Translations for Yvonne in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
A reaction followed which was all the greater inasmuch as the effort had been swift and violent. Yvonne staggered, leant against a chair and, losing a energy, let herself fall. | Une réaction se produisit, d’autant plus vive, que l’effort avait été plus rapide et plus brutal. Yvonne chancela, s’appuya contre un fauteuil et se laissa tomber, à bout d’énergie. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
The twelve strokes of midnight . . . . Then half-past twelve . . . then one . . . . Yvonne thought of nothing, awaiting the events which were preparing and against which rebellion was useless. She pictured her son and herself as one pictures those beings who have suffered much and who suffer no more and who take each other in their loving arms. But a nightmare shattered this dream. For now those two beings were to be torn asunder; and she had the awful feeling, in her delirium, that she was crying and choking. . . . | Les douze coups de minuit… Puis la demie… Puis une heure… Yvonne ne réfléchissait à rien, attendant les événements qui se préparaient et contre lesquels toute rébellion était inutile. Elle se représentait son fils et elle-même, comme on se représente ces êtres qui ont beaucoup souffert et qui ne souffrent plus, et qui s’enlacent de leurs bras affectueux. Mais un cauchemar la secoua. Voilà que, ces deux êtres, on voulait les arracher l’un à l’autre, et elle avait la sensation affreuse, en son délire, qu’elle pleurait, et qu’elle râlait… |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
She leapt from her seat. The key had turned in the lock. The count was coming, attracted by her cries. Yvonne glanced round for a weapon with which to defend herself. But the door was pushed back quickly and, astounded, as though the sight that presented itself before her eyes seemed to her the most inexplicable prodigy, she stammered: | D’un mouvement, elle se dressa. La clef venait de tourner dans la serrure. Attiré par ses cris, le comte allait apparaître. Du regard, Yvonne chercha une arme pour se défendre. Mais la porte fut poussée vivement, et, stupéfaite, comme si le spectacle qui s’offrait à ses yeux lui eût semblé le prodige le plus inexplicable, elle balbutia : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
He pushed both sides to. Yvonne took fright: | Il poussa les deux battants. Yvonne s’effara. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
Abruptly, unconsciously, acting under the impulse of an irresistible determination, the consequences of which she refused to anticipate, Yvonne, with the same automatic gestures, took a pneumatic-delivery envelope, slipped in the card, sealed it, directed it to "Horace Velmont, Cercle de la Rue Royale" and went to the open window. The policeman was walking up and down outside. She flung out the envelope, trusting to fate. Perhaps it would be picked up, treated as a lost letter and posted. | Brusquement, inconsciemment, sous la poussée d’une décision irrésistible et dont elle se refusait à prévoir les conséquences, Yvonne, avec ses mêmes gestes d’automate, prit une enveloppe pneumatique, introduisit la carte de visite, cacheta, inscrivit les deux lignes : Horace Velmont, Cercle de la rue Royale et s’approcha de la fenêtre entre-bâillée. Dehors l’agent de police déambulait. Elle lança l’enveloppe, la confiant au hasard. Peut-être ce chiffon de papier serait-il ramassé, et, comme une lettre égarée, mis à la poste. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
He examined the strips of canvas from which Yvonne had succeeded in freeing herself and nodded his head, while continuing his inspection: | Il examina les bandes de toile dont Yvonne avait réussi à se délivrer et hocha la tête, tout en continuant son inspection. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
He told this in the most natural way, just as one tells a meaningless anecdote in a drawing-room. But Yvonne, suddenly seized with fresh alarm, asked: | Il racontait cela le plus naturellement du monde, de même que l’on raconte, dans un salon, une petite anecdote insignifiante. Mais Yvonne demanda, reprise d’une inquiétude soudaine : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
At half-past three, a motor-cab drew up. The door downstairs was slammed again; and, almost immediately after, Yvonne saw her husband hurry in, with a furious look in his eyes. He ran up to her, felt to see if she was still fastened and, snatching her hand, examined the ring. Yvonne fainted. . . . | À trois heures et demie, une automobile s’arrêtait. La porte, en bas, claqua de nouveau, et presque aussitôt Yvonne aperçut son mari qui entrait rapidement, l’air furieux. Il courut vers elle, s’assura qu’elle était toujours attachée, et, s’emparant de sa main, examina la bague. Yvonne s’évanouit… |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
The count, returning with the Comtesse d'Origny, asked her to sit down. She was a tall, lank, angular woman, who had always displayed a hostile feeling to Yvonne. She did not even bid her daughter-in-law good- morning, showing that her mind was made up as regards the accusation: | Le comte revint avec la comtesse d’Origny et la pria de s’asseoir. C’était une femme sèche, anguleuse, qui avait toujours manifesté contre Yvonne des sentiments hostiles. Elle ne salua même pas sa belle-fille, montrant ainsi qu’elle était gagnée à l’accusation. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
Then she put out her slim and trembling hand to the workman, who took it, turned it over and rested it on the table, with the palm upward. Yvonne felt the cold steel. She longed to die, then and there; and, at once attracted by that idea of death, she thought of the poisons which she would buy and which would send her to sleep almost without her knowing it. | Alors elle tendit sa main fragile et tremblante que l’ouvrier saisit de nouveau, qu’il retourna, et appuya sur la table, la paume découverte. Yvonne sentit le froid de l’acier. Elle souhaita mourir, d’un coup, et, s’attachant aussitôt à cette idée de mort, elle pensa à des poisons qu’elle achèterait et qui l’endormiraient presque à son insu. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"You have been very thoughtless, Yvonne." | « Vous avez été bien légère, Yvonne. » |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
Swayed and subdued, Yvonne instinctively held out her hands to the bonds. When he stood up, she was bound as she had been before. | Dominée, soumise, Yvonne, par instinct, s’offrait elle-même aux entraves. Quand il se releva, elle était liée comme auparavant. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
Velmont at once pressed her with questions and Yvonne stood silent, motionless, anxious-faced. At last, she replied, in a low voice: | Velmont la pressa de questions aussitôt, et Yvonne se taisait, immobile, le visage anxieux. À la fin, elle répondit, à voix basse : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Your mother is here?" cried Yvonne, in dismay, remembering Horace Velmont's promise. | — Votre mère est ici ? s’écria Yvonne, éperdue et se rappelant la promesse d’Horace Velmont. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
Then Yvonne heard the key turn in the lock and the sound of steps going down to the ground- floor, where her husband's study was. | Ensuite Yvonne perçut le cliquetis de la serrure et le bruit des pas qui descendaient jusqu’au rez-de-chaussée où se trouvait le cabinet de travail de son mari. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
As soon as she was alone, Yvonne d'Origny walked to the window to catch a glimpse of her son as he left the house. He was out in the street in a moment, raised his head and blew her a kiss, as was his custom every day. Then the governess took his hand with, as Yvonne remarked to her surprise, a movement of unusual violence. Yvonne leant further out of the window and, when the boy reached the corner of the boulevard, she suddenly saw a man step out of a motor-car and go up to him. The man, in whom she recognized Bernard, her husband's confidential servant, took the child by the arm, made both him and the governess get into the car, and ordered the chauffeur to drive off. | Aussitôt seule, Yvonne d’Origny marcha vers la fenêtre afin d’apercevoir son fils dès qu’il serait dehors. En effet, au bout d’un instant, il sortit de l’hôtel, leva la tête et lui envoya des baisers comme chaque jour. Puis sa gouvernante lui prit la main d’un geste dont Yvonne remarqua, avec étonnement, la brusquerie inaccoutumée. Elle se pencha davantage et, comme l’enfant gagnait l’angle du boulevard, elle vit soudain un homme qui descendait d’une automobile et qui s’approchait de lui. Cet homme – elle reconnut Bernard, le domestique de confiance de son mari – cet homme saisit l’enfant par le bras, le fit monter dans l’automobile ainsi que la gouvernante, et donna l’ordre au chauffeur de s’éloigner. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
She hid her face in her hands and began to weep. But, amid the silence, the clock struck once . . . and twice . . . and yet once more. And Yvonne drew herself up with a jerk: | Elle se cacha la tête et se mit à pleurer. Mais dans le silence, la pendule sonna une fois, et puis une autre fois, et une fois encore. Et Yvonne se redressa d’un bond. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
As he was leaving the room, he was joined, near the door, by his man Bernard. The two stopped and talked, in a low voice; but Yvonne heard these words spoken by the servant: | Comme il s’en allait, il fut rejoint près de la porte par son domestique Bernard. Ils conversèrent tous deux à voix basse, mais Yvonne entendit ces mots que prononçait le domestique : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
It was now dark in the boudoir. The count switched on the electric light and went to a little writing-desk where Yvonne was accustomed to keep her letters. Not succeeding in opening it, he picked the lock with a bent wire, emptied the drawers and collected the contents into a bundle, which he carried off in a cardboard file: | L’ombre avait envahi le boudoir. Le comte alluma l’électricité et se dirigea vers un petit secrétaire où Yvonne avait l’habitude de ranger ses lettres. Ne parvenant pas à l’ouvrir, il le fractura à l’aide d’un crochet de fer, vida les tiroirs, et, de tous les papiers, fit un monceau qu’il emporta dans un carton. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |