Translations for chief in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
The police officers of Rouen, convinced of their own impotence, solicited the assistance of the Parisian detective force. Mon. Dudouis, chief of the Surete, sent the best sleuths of the iron brigade. He himself spent forty-eight hours at the castle, but met with no success. Then he sent for Ganimard, whose past services had proved so useful when all else failed. | Le parquet de Rouen, convaincu de son impuissance, sollicita le secours d’agents parisiens. M. Dudouis, le chef de la Sûreté, envoya ses meilleurs limiers de la brigade de fer. Lui-même fit un séjour de quarante-huit heures au Malaquis. Il ne réussit pas davantage. C’est alors qu’il manda l’inspecteur principal Ganimard dont il avait eu si souvent l’occasion d’apprécier les services. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
"Information has reached us of the arrest of Victor Danegre, the servant of the Countess d'Andillot. The evidence against him is clear and convincing. On the silken sleeve of his liveried waistcoat, which chief detective Dudouis found in his garret between the mattresses of his bed, several spots of blood were discovered. In addition, a cloth-covered button was missing from that garment, and this button was found beneath the bed of the victim. | « On nous annonce l’arrestation de Victor Danègre, le domestique de la comtesse d’Andillot. Les charges relevées contre lui sont écrasantes. Sur la manche en lustrine de son gilet de livrée, que M. Dudouis, le chef de la Sûreté, a trouvé dans sa mansarde, entre le sommier et le matelas, on a constaté des taches de sang. En outre, il manquait à ce gilet un bouton recouvert d’étoffe. Or ce bouton, dès le début des perquisitions, avait été ramassé sous le lit même de la victime. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
After a month of patient investigation, the problem remained unsolved. The poor devil of a Baudru could not be kept in prison indefinitely, and to place him on trial would be ridiculous. There was no charge against him. Consequently, he was released; but the chief of the Surete resolved to keep him under surveillance. This idea originated with Ganimard. From his point of view there was neither complicity nor chance. Baudru was an instrument upon which Arsene Lupin had played with his extraordinary skill. Baudru, when set at liberty, would lead them to Arsene Lupin or, at least, to some of his accomplices. The two inspectors, Folenfant and Dieuzy, were assigned to assist Ganimard. One foggy morning in January the prison gates opened and Baudru Desire stepped forth—a free man. At first he appeared to be quite embarrassed, and walked like a person who has no precise idea whither he is going. He followed the rue de la Sante and the rue Saint Jacques. He stopped in front of an old-clothes shop, removed his jacket and his vest, sold his vest on which he realized a few sous; then, replacing his jacket, he proceeded on his way. He crossed the Seine. At the Chatelet an omnibus passed him. He wished to enter it, but there was no place. The controller advised him to secure a number, so he entered the waiting-room. | Au bout d’un mois de recherches minutieuses, l’énigme se présentait avec le même caractère indéchiffrable. On ne pouvait cependant pas garder indéfiniment ce pauvre diable de Baudru. Son procès eût été ridicule : quelles charges avait-on contre lui ? Sa mise en liberté fut signée par le juge d’instruction. Mais le chef de la Sûreté résolut d’établir autour de lui une surveillance active. L’idée provenait de Ganimard. À son point de vue, il n’y avait ni complicité, ni hasard. Baudru était un instrument dont Arsène Lupin avait joué avec son extraordinaire habileté. Baudru libre, par lui on remonterait jusqu’à Arsène Lupin ou du moins jusqu’à quelqu’un de sa bande. On adjoignit à Ganimard les deux inspecteurs Folenfant et Dieuzy, et un matin de janvier, par un temps brumeux, les portes de la prison s’ouvrirent devant Baudru Désiré. Il parut d’abord assez embarrassé, et marcha comme un homme qui n’a pas d’idées bien précises sur l’emploi de son temps. Il suivit la rue de la Santé et la rue Saint-Jacques. Devant la boutique d’un fripier, il enleva sa veste et son gilet, vendit son gilet moyennant quelques sous, et, remettant sa veste, s’en alla. Il traversa la Seine. Au Châtelet un omnibus le dépassa. Il voulut y monter. Il n’y avait pas de place. Le contrôleur lui conseillant de prendre un numéro, il entra dans la salle d’attente. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
The situation had become intolerable. Acting in conjunction with the examining judge, the chief of the Surete, Mon. Dudouis, had visited the prison and instructed the gaoler in regard to the precautions necessary to insure Lupin's safety. At the same time, he sent the two men to examine the prisoner's cell. They raised every stone, ransacked the bed, did everything customary in such a case, but they discovered nothing, and were about to abandon their investigation when the guard entered hastily and said: | La situation devenait intolérable. D’accord avec le juge d’instruction, le chef de la Sûreté M. Dudouis se rendit lui-même à la Santé pour exposer au directeur de la prison les mesures qu’il convenait de prendre. Et, dès son arrivée, il envoya deux de ses hommes dans la cellule du détenu. Ils levèrent chacune des dalles, démontèrent le lit, firent tout ce qu’il est habituel de faire en pareil cas, et finalement ne découvrirent rien. Ils allaient renoncer à leurs investigations, lorsque le gardien accourut en toute hâte et leur dit : |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
“Ten men, chief, at once. And please come yourself.” | « Dix hommes tout de suite, chef. Et venez vous-même, je vous en prie. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
At the end of the fortnight, he asked for an extension of leave. The chief of the detective-service, who was at that time M. Dudouis, came to see him and found him perched on the top of a ladder, in the gallery. That day, the chief-inspector admitted that all his searches had proved useless. | Au bout de quinze jours, il demanda une prolongation de son congé. Le chef de la Sûreté, qui était alors M. Dudouis, vint le voir, et le surprit au haut d’une échelle dans la galerie. Ce jour-là, l’inspecteur principal avoua l’inutilité de ses recherches. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“Precisely, chief.” | — Précisément, chef. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
Things took place as Ganimard had arranged. Shortly after midnight, when all the lights were out on the upper floors, he slipped into the street and went to meet M. Dudouis. There was a hurried consultation. The officers distributed themselves as Ganimard ordered. Then the chief and the chief-inspector walked back together, noiselessly crossed the garden and closeted themselves with every precaution: | Les choses s’exécutèrent selon les prescriptions de Ganimard. Un peu avant minuit, comme toutes les lumières étaient éteintes aux étages supérieurs, il se glissa dans la rue et alla au-devant de M. Dudouis. Il y eut un rapide conciliabule. Les agents obéirent aux ordres de Ganimard. Puis le chef et l’inspecteur principal revinrent ensemble, traversèrent sans bruit le jardin, et s’enfermèrent avec les plus grandes précautions. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“No more dead than you or I, chief.” | — Comme vous et moi, chef. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“Then I implore you, chief, to have a little patience ... to let me go my own way. But if I telephone to you, some day or other, suddenly, you must jump into a taxi, without losing a minute. It will mean that I have discovered the secret.” | — Alors, chef, je vous supplie d’avoir un peu de patience… de me laisser faire. Mais si, tout à coup, un jour ou l’autre, je vous téléphonais, il faudrait sauter dans une auto et ne pas perdre une minute… C’est que le pot aux roses serait découvert. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“Next to it, chief.” | — À côté, chef. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“I know nothing, chief, absolutely nothing; but there's a confounded notion worrying me.... Only it seems so absurd.... And then it doesn't explain things.... On the contrary, it confuses them rather....” | — Je ne sais rien, chef, absolument rien, mais il y a une diable d’idée qui me tracasse… Seulement, c’est tellement fou !… Et puis ça n’explique pas… Au contraire, ça embrouille les choses plutôt… |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“Only because you, chief, like myself, have stopped halfway; because, strange as this story already sounds, we must go still farther, very much farther, in the direction of the improbable and the astounding. And why not, after all? Remember that we are dealing with Arsène Lupin. With him, is it not always just the improbable and the astounding that we must look for? Must we not always go straight for the maddest suppositions? And, when I say the maddest, I am using the wrong word. On the contrary, the whole thing is wonderfully logical and so simple that a child could understand it. Confederates only betray you. Why employ confederates, when it is so easy and so natural to act for yourself, by yourself, with your own hands and by the means within your own reach?” | — Elle ne tient pas de debout, chef, parce que vous vous êtes, comme moi, arrêté en chemin, parce que, si cette aventure est déjà étrange, il fallait cependant aller encore plus loin, beaucoup plus loin vers l’invraisemblable et le stupéfiant. Et pourquoi pas, après tout ? Est-ce qu’il ne s’agit pas d’Arsène Lupin ? Est-ce que nous ne devons pas, avec lui, nous attendre justement à ce qui est invraisemblable et stupéfiant ? Ne devons-nous pas nous orienter vers l’hypothèse la plus folle ? Et quand je dis la plus folle, le mot n’est pas exact. Tout cela, au contraire, est d’une logique admirable et d’une simplicité enfantine. Des complices ? Ils vous trahissent. Des complices ? À quoi bon ! quand il est si commode et si naturel d’agir soi-même, en personne, avec ses propres mains, et par ses seuls moyens ! |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“Yes, chief, Lupin simply, Lupin in five letters and two syllables, Lupin taken out of his Brazilian skin, Lupin revived from the dead, Lupin translated, for the past six months, into Colonel Sparmiento, travelling in Brittany, hearing of the discovery of the twelve tapestries, buying them, planning the theft of the best of them, so as to draw attention to himself, Lupin, and divert it from himself, Sparmiento. Next, he brings about, in full view of the gaping public, a noisy contest between Lupin and Sparmiento or Sparmiento and Lupin, plots and gives the house-warming party, terrifies his guests and, when everything is ready, arranges for Lupin to steal Sparmiento's tapestries and for Sparmiento, Lupin's victim, to disappear from sight and die unsuspected, unsuspectable, regretted by his friends, pitied by the public and leaving behind him, to pocket the profits of the swindle....” | — Oui, chef, Lupin tout court, Lupin en deux syllabes et en cinq lettres. Lupin décortiqué de son enveloppe brésilienne. Lupin ressuscité d’entre les morts, Lupin qui, transformé depuis six mois en colonel Sparmiento, et voyageant en Bretagne, apprend la découverte de douze tapisseries, les achète, combine le vol de la plus belle, pour attirer l’attention sur lui, Lupin, et pour la détourner de lui, Sparmiento, organise à grand fracas, devant le public ébahi, le duel de Lupin contre Sparmiento et de Sparmiento contre Lupin, projette et réalise la fête d’inauguration, épouvante ses invités, et, lorsque tout est prêt, se décide, en tant que Lupin vole les tapisseries de Sparmiento, en tant que Sparmiento disparaît victime de Lupin et meurt insoupçonné, insoupçonnable, regretté par ses amis, plaint par la foule et laissant derrière lui, pour empocher les bénéfices de l’affaire… » |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“No, chief, he can't: neither he nor the two women.” | — Non, chef, il ne le peut plus, ni lui ni les deux femmes… |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |