Translations for countenance in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
Set, in an oval of indescribable grace, two black eyes, surmounted by eyebrows of so pure a curve that it seemed as if painted; veil these eyes with lovely lashes, which, when drooped, cast their shadow on the rosy hue of the cheeks; trace a delicate, straight nose, the nostrils a little open, in an ardent aspiration toward the life of the senses; design a regular mouth, with lips parted graciously over teeth as white as milk; colour the skin with the down of a peach that no hand has touched, and you will have the general aspect of that charming countenance. The hair, black as jet, waving naturally or not, was parted on the forehead in two large folds and draped back over the head, leaving in sight just the tip of the ears, in which there glittered two diamonds, worth four to five thousand francs each. How it was that her ardent life had left on Marguerite’s face the virginal, almost childlike expression, which characterized it, is a problem which we can but state, without attempting to solve it. | Dans un ovale d'une grâce indescriptible, mettez des yeux noirs surmontés de sourcils d'un arc si pur qu'il semblait peint; voilez ces yeux de grands cils qui, lorsqu'ils s'abaissaient, jetaient de l'ombre sur la teinte rose des joues; tracez un nez fin, droit, spirituel, aux narines un peu ouvertes par une aspiration ardente vers la vie sensuelle; dessinez une bouche régulière, dont les lèvres s'ouvraient gracieusement sur des dents blanches comme du lait; colorez la peau de ce velouté qui couvre les pêches qu'aucune main n'a touchées, et vous aurez l'ensemble de cette charmante tête. Les cheveux, noirs comme du jais, ondés naturellement ou non, s'ouvraient sur le front en deux larges bandeaux, et se perdaient derrière la tête, en laissant voir un bout des oreilles, auxquelles brillaient deux diamants d'une valeur de quatre à cinq mille francs chacun. Comment sa vie ardente laissait-elle au visage de Marguerite l'expression virginale, enfantine même qui le caractérisait? C'est ce que nous sommes forcés de constater sans le comprendre. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
At seven o'clock in the morning he arose and called Planchet, who at the second summons opened the door, his countenance not yet quite freed from the anxiety of the preceding night. | À sept heures du matin il se leva et appela Planchet, qui, au second appel, ouvrit la porte, le visage encore mal nettoyé des inquiétudes de la veille. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
Now, as at the moment in which d'Artagnan fixed his eyes upon the gentleman in the violet doublet, the gentleman made one of his most knowing and profound remarks respecting the Bearnese pony, his two auditors laughed even louder than before, and he himself, though contrary to his custom, allowed a pale smile (if I may allowed to use such an expression) to stray over his countenance. This time there could be no doubt; d'Artagnan was really insulted. Full, then, of this conviction, he pulled his cap down over his eyes, and endeavoring to copy some of the court airs he had picked up in Gascony among young traveling nobles, he advanced with one hand on the hilt of his sword and the other resting on his hip. Unfortunately, as he advanced, his anger increased at every step; and instead of the proper and lofty speech he had prepared as a prelude to his challenge, he found nothing at the tip of his tongue but a gross personality, which he accompanied with a furious gesture. | Or, comme au moment où d’Artagnan fixait son regard sur le gentilhomme au pourpoint violet, le gentilhomme faisait à l’endroit du bidet béarnais une de ses plus savantes et de ses plus profondes démonstrations, ses deux auditeurs éclatèrent de rire, et lui-même laissa visiblement, contre son habitude, errer, si l’on peut parler ainsi, un pâle sourire sur son visage. Cette fois, il n’y avait plus de doute : d’Artagnan était réellement insulté. Aussi, plein de cette conviction, enfonça-t-il son béret sur ses yeux, et, tâchant de copier quelques-uns des airs de cour qu’il avait surpris en Gascogne chez des seigneurs en voyage, il s’avança une main sur la garde de son épée et l’autre appuyée sur la hanche. Malheureusement, au fur et à mesure qu’il avançait, la colère l’aveuglait de plus en plus, et au lieu du discours digne et hautain qu’il avait préparé pour formuler sa provocation, il ne trouva plus au bout de sa langue qu’une personnalité grossière qu’il accompagna d’un geste furieux. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
But there, as he was alighting from his horse at the gate of the Jolly Miller, without anyone--host, waiter, or hostler--coming to hold his stirrup or take his horse, d'Artagnan spied, though an open window on the ground floor, a gentleman, well-made and of good carriage, although of rather a stern countenance, talking with two persons who appeared to listen to him with respect. d'Artagnan fancied quite naturally, according to his custom, that he must be the object of their conversation, and listened. This time d'Artagnan was only in part mistaken; he himself was not in question, but his horse was. The gentleman appeared to be enumerating all his qualities to his auditors; and, as I have said, the auditors seeming to have great deference for the narrator, they every moment burst into fits of laughter. Now, as a half-smile was sufficient to awaken the irascibility of the young man, the effect produced upon him by this vociferous mirth may be easily imagined. | Mais là, comme il descendait de cheval à la porte du Franc-Meunier sans que personne, hôte, garçon ou palefrenier, fût venu lui tenir l’étrier, d’Artagnan avisa à une fenêtre entrouverte du rez-de-chaussée un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage légèrement renfrogné, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l’écouter avec déférence. D’Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, être l’objet de la conversation et tendit l’oreille. Cette fois d’Artagnan ne s’était trompé qu’à moitié : ce n’était pas de lui qu’il était question, mais de son cheval. Le gentilhomme paraissait énumérer à ses auditeurs toutes les qualités de l’animal, et comme, ainsi que je l’ai dit, les auditeurs paraissaient avoir une grande déférence pour le narrateur, ils éclataient de rire à tout moment. Or, comme un demi-sourire suffisait pour éveiller l’irascibilité du jeune homme, on comprend quel effet produisit sur lui tant de bruyante hilarité. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
The doctor changed countenance a little, but next moment he was master of himself. | Le docteur changea un peu de visage, mais un instant lui suffit pour se dominer. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
As they rode along, the duke endeavored to draw from d'Artagnan, not all that had happened, but what d'Artagnan himself knew. By adding all that he heard from the mouth of the young man to his own remembrances, he was enabled to form a pretty exact idea of a position of the seriousness of which, for the rest, the queen's letter, short but explicit, gave him the clue. But that which astonished him most was that the cardinal, so deeply interested in preventing this young man from setting his foot in England, had not succeeded in arresting him on the road. It was then, upon the manifestation of this astonishment, that d'Artagnan related to him the precaution taken, and how, thanks to the devotion of his three friends, whom he had left scattered and bleeding on the road, he had succeeded in coming off with a single sword thrust, which had pierced the queen's letter and for which he had repaid M. de Wardes with such terrible coin. While he was listening to this recital, delivered with the greatest simplicity, the duke looked from time to time at the young man with astonishment, as if he could not comprehend how so much prudence, courage, and devotedness could be allied with a countenance which indicated not more than twenty years. | Tout le long de la route, le duc se fit mettre au courant par d’Artagnan non pas de tout ce qui s’était passé, mais de ce que d’Artagnan savait. En rapprochant ce qu’il entendait sortir de la bouche du jeune homme de ses souvenirs à lui, il put donc se faire une idée assez exacte d’une position de la gravité de laquelle, au reste, la lettre de la reine, si courte et si explicite qu’elle fût, lui donnait la mesure. Mais ce qui l’étonnait surtout, c’est que le cardinal, intéressé comme il l’était à ce que le jeune homme ne mît pas le pied en Angleterre, ne fût point parvenu à l’arrêter en route. Ce fut alors, et sur la manifestation de cet étonnement, que d’Artagnan lui raconta les précautions prises, et comment, grâce au dévoûment de ses trois amis, qu’il avait éparpillés tout sanglants sur la route, il était arrivé à en être quitte pour le coup d’épée qui avait traversé le billet de la reine, et qu’il avait rendu à M. de Wardes en si terrible monnaie. Tout en écoutant ce récit, fait avec la plus grande simplicité, le duc regardait de temps en temps le jeune homme d’un air étonné, comme s’il n’eût pas compris que tant de prudence, de courage et de dévoûment, pût s’allier avec un visage qui n’indiquait pas encore vingt ans. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
I tried to put on a smiling countenance, and I went to call on Prudence. The maid announced me, and I had to wait a few minutes in the drawing-room. At last Mme. Duvernoy appeared and asked me into her boudoir; as I seated myself I heard the drawing-room door open, a light footstep made the floor creak and the front door was closed violently. | J'essayai de me faire un visage souriant, et je me rendis chez Prudence. La femme de chambre alla m'annoncer et me fit attendre quelques instants dans le salon. Madame Duvernoy parut enfin, et m'introduisit dans son boudoir; au moment où je m'y asseyais, j'entendis ouvrir la porte du salon, et un pas léger fit crier le parquet, puis la porte du carré fut fermée violemment. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
One day, at about four o'clock, as evening was drawing in, Farmer Goussot, with his four sons, returned from a day's shooting. They were stalwart men, all five of them, long of limb, broad-chested, with faces tanned by sun and wind. And all five displayed, planted on an enormous neck and shoulders, the same small head with the low forehead, thin lips, beaked nose and hard and repellent cast of countenance. They were feared and disliked by all around them. They were a money-grubbing, crafty family; and their word was not to be trusted. | Ce jour-là, vers quatre heures, comme le soir approchait, maître Goussot s’en revint de la chasse avec ses quatre fils. C’étaient de rudes hommes, tous les cinq, haut sur jambes, le torse puissant, le visage tanné par le soleil et par le grand air. Et tous les cinq exhibaient, plantée sur une encolure énorme, la même petite tête au front bas, aux lèvres minces, au nez recourbé comme un bec d’oiseau, à l’expression dure et peu sympathique. On les craignait, autour d’eux. Ils étaient âpres au gain, retors, et d’assez mauvaise foi. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Withdraw, young man," cried Jussac, who doubtless, by his gestures and the expression of his countenance, had guessed d'Artagnan's design. "You may retire; we consent to that. Save your skin; begone quickly." | — Écartez-vous, jeune homme, cria Jussac, qui sans doute à ses gestes et à l’expression de son visage avait deviné le dessein de d’Artagnan. Vous pouvez vous retirer, nous y consentons. Sauvez votre peau ; allez vite. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
I met almost all the people I knew, all happy, all absorbed in their pleasures. How many happy people don’t even know that they are happy! Olympe passed me in an elegant carriage that M. de N. has given her. She tried to insult me by her look. She little knows how far I am from such things now. A nice fellow, whom I have known for a long time, asked me if I would have supper with him and one of his friends, who, he said, was very anxious to make my acquaintance. I smiled sadly and gave him my hand, burning with fever. I never saw such an astonished countenance. | «J'ai rencontré presque tous les gens que je connais, toujours gais, toujours occupés de leurs plaisirs. Que d'heureux qui ne savent pas qu'ils le sont! Olympe est passée dans une élégante voiture que lui a donnée M. de N... elle a essayé de m'insulter du regard. Elle ne sait pas combien je suis loin de toutes ces vanités-là. Un brave garçon que je connais depuis longtemps m'a demandé si je voulais aller souper avec lui et un de ses amis qui désire beaucoup, disait-il, faire ma connaissance. «J'ai souri tristement, et lui ai tendu ma main brûlante de fièvre. «Je n'ai jamais vu visage plus étonné. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
As to the rest, the life of the four young friends was joyous enough. Athos played, and that as a rule unfortunately. Nevertheless, he never borrowed a sou of his companions, although his purse was ever at their service; and when he had played upon honor, he always awakened his creditor by six o'clock the next morning to pay the debt of the preceding evening. Porthos had his fits. On the days when he won he was insolent and ostentatious; if he lost, he disappeared completely for several days, after which he reappeared with a pale face and thinner person, but with money in his purse. As to Aramis, he never played. He was the worst Musketeer and the most unconvivial companion imaginable. He had always something or other to do. Sometimes in the midst of dinner, when everyone, under the attraction of wine and in the warmth of conversation, believed they had two or three hours longer to enjoy themselves at table, Aramis looked at his watch, arose with a bland smile, and took leave of the company, to go, as he said, to consult a casuist with whom he had an appointment. At other times he would return home to write a treatise, and requested his friends not to disturb him. At this Athos would smile, with his charming, melancholy smile, which so became his noble countenance, and Porthos would drink, swearing that Aramis would never be anything but a village CURE. | Au reste, la vie des quatre jeunes gens était joyeuse : Athos jouait et toujours malheureusement. Cependant il n’empruntait jamais un sou à ses amis, quoique sa bourse fût sans cesse à leur service ; et lorsqu’il avait joué sur parole, il faisait toujours réveiller son créancier à six heures du matin pour lui payer sa dette de la veille. — Porthos avait des fougues : ces jours-là, on le voyait insolent et splendide ; s’il perdait, il disparaissait complètement pendant quelques jours, après lesquels il reparaissait le visage blême et la mine allongée, mais avec de l’argent dans ses poches. Quant à Aramis, il ne jouait jamais. C’était bien le plus mauvais mousquetaire et le plus méchant convive qui se pût voir. Il avait toujours besoin de travailler. Quelquefois, au milieu d’un dîner, quand chacun, dans l’entraînement du vin et dans la chaleur de la conversation, croyait que l’on en avait encore pour deux ou trois heures à rester à table, Aramis regardait à sa montre, se levait avec un gracieux sourire et prenait congé de la société pour aller, disait-il, consulter un casuiste avec lequel il avait rendez-vous ; d’autres fois, il retournait à son logis pour écrire une thèse, et priait ses amis de ne pas le distraire. Cependant Athos souriait de ce charmant sourire mélancolique, si bien séant à sa noble figure, et Porthos buvait en jurant qu’Aramis ne serait jamais qu’un curé de village. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
The Duc de Sarzeau-Vendôme was shaken with a fit of nervous trembling. The awful truth to which he refused to open his eyes appeared to him in its nakedness and assumed the hateful countenance of the enemy. He clutched his nephew's hands and said to him, fiercely, despairingly: | Un tremblement nerveux agitait le duc de Sarzeau-Vendôme. L’épouvantable vérité à laquelle il refusait d’ouvrir les yeux, lui apparaissait tout entière, et prenait le visage odieux de l’ennemi. Il agrippa les mains de son interlocuteur et lui dit âprement, désespérément : |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
D'Artagnan had been there scarcely five minutes when M. de Treville entered. At the first glance, and by the joy which was painted on his countenance, the worthy captain plainly perceived that something new was on foot. | D’Artagnan était là depuis cinq minutes à peine, lorsque M. de Tréville entra. Au premier coup d’œil et à la joie qui se peignait sur le visage du jeune homme, le digne capitaine comprit qu’il se passait effectivement quelque chose de nouveau. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
I looked at the broad plumed hat, the curling love-locks, the white lace collar, and the straight, severe face which was framed between them. It was not a brutal countenance, but it was prim, hard, and stern, with a firm-set, thin-lipped mouth, and a coldly intolerant eye. | J’examinai ce visage long et sévère, encadré par un grand chapeau à plumes, une abondante chevelure bouclée et une collerette de dentelles blanches. La physionomie, point bestiale, avait toutefois un air faux et mauvais, avec sa bouche en coup de sabre, ourlée de lèvres minces, et ses yeux insupportablement fixes. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |