Translations for fast in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
With all this in our minds, we waded ashore as fast as we could, leaving behind us the poor jolly-boat, and a good half of all our powder and provisions. | Avec toutes ces préoccupations, nous gagnâmes le rivage à gué aussi vite que possible, laissant derrière nous l’infortuné petit canot et une bonne moitié de notre poudre et de nos provisions. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
Wounded as he was, it was wonderful how fast he could move, his grizzled hair tumbling over his face and his face itself as red as a red ensign with his haste and fury. I had no time to try my other pistol, nor, indeed, much inclination, for I was sure it would be useless. One thing I saw plainly: I must not simply retreat before him, or he would speedily hold me boxed into the bows, as a moment since he had so nearly boxed me in the stern. Once so caught, and nine or ten inches of the blood-stained dirk would be my last experience on this side of eternity. I placed my palms against the mainmast, which was of a goodish bigness, and waited, every nerve upon the stretch. | Malgré sa blessure, c’était merveille comme il allait vite, avec ses cheveux grisonnants lui voltigeant sur la figure, et son visage lui-même aussi rouge de précipitation, et de furie, que le rouge d’un pavillon. Je n’avais pas le temps d’essayer mon autre pistolet, et guère l’envie non plus, car j’étais sûr que ce serait en vain. Je voyais clairement une chose : il ne me fallait pas simplement reculer devant mon adversaire, car il m’aurait bientôt acculé contre l’avant, comme il venait, un instant plus tôt, de m’acculer presque à la poupe. Une fois pris ainsi, neuf ou dix pouces du poignard teinté de sang mettraient fin à mes aventures de ce côté-ci de l’éternité. J’appliquai mes paumes contre le grand mât, qui était de bonne grosseur, et attendis, tous les nerfs en suspens. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
“I, the undersigned, Arsène Lupin, gentleman-burglar, ex-colonel, ex-man-of-all-work, ex-corpse, hereby certify that the person of the name of Ganimard gave proof of the most remarkable qualities during his stay in this house. He was exemplary in his behaviour, thoroughly devoted and attentive; and, unaided by the least clue, he foiled a part of my plans and saved the insurance-companies four hundred and fifty thousand francs. I congratulate him; and I am quite willing to overlook his blunder in not anticipating that the downstairs telephone communicates with the telephone in Sonia Kritchnoff's bedroom and that, when telephoning to Mr. Chief-detective, he was at the same time telephoning to me to clear out as fast as I could. It was a pardonable slip, which must not be allowed to dim the glamour of his services nor to detract from the merits of his victory. “Having said this, I beg him to accept the homage of my admiration and of my sincere friendship. “ARSÈNE LUPIN” | « Je soussigné, Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur, ex-colonel, ex-larbin, ex-cadavre, certifie que le nommé Ganimard a fait preuve, durant son séjour en cet hôtel, des qualités les plus remarquables. D’une conduite exemplaire, dévoué, attentif, il a, sans le secours d’aucun indice, déjoué une partie de mes plans et sauvé quatre cent cinquante mille francs aux Compagnies d’assurances. Je l’en félicite et l’excuse bien volontiers de n’avoir pas prévu que le téléphone d’en bas communique avec le téléphone installé dans la chambre de Sonia Krichnoff et que, en téléphonant à M. le chef de la Sûreté, il me téléphonait en même temps d’avoir à déguerpir au plus vite. Faute vénielle, qui ne saurait obscurcir l’éclat de ses services ni diminuer le mérite de sa victoire. « En suite de quoi, je lui demande de bien vouloir accepter l’hommage de mon admiration et de ma vive sympathie. » Arsène Lupin |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"My cabby drove fast. I don't think I ever drove faster, but the others were there before us. The cab and the landau with their steaming horses were in front of the door when I arrived. I paid the man and hurried into the church. There was not a soul there save the two whom I had followed and a surpliced clergyman, who seemed to be expostulating with them. They were all three standing in a knot in front of the altar. I lounged up the side aisle like any other idler who has dropped into a church. Suddenly, to my surprise, the three at the altar faced round to me, and Godfrey Norton came running as hard as he could towards me." | « Mon cocher marcha très vite. Je ne crois pas avoir jamais brûlé le pavé de cette manière, et cependant les autres étaient déjà arrivés lorsque je parvins à l’église. Le fiacre et le landau avec des chevaux ruisselants de sueur étaient arrêtés devant la porte. Je payai mon cocher et je me hâtai d’entrer dans le temple. Il était désert à l’exception de deux personnes que j’y avais suivies et d’un pasteur qui semblait discuter avec elles. Ils formaient tous trois un groupe devant l’autel. Je montais en badaud l’un des bas côtés du temple lorsque, à ma grande surprise, les trois personnages qui se trouvaient dans le sanctuaire se tournèrent de mon côté et Godfrey Norton vint à moi en courant. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
The duke walked so fast that d'Artagnan had some trouble in keeping up with him. He passed through several apartments, of an elegance of which even the greatest nobles of France had not even an idea, and arrived at length in a bedchamber which was at once a miracle of taste and of richness. In the alcove of this chamber was a door concealed in the tapestry which the duke opened with a little gold key which he wore suspended from his neck by a chain of the same metal. With discretion d'Artagnan remained behind; but at the moment when Buckingham crossed the threshold, he turned round, and seeing the hesitation of the young man, "Come in!" cried he, "and if you have the good fortune to be admitted to her Majesty's presence, tell her what you have seen." | Le duc marchait si rapidement, que d’Artagnan avait peine à le suivre. Il traversa successivement plusieurs salons d’une élégance dont les plus grands seigneurs de France n’avaient pas même l’idée, et il parvint enfin dans une chambre à coucher qui était à la fois un miracle de goût et de richesse. Dans l’alcôve de cette chambre était une porte, prise dans la tapisserie, que le duc ouvrit avec une petite clé d’or qu’il portait suspendue à son cou par une chaîne du même métal. Par discrétion, d’Artagnan était resté en arrière ; mais au moment où Buckingham franchissait le seuil de cette porte, il se retourna, et voyant l’hésitation du jeune homme : — Venez, lui dit-il, et si vous avez le bonheur d’être admis en la présence de Sa Majesté, dites-lui ce que vous avez vu. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
And suddenly there came something to remind me of my absent companions. In the clear, still morning air there sounded far away the sharp, hard note of a single rifle-shot. I paused and listened, but there was nothing more. For a moment I was shocked at the thought that some sudden danger might have befallen them. But then a simpler and more natural explanation came to my mind. It was now broad daylight. No doubt my absence had been noticed. They had imagined, that I was lost in the woods, and had fired this shot to guide me home. It is true that we had made a strict resolution against firing, but if it seemed to them that I might be in danger they would not hesitate. It was for me now to hurry on as fast as possible, and so to reassure them. | Le bruit sec d’un coup de feu lointain retentit à l’improviste dans l’air calme. Je m’arrêtai, j’écoutai : il ne fut suivi d’aucun autre. Un instant, je me demandai avec angoisse si quelque brusque danger ne venait pas de fondre sur mes compagnons. Mais je m’avisai d’une explication plus simple et plus naturelle : il faisait maintenant grand jour ; nul doute qu’on n’eût remarqué mon absence ; on me croyait probablement égaré dans les bois, et le coup de feu n’avait pour but que de me rendre ma direction. Il est vrai que nous avions fermement résolu d’éviter les coups de feu ; mais toute considération avait fléchi devant celle du péril où je pouvais être. J’avais donc à me presser pour dissiper le plus tôt possible l’inquiétude que j’avais fait naître. |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |
I was weary and spent, so my progress was not so fast as I wished; but at last I came into regions which I knew. There was the swamp of the pterodactyls upon my left; there in front of me was the glade of the iguanodons. Now I was in the last belt of trees which separated me from Fort Challenger. I raised my voice in a cheery shout to allay their fears. No answering greeting came back to me. My heart sank at that ominous stillness. I quickened my pace into a run. The zareba rose before me, even as I had left it, but the gate was open. I rushed in. In the cold, morning light it was a fearful sight which met my eyes. Our effects were scattered in wild confusion over the ground; my comrades had disappeared, and close to the smouldering ashes of our fire the grass was stained crimson with a hideous pool of blood. | Rompu de fatigue, j’allais moins vite que je ne l’aurais voulu : à la fin, pourtant, j’arrivai dans une région que je connaissais. J’avais à ma gauche le marais des ptérodactyles ; en face de moi, la clairière des iguanodons. En franchissant le dernier rideau d’arbres qui me séparait de « Fort Challenger », je poussai des cris joyeux pour prévenir mes compagnons et pour les rassurer. Je n’en reçus pas de réponse. De silence me glaça. Je me mis à courir. La « zériba » m’apparut telle que je l’avais laissée ; mais la porte en était ouverte. Je m’élançai. La froide lumière du matin éclairait un affreux spectacle : tous nos bagages s’éparpillaient en désordre sur le sol : il n’y avait personne au camp ; près des cendres encore vives de notre foyer, une large flaque de sang rougissait l’herbe. |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |
"I do not think it could have made off so fast among the branches if it could not get a grip with its feet." | — Je doute qu’il eût dégringolé si vite entre les branches s’il n’avait pas eu de prise avec les pieds. |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |