Translations for cigarette in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
We were sitting on the terrace at Monte Carlo. Lupin finished his story, lit a cigarette and calmly puffed the smoke into the blue air. | Nous étions assis sur la terrasse de Monte-Carlo. Son histoire terminée, Lupin alluma une cigarette et lança paisiblement des bouffées vers le ciel bleu. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
He was now sitting up, with his eyes turned to the open window and his fingers rolling a Turkish cigarette. He continued: | Il était assis sur le divan, les yeux tournés vers la fenêtre ouverte, et ses doigts roulaient une cigarette de tabac oriental. Il prononça : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Quite so," he answered, lighting a cigarette, and throwing himself down into an arm-chair. "You see, but you do not observe. The distinction is clear. For example, you have frequently seen the steps which lead up from the hall to this room." | — Assurément, me répondit-il, en allumant une cigarette et en se jetant dans un fauteuil. Vous voyez, mais vous n’observez pas, c’est certain. Par exemple vous avez souvent vu l’escalier qui mène de l’antichambre à cette pièce. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"Not at all. The G with the small t stands for 'Gesellschaft,' which is the German for 'Company.' It is a customary contraction like our 'Co.' P , of course, stands for 'Papier.' Now for the Eg . Let us glance at our Continental Gazetteer." He took down a heavy brown volume from his shelves. "Eglow, Eglonitz—here we are, Egria. It is in a German-speaking country—in Bohemia, not far from Carlsbad. 'Remarkable as being the scene of the death of Wallenstein, and for its numerous glass-factories and paper-mills.' Ha, ha, my boy, what do you make of that?" His eyes sparkled, and he sent up a great blue triumphant cloud from his cigarette. | — Pas du tout. Le G avec le petit t signifie Gesellschaft, ce qui veut dire en allemand « compagnie ». C’est une contraction usuelle comme le C° anglais, dans le même cas. Cherchons maintenant l’explication de Eg. Je vais consulter mon dictionnaire universel. » Il prit sur un des rayons de sa bibliothèque un gros volume brun. — « Eglo, Eglonitz, nous y voici : Egria. C’est une province de Bohême où on parle allemand, et qui est située non loin de Carlsbad. Remarquable pour avoir été le théâtre de la mort de Wallenstein et pour ses nombreuses manufactures de verre ainsi que ses moulins à papier. » « Eh bien ! mon garçon, qu’en pensez-vous ? Ses yeux brillaient, et, aspirant triomphalement sa cigarette, il envoya au plafond un gros nuage bleu. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
He took a few steps up and down the room, lit a cigarette and said: | Il fit quelques pas de droite et de gauche dans la pièce, puis alluma une cigarette, et me dit : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“No, he lit a cigarette and went for a stroll in the orchard.” | « Non… non… il a allumé une cigarette, et il s’est enfoncé dans le verger, en se promenant. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“Over there, father,” said Angélique, pointing to d'Emboise, who was smoking a cigarette and reading, some way off. | — Il est là, mon père, fit Angélique en montrant d’Emboise qui fumait une cigarette et lisait à quelque distance. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"You were yourself struck by the nature of the injury as recorded by the surgeon at the inquest. The blow was struck from immediately behind, and yet was upon the left side. Now, how can that be unless it were by a left-handed man? He had stood behind that tree during the interview between the father and son. He had even smoked there. I found the ash of a cigar, which my special knowledge of tobacco ashes enabled me to pronounce as an Indian cigar. I have, as you know, devoted some attention to this, and written a little monograph on the ashes of 140 different varieties of pipe, cigar, and cigarette tobacco. Having found the ash, I then looked round and discovered the stump among the moss where he had tossed it. It was an Indian cigar, of the variety which are rolled in Rotterdam." | — Vous avez sûrement été frappé par la nature de la blessure décrite par le chirurgien lors de sa déposition. Le coup a été porté directement par derrière et cependant à gauche. C’est bien le fait d’un gaucher. Il est sûrement resté derrière l’arbre pendant l’entrevue du père et du fils. Il a même fumé à cet endroit. J’ai retrouvé là la cendre d’un cigare que mes connaissances particulières en cendres de tabac me permettent de reconnaître pour avoir été un cigare indien. Vous savez que je me suis appliqué à cette étude et que j’ai écrit une petite monographie sur les cendres de cent quarante variétés différentes de tabacs de pipe, de cigare et de cigarette. Après avoir trouvé de la cendre j’ai cherché tout autour, dans la mousse, le bout de cigare qui avait dû être jeté là et je l’ai découvert. C’était, en effet, un cigare indien de la qualité fabriquée à Rotterdam. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
Lupin lit a cigarette and, taking Ganimard by the sleeve: | Lupin alluma une cigarette, et, saisissant la manche de Ganimard : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
He lit a cigarette and went out, without attaching importance to an incident that ought to have impressed him: | Il alluma une cigarette et conclut, sans attacher d’importance à cet incident qui eût dû le frapper : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
But the dining-room which opened out of the hall was a place of shadow and gloom. It was a long chamber with a step separating the daïs where the family sat from the lower portion reserved for their dependents. At one end a minstrel’s gallery overlooked it. Black beams shot across above our heads, with a smoke-darkened ceiling beyond them. With rows of flaring torches to light it up, and the colour and rude hilarity of an old-time banquet, it might have softened; but now, when two black-clothed gentlemen sat in the little circle of light thrown by a shaded lamp, one’s voice became hushed and one’s spirit subdued. A dim line of ancestors, in every variety of dress, from the Elizabethan knight to the buck of the Regency, stared down upon us and daunted us by their silent company. We talked little, and I for one was glad when the meal was over and we were able to retire into the modern billiard-room and smoke a cigarette. | Mais la salle à manger, qui communiquait avec le hall, était pleine d’ombre et de tristesse. On dressait encore la table sur une espèce d’estrade autour de laquelle devaient autrefois se tenir les domestiques. À l’une des extrémités de la pièce, une loggia, réservée pour des musiciens, dominait la salle. À la lueur des torches et avec la haute liesse des banquets du bon vieux temps, cet aspect pouvait être adouci. Mais de nos jours, en présence de deux messieurs vêtus de noir, assis dans le cercle de lumière projeté par une lampe voilée d’un abat-jour, la voix détonnait et l’esprit devenait inquiet. Toute une lignée d’ancêtres habillés de tous les costumes des siècles passés, depuis le chevalier du règne d’Élisabeth jusqu’au petit maître de la Régence, nous fixait du haut de ses cadres et nous gênait par sa muette présence. Nous parlâmes peu et je me sentis soulagé, une fois le repas terminé, quand nous allâmes fumer une cigarette dans la salle de billard. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
"I have seen those symptoms before," said Holmes, throwing his cigarette into the fire. "Oscillation upon the pavement always means an affaire de cœur . She would like advice, but is not sure that the matter is not too delicate for communication. And yet even here we may discriminate. When a woman has been seriously wronged by a man she no longer oscillates, and the usual symptom is a broken bell wire. Here we may take it that there is a love matter, but that the maiden is not so much angry as perplexed, or grieved. But here she comes in person to resolve our doubts." | — Je connais ces symptômes, dit Holmes, en jetant sa cigarette dans le feu. Cette hésitation est toujours le signe d’une « affaire de cœur ». Elle voudrait un conseil mais trouve le sujet bien délicat pour le révéler à un tiers. Et cependant, là encore, il y a des nuances. Une femme gravement trompée par un homme n’hésite jamais ; elle se pend au cordon de sonnette et le casse. Ici le cœur est blessé, la jeune personne est plus perplexe et peinée que courroucée. Mais la voici, elle va nous mettre au courant. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
He had run for a few steps; but, once upon the sidewalk, he turned and looked around; he seemed to scent the wind like a person who is uncertain which direction to take. Then, having decided, he put his hands in his pockets, and, with the careless air of an idle stroller, he proceeded up the boulevard. It was a warm, bright autumn day, and the cafes were full. He took a seat on the terrace of one of them. He ordered a bock and a package of cigarettes. He emptied his glass slowly, smoked one cigarette and lighted a second. Then he asked the waiter to send the proprietor to him. When the proprietor came, Arsene spoke to him in a voice loud enough to be heard by everyone: | Il avait fait quelques pas en courant ; mais sur le trottoir de gauche, il se retourna, jeta un regard circulaire, sembla prendre le vent, comme quelqu’un qui ne sait encore trop quelle direction il va suivre. Puis, résolu, il mit les mains dans ses poches, et de l’air insouciant d’un promeneur qui flâne, il continua de monter le boulevard. Le temps était doux, un temps heureux et léger d’automne. Les cafés étaient pleins. Il s’assit à la terrasse de l’un d’eux. Il commanda un bock et un paquet de cigarettes. Il vida son verre à petites gorgées, fuma tranquillement une cigarette, en alluma une seconde. Enfin, s’étant levé, il pria le garçon de faire venir le gérant. Le gérant vint, et Arsène lui dit, assez haut pour être entendu de tous : |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
As I approached the hut, walking as warily as Stapleton would do when with poised net he drew near the settled butterfly, I satisfied myself that the place had indeed been used as a habitation. A vague pathway among the boulders led to the dilapidated opening which served as a door. All was silent within. The unknown might be lurking there, or he might be prowling on the moor. My nerves tingled with the sense of adventure. Throwing aside my cigarette, I closed my hand upon the butt of my revolver, and, walking swiftly up to the door, I looked in. The place was empty. | Avec autant de précaution que Stapleton s’approchant, le filet levé, d’un papillon posé sur une fleur, je fis quelques pas en avant. Un sentier, à peine frayé à travers les blocs de rochers, conduisait à une ouverture béante qui tenait lieu de porte. À l’intérieur, tout était silencieux. De deux choses l’une : l’inconnu s’y trouvait blotti ou bien il rôdait sur la lande. Mes nerfs vibraient sous la solennité du moment. Jetant ma cigarette, je saisis la crosse de mon revolver, et, courant précipitamment vers la porte, je regardai dans la hutte. Elle était vide. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
“No, Watson; I fear that I could not undertake to recognise your footprint amid all the footprints of the world. If you seriously desire to deceive me you must change your tobacconist; for when I see the stub of a cigarette marked Bradley, Oxford Street, I know that my friend Watson is in the neighbourhood. You will see it there beside the path. You threw it down, no doubt, at that supreme moment when you charged into the empty hut.” | — Non, Watson. Je ne me livrerais pas à une recherche aussi ardue. Seulement, si vous désirez vous cacher de moi, je vous conseille de changer de marchand de tabac. Lorsque je trouve un bout de cigarette portant la marque de Bradley, Oxford Dirent, je devine que mon ami Watson n’est pas loin. Regardez, en voilà une à peu près intacte dans le sentier. Vous l’avez jetée, sans doute, au moment de faire irruption dans la hutte vide ? |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
When Dr. Mortimer had finished reading this singular narrative he pushed his spectacles up on his forehead and stared across at Mr. Sherlock Holmes. The latter yawned and tossed the end of his cigarette into the fire. | Lorsque le docteur Mortimer eut achevé sa lecture, il remonta ses lunettes sur son front et regarda Sherlock Holmes. Ce dernier bâilla, jeta le bout de sa cigarette dans le feu et demanda laconiquement : |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
“Really, Watson, you excel yourself,” said Holmes, pushing back his chair and lighting a cigarette. “I am bound to say that in all the accounts which you have been so good as to give of my own small achievements you have habitually underrated your own abilities. It may be that you are not yourself luminous, but you are a conductor of light. Some people without possessing genius have a remarkable power of stimulating it. I confess, my dear fellow, that I am very much in your debt.” | — En vérité, Watson, vous vous surpassez, fit Holmes, en reculant sa chaise pour allumer une cigarette. Je dois avouer que, dans tous les rapports que vous avez bien voulu rédiger sur mes humbles travaux, vous ne vous êtes pas assez rendu justice. Vous n’êtes peut-être pas lumineux par vous-même ; mais je vous tiens pour un excellent conducteur de lumière. Il existe des gens qui, sans avoir du génie, possèdent le talent de le stimuler chez autrui. Je confesse, mon cher ami, que je suis votre obligé. » |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
He had never said as much before, and I must admit that his words gave me keen pleasure, for I had often been piqued by his indifference to my admiration and to the attempts which I had made to give publicity to his methods. I was proud, too, to think that I had so far mastered his system as to apply it in a way which earned his approval. He now took the stick from my hands and examined it for a few minutes with his naked eyes. Then, with an expression of interest, he laid down his cigarette, and, carrying the cane to the window, he looked over it again with a convex lens. | Auparavant, Holmes ne m’avait jamais parlé ainsi. Ces paroles me firent le plus grand plaisir, car, jusqu’alors, son indifférence aussi bien pour mon admiration que pour mes efforts tentés en vue de vulgariser ses méthodes, m’avait vexé. De plus, j’étais fier de m’être assimilé son système au point de mériter son approbation quand il m’arrivait de l’appliquer. Holmes me prit la canne des mains et l’examina à son tour pendant quelques minutes. Puis, soudainement intéressé, il posa sa cigarette, se rapprocha de la fenêtre et la regarda de nouveau avec une loupe. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
Then, quite unruffled, he resumed his seat, lighted a cigarette, and proceeded to examine the treasure that he had acquired. The examination appeared to give him perfect satisfaction. | Alors, toujours silencieux et tranquille, sans plus s’occuper de nous, il regagna sa place, alluma une cigarette et se livra à un examen approfondi des trésors qu’il avait conquis, examen qui parut le satisfaire entièrement. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |