaient l’éclat exquis des brunes avec, aux pommettes, ce léger vermillon qui brille au cœur de la rose thé. La première impression, je le répète, engendrait l’admiration. La critique ne naissait qu’à un second examen. Le visage avait quelque chose de défectueux — une expression vulgaire, peut-être une dureté de l’œil ou un relâchement de la lèvre en altéraient la parfaite beauté. Mais la remarque de ces défectuosités ne venait qu’après une étude plus approfondie des traits. Sur le moment, je n’éprouvai que la sensation d’être en présence d’une très jolie femme, qui me demandait le motif de ma visite. Jusqu’alors, je ne m’étais nullement douté de la délicatesse de ma démarche. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
When I reached Coombe Tracey I told Perkins to put up the horses, and I made inquiries for the lady whom I had come to interrogate. I had no difficulty in finding her rooms, which were central and well appointed. A maid showed me in without ceremony, and as I entered the sitting-room a lady, who was sitting before a Remington typewriter, sprang up with a pleasant smile of welcome. Her face fell, however, when she saw that I was a stranger, and she sat down again and asked me the object of my visit. The first impression left by Mrs. Lyons was one of extreme beauty. Her eyes and hair were of the same rich hazel colour, and her cheeks, though considerably freckled, were flushed with the exquisite bloom of the brunette, the dainty pink which lurks at the heart of the sulphur rose. Admiration was, I repeat, the first impression. But the second was criticism. There was something subtly wrong with the face, some coarseness of expression, some hardness, perhaps, of eye, some looseness of lip which marred its perfect beauty. But these, of course, are afterthoughts. At the moment I was simply conscious that I was in the presence of a very handsome woman, and that she was asking me the reasons for my visit. I had not quite understood until that instant how delicate my mission was. | En arrivant à Coombe Tracey, j’ordonnai à Perkins de dételer les chevaux, et je m’enquis de la dame que je venais interroger. Je la trouvai sans peine : elle habitait au centre de la petite localité. La bonne m’introduisit dans le salon, sans m’annoncer. Une femme, assise devant une machine à écrire, se leva et s’avança vers moi avec un sourire de bienvenue. Quand elle se trouva en face d’un étranger, ce sourire s’évanouit ; elle se rassit et s’informa de l’objet de ma visite. À première vue, Mme Laura Lyons produisait l’impression d’une très jolie femme. Ses yeux et ses cheveux avaient cette chaude coloration de la noisette ; ses joues, quoique marquées de quelques taches de rousseur, possédaient l’éclat exquis des brunes avec, aux pommettes, ce léger vermillon qui brille au cœur de la rose thé. La première impression, je le répète, engendrait l’admiration. La critique ne naissait qu’à un second examen. Le visage avait quelque chose de défectueux — une expression vulgaire, peut-être une dureté de l’œil ou un relâchement de la lèvre en altéraient la parfaite beauté. Mais la remarque de ces défectuosités ne venait qu’après une étude plus approfondie des traits. Sur le moment, je n’éprouvai que la sensation d’être en présence d’une très jolie femme, qui me demandait le motif de ma visite. Jusqu’alors, je ne m’étais nullement douté de la délicatesse de ma démarche. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |