Translations for either in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
Illnesses like Armand’s have one fortunate thing about them: they either kill outright or are very soon overcome. A fortnight after the events which I have just related Armand was convalescent, and we had already become great friends. During the whole course of his illness I had hardly left his side. | Les maladies comme celle dont Armand avait été atteint ont cela d'agréable qu'elles tuent sur le coup ou se laissent vaincre très vite. Quinze jours après les événements que je viens de raconter, Armand était en pleine convalescence, et nous étions liés d'une étroite amitié. À peine si j'avais quitté sa chambre tout le temps qu'avait duré sa maladie. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
These unfortunate creatures whenever they go out are always accompanied by somebody or other. As no man cares to make himself conspicuous by being seen in their company, and as they are afraid of solitude, they take with them either those who are not well enough off to have a carriage, or one or another of those elegant, ancient ladies, whose elegance is a little inexplicable, and to whom one can always go for information in regard to the women whom they accompany. | Ces malheureuses créatures sont toujours, quand elles sortent, accompagnées on ne sait de qui. Comme aucun homme ne consent à afficher publiquement l'amour nocturne qu'il a pour elles, comme elles ont horreur de la solitude, elles emmènent ou celles qui, moins heureuses, n'ont pas de voiture, ou quelques-unes de ces vieilles élégantes dont rien ne motive l'élégance, et à qui l'on peut s'adresser sans crainte, quand on veut avoir quelques détails que ce soient sur la femme qu'elles accompagnent. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"Nor me either," said Athos. | — Ni à moi non plus, dit Athos. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
It appears they were at their wits' end what to do, the stores being so low that we must have been starved into surrender long before help came. But our best hope, it was decided, was to kill off the buccaneers until they either hauled down their flag or ran away with the Hispaniola. From nineteen they were already reduced to fifteen, two others were wounded, and one, at least—the man shot beside the gun—severely wounded, if he were not dead. Every time we had a crack at them, we were to take it, saving our own lives, with the extremest care. And, beside that, we had two able allies—rum and the climate. | Ils se trouvaient, paraît-il, fort en peine, car les provisions étaient si basses que la famine devait nous obliger à capituler bien avant l’arrivée des secours. Notre meilleur espoir, conclurent-ils, était de tuer un nombre de flibustiers assez grand pour les décider, soit à baisser pavillon, soit à s’enfuir avec l’ Hispaniola . De dix-neuf au début, ils étaient déjà réduits à quinze ; ils avaient de plus deux blessés, dont l’un au moins — l’homme atteint à côté du canon — l’était grièvement, si même il vivait encore. Chaque fois qu’une occasion se présenterait de faire feu sur eux, il fallait la saisir, tout en ménageant nos vies avec tout le soin possible. En outre, nous avions deux puissants alliés : le rhum et le climat. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
It appears they were at their wits' end what to do, the stores being so low that we must have been starved into surrender long before help came. But our best hope, it was decided, was to kill off the buccaneers until they either hauled down their flag or ran away with the Hispaniola. From nineteen they were already reduced to fifteen, two others were wounded, and one, at least—the man shot beside the gun—severely wounded, if he were not dead. Every time we had a crack at them, we were to take it, saving our own lives, with the extremest care. And, beside that, we had two able allies—rum and the climate. | Ils se trouvaient, paraît-il, fort en peine, car les provisions étaient si basses que la famine devait nous obliger à capituler bien avant l’arrivée des secours. Notre meilleur espoir, conclurent-ils, était de tuer un nombre de flibustiers assez grand pour les décider, soit à baisser pavillon, soit à s’enfuir avec l’ Hispaniola . De dix-neuf au début, ils étaient déjà réduits à quinze ; ils avaient de plus deux blessés, dont l’un au moins — l’homme atteint à côté du canon — l’était grièvement, si même il vivait encore. Chaque fois qu’une occasion se présenterait de faire feu sur eux, il fallait la saisir, tout en ménageant nos vies avec tout le soin possible. En outre, nous avions deux puissants alliés : le rhum et le climat. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
This, then, was my position when I made the acquaintance of Marguerite. You can well understand that, in spite of myself, my expenses soon increased. Marguerite’s nature was very capricious, and, like so many women, she never regarded as a serious expense those thousand and one distractions which made up her life. So, wishing to spend as much time with me as possible, she would write to me in the morning that she would dine with me, not at home, but at some restaurant in Paris or in the country. I would call for her, and we would dine and go on to the theatre, often having supper as well; and by the end of the evening I had spent four or five louis, which came to two or three thousand francs a month, which reduced my year to three months and a half, and made it necessary for me either to go into debt or to leave Marguerite. I would have consented to anything except the latter. | Voilà où j'en étais quand je fis la connaissance de Marguerite. Vous comprenez que, malgré moi, mon train de vie augmenta. Marguerite était d'une nature fort capricieuse, et faisait partie de ces femmes qui n'ont jamais regardé comme une dépense sérieuse les mille distractions dont leur existence se compose. Il en résultait que, voulant passer avec moi le plus de temps possible, elle m'écrivait le matin qu'elle dînerait avec moi, non pas chez elle, mais chez quelque restaurateur, soit de Paris, soit de la campagne. J'allais la prendre, nous dînions, nous allions au spectacle, nous soupions souvent, et j'avais dépensé le soir quatre ou cinq louis, ce qui faisait deux mille cinq cents ou trois mille francs par mois, ce qui réduisait mon année à trois mois et demi, et me mettait dans la nécessité ou de faire des dettes, ou de quitter Marguerite. Or, j'acceptais tout, excepté cette dernière éventualité. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
This, then, was my position when I made the acquaintance of Marguerite. You can well understand that, in spite of myself, my expenses soon increased. Marguerite’s nature was very capricious, and, like so many women, she never regarded as a serious expense those thousand and one distractions which made up her life. So, wishing to spend as much time with me as possible, she would write to me in the morning that she would dine with me, not at home, but at some restaurant in Paris or in the country. I would call for her, and we would dine and go on to the theatre, often having supper as well; and by the end of the evening I had spent four or five louis, which came to two or three thousand francs a month, which reduced my year to three months and a half, and made it necessary for me either to go into debt or to leave Marguerite. I would have consented to anything except the latter. | Voilà où j'en étais quand je fis la connaissance de Marguerite. Vous comprenez que, malgré moi, mon train de vie augmenta. Marguerite était d'une nature fort capricieuse, et faisait partie de ces femmes qui n'ont jamais regardé comme une dépense sérieuse les mille distractions dont leur existence se compose. Il en résultait que, voulant passer avec moi le plus de temps possible, elle m'écrivait le matin qu'elle dînerait avec moi, non pas chez elle, mais chez quelque restaurateur, soit de Paris, soit de la campagne. J'allais la prendre, nous dînions, nous allions au spectacle, nous soupions souvent, et j'avais dépensé le soir quatre ou cinq louis, ce qui faisait deux mille cinq cents ou trois mille francs par mois, ce qui réduisait mon année à trois mois et demi, et me mettait dans la nécessité ou de faire des dettes, ou de quitter Marguerite. Or, j'acceptais tout, excepté cette dernière éventualité. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
It was my first thought to pluck forth the dirk; but either it stuck too hard or my nerve failed me, and desisted with a violent shudder. Oddly enough, that very shudder did the business. The knife, in fact, had come the nearest in the world to missing me altogether; it held me by a mere pinch of skin, and this the shudder tore away. The blood ran down the faster, to be sure, but I was my own master again, and only tacked to the mast by my coat and shirt. | Ma première pensée fut d’arracher le poignard ; mais, soit qu’il tînt trop fort, soit que le cœur me faillît, j’y renonçai avec un violent frisson. Chose bizarre, ce frisson même opéra ma délivrance. Il s’en était fallu d’un rien, en effet, que la lame me manquât tout à fait : elle me retenait par une simple languette de peau, que ce frisson déchira. Le sang coula plus rapidement, il est vrai, mais j’étais redevenu mon maître, et ne tenais plus au mât que par ma vareuse et ma chemise. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
It was my first thought to pluck forth the dirk; but either it stuck too hard or my nerve failed me, and desisted with a violent shudder. Oddly enough, that very shudder did the business. The knife, in fact, had come the nearest in the world to missing me altogether; it held me by a mere pinch of skin, and this the shudder tore away. The blood ran down the faster, to be sure, but I was my own master again, and only tacked to the mast by my coat and shirt. | Ma première pensée fut d’arracher le poignard ; mais, soit qu’il tînt trop fort, soit que le cœur me faillît, j’y renonçai avec un violent frisson. Chose bizarre, ce frisson même opéra ma délivrance. Il s’en était fallu d’un rien, en effet, que la lame me manquât tout à fait : elle me retenait par une simple languette de peau, que ce frisson déchira. Le sang coula plus rapidement, il est vrai, mais j’étais redevenu mon maître, et ne tenais plus au mât que par ma vareuse et ma chemise. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
As I have told you, I had little money. My father was, and still is, receveur general at C. He has a great reputation there for loyalty, thanks to which he was able to find the security which he needed in order to attain this position. It is worth forty thousand francs a year, and during the ten years that he has had it, he has paid off the security and put aside a dowry for my sister. My father is the most honourable man in the world. When my mother died, she left six thousand francs a year, which he divided between my sister and myself on the very day when he received his appointment; then, when I was twenty-one, he added to this little income an annual allowance of five thousand francs, assuring me that with eight thousand francs a year I might live very happily at Paris, if, in addition to this, I would make a position for myself either in law or medicine. I came to Paris, studied law, was called to the bar, and, like many other young men, put my diploma in my pocket, and let myself drift, as one so easily does in Paris. My expenses were very moderate; only I used up my year’s income in eight months, and spent the four summer months with my father, which practically gave me twelve thousand francs a year, and, in addition, the reputation of a good son. For the rest, not a penny of debt. | Comme je vous l'ai dit, je n'avais pas de fortune. Mon père était et est encore receveur général à G... Il a une grande réputation de loyauté, grâce à laquelle il a trouvé le cautionnement qu'il lui fallait déposer pour entrer en fonction. Cette recette lui donne quarante mille francs par an, et depuis dix ans qu'il l'a, il a remboursé son cautionnement et s'est occupé de mettre de côté la dot de ma sœur. Mon père est l'homme le plus honorable qu'on puisse rencontrer. Ma mère, en mourant, a laissé six mille francs de rente qu'il a partagés entre ma sœur et moi le jour où il a obtenu la charge qu'il sollicitait; puis, lorsque j'ai eu vingt et un ans, il a joint à ce petit revenu une pension annuelle de cinq mille francs, m'assurant qu'avec huit mille francs je pourrais être très heureux à Paris, si je voulais à côté de cette rente me créer une position, soit dans le barreau, soit dans la médecine. Je suis donc venu à Paris, j'ai fait mon droit, j'ai été reçu avocat, et, comme beaucoup de jeunes gens, j'ai mis mon diplôme dans ma poche et me suis laissé aller un peu à la vie nonchalante de Paris. Mes dépenses étaient fort modestes; seulement je dépensais en huit mois mon revenu de l'année, et je passais les quatre mois d'été chez mon père, ce qui me faisait en somme douze mille livres de rente et me donnait la réputation d'un bon fils. Du reste pas un sou de dettes. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
As I have told you, I had little money. My father was, and still is, receveur general at C. He has a great reputation there for loyalty, thanks to which he was able to find the security which he needed in order to attain this position. It is worth forty thousand francs a year, and during the ten years that he has had it, he has paid off the security and put aside a dowry for my sister. My father is the most honourable man in the world. When my mother died, she left six thousand francs a year, which he divided between my sister and myself on the very day when he received his appointment; then, when I was twenty-one, he added to this little income an annual allowance of five thousand francs, assuring me that with eight thousand francs a year I might live very happily at Paris, if, in addition to this, I would make a position for myself either in law or medicine. I came to Paris, studied law, was called to the bar, and, like many other young men, put my diploma in my pocket, and let myself drift, as one so easily does in Paris. My expenses were very moderate; only I used up my year’s income in eight months, and spent the four summer months with my father, which practically gave me twelve thousand francs a year, and, in addition, the reputation of a good son. For the rest, not a penny of debt. | Comme je vous l'ai dit, je n'avais pas de fortune. Mon père était et est encore receveur général à G... Il a une grande réputation de loyauté, grâce à laquelle il a trouvé le cautionnement qu'il lui fallait déposer pour entrer en fonction. Cette recette lui donne quarante mille francs par an, et depuis dix ans qu'il l'a, il a remboursé son cautionnement et s'est occupé de mettre de côté la dot de ma sœur. Mon père est l'homme le plus honorable qu'on puisse rencontrer. Ma mère, en mourant, a laissé six mille francs de rente qu'il a partagés entre ma sœur et moi le jour où il a obtenu la charge qu'il sollicitait; puis, lorsque j'ai eu vingt et un ans, il a joint à ce petit revenu une pension annuelle de cinq mille francs, m'assurant qu'avec huit mille francs je pourrais être très heureux à Paris, si je voulais à côté de cette rente me créer une position, soit dans le barreau, soit dans la médecine. Je suis donc venu à Paris, j'ai fait mon droit, j'ai été reçu avocat, et, comme beaucoup de jeunes gens, j'ai mis mon diplôme dans ma poche et me suis laissé aller un peu à la vie nonchalante de Paris. Mes dépenses étaient fort modestes; seulement je dépensais en huit mois mon revenu de l'année, et je passais les quatre mois d'été chez mon père, ce qui me faisait en somme douze mille livres de rente et me donnait la réputation d'un bon fils. Du reste pas un sou de dettes. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"My dear madam," said, I "I am an old campaigner, and if I were not, I can very well see that no apology is needed. If I can be of any assistance, either to you or to my friend here, I shall be indeed happy." | — Chère madame, lui dis-je, je suis un vieux troupier, et du reste ne le serais-je pas, vous n’auriez pas à vous excuser davantage. Si je puis rendre service, soit à vous, soit à mon ami, j’en serai trop heureux. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
“It is probable, therefore, that I have not been seen either, especially as the trees hide us?” | — Il est donc probable qu’on ne m’a pas vu non plus, d’autant que ces arbres nous cachent. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“None here, either. We have just left M. Darcieux. He has had an excellent day and he ate his dinner with a good appetite. As for Jeanne, you can see for yourself, she has all her pretty colour back again.” | — Ici non plus. Nous venons de quitter M. Darcieux. Il mangeait de bon appétit, après une excellente journée. Quant à Jeanne, vous voyez, elle a déjà retrouvé ses belles couleurs. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“I dare say not. I always thought him sane enough until to-day, but you can take it from me that either he or I ought to be in a strait-jacket. What’s the matter with me, anyhow? You’ve lived near me for some weeks, Watson. Tell me straight, now! Is there anything that would prevent me from making a good husband to a woman that I loved?” | « — Moi non plus. Jusqu’à ce jour, je le jugeais sain d’esprit… Mais, à cette heure, je vous affirme que l’un de nous deux mérite une camisole de force. À propos de quoi en a-t-il après moi ?… Voilà déjà plusieurs semaines, Watson, que nous vivons côte à côte… Parlez-moi franchement… Y a-t-il un empêchement à ce que je sois un bon mari pour une femme que j’aimerais ? |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |