Translations for here in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
“Now, you must go back to your seat. The count will be coming back, and there is nothing to be gained by his finding you here.” —Maintenant, vous allez retourner à votre stalle; le comte va rentrer, et il est inutile qu'il vous trouve ici.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
D'Artagnan owned nothing. Provincial diffidence, that slight varnish, the ephemeral flower, that down of the peach, had evaporated to the winds through the little orthodox counsels which the three Musketeers gave their friend. D'Artagnan, following the strange custom of the times, considered himself at Paris as on a campaign, neither more nor less than if he had been in Flanders--Spain yonder, woman here. In each there was an enemy to contend with, and contributions to be levied. D’Artagnan ne possédait rien ; l’hésitation du provincial, vernis léger, fleur éphémère, duvet de la pêche, s’était évaporée au vent des conseils peu orthodoxes que les trois mousquetaires donnaient à leur ami. D’Artagnan, suivant l’étrange coutume du temps, se regardait à Paris comme en campagne, et cela ni plus ni moins que dans les Flandres : l’Espagnol là-bas, la femme ici. — C’était partout un ennemi-né à combattre, des contributions à frapper.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“Do you think it amuses me to wait here till M. de G. leaves Marguerite’s?” —Croyez-vous que je trouve drôle d'attendre ici que M. de G... sorte de chez Marguerite?
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Well, it is true!" said Anne of Austria; "and the spies of the cardinal have served him faithfully. I have written a letter today; that letter is not yet gone. The letter is here." And the queen laid her beautiful hand on her bosom. — Eh bien, c’est vrai, dit Anne d’Autriche, et les espions de M. le cardinal l’ont bien servi ; j’ai écrit aujourd’hui une lettre ; cette lettre n’est point partie ; elle est ici. Et la reine ramena sa belle main à son corsage.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“In the first place,” replied Prudence; “is he still her lover? He is a man who is useful to her, nothing more. She has closed her doors to him for two days; he came this morning—she could not but accept the box and let him accompany her. He saw her home; he has gone in for a moment, he is not staying, because you are waiting here. All that, it seems to me, is quite natural. Besides, you don’t mind the duke.” —D'abord, reprit Prudence, est-il encore son amant? C'est un homme dont elle a besoin, voilà tout. Depuis deux jours, elle lui fait fermer sa porte; il est venu ce matin, elle n'a pas pu faire autrement que d'accepter sa loge et de le laisser l'accompagner. Il l'a reconduite, il monte un instant chez elle, il n'y reste pas, puisque vous attendez ici. Tout cela est bien naturel, il me semble. D'ailleurs vous acceptez bien le duc?
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Go in, if you like, but allow me to stay here.” —Rentrez, si bon vous semble, mais je vous demande la permission de rester ici.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Well, I am pretty sure he is not back yet, or he would have been here already.” —C'est que je suis bien sûr qu'il n'est pas encore de retour, sans quoi je l'aurais déjà vu ici.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Come in, gentlemen, come in," called d'Artagnan; "you are here in my apartment, and we are all faithful servants of the king and cardinal." — Entrez, messieurs, entrez, cria d’Artagnan ; vous êtes ici chez moi, et nous sommes tous de fidèles serviteurs du roi et de M. le cardinal.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“I mean that there are people who carry their pride even here. Now, this Demoiselle Gautier, it appears she lived a bit free, if you’ll excuse my saying so. Poor lady, she’s dead now; there’s no more of her left than of them that no one has a word to say against. We water them every day. Well, when the relatives of the folk that are buried beside her found out the sort of person she was, what do you think they said? That they would try to keep her out from here, and that there ought to be a piece of ground somewhere apart for these sort of women, like there is for the poor. Did you ever hear of such a thing? I gave it to them straight, I did: well-to-do folk who come to see their dead four times a year, and bring their flowers themselves, and what flowers! and look twice at the keep of them they pretend to cry over, and write on their tombstones all about the tears they haven’t shed, and come and make difficulties about their neighbours. You may believe me or not, sir, I never knew the young lady; I don’t know what she did. Well, I’m quite in love with the poor thing; I look after her well, and I let her have her camellias at an honest price. She is the dead body that I like the best. You see, sir, we are obliged to love the dead, for we are kept so busy, we have hardly time to love anything else.” —Je veux dire qu'il y a des gens qui sont fiers jusqu'ici. Ainsi, cette demoiselle Gautier, il paraît qu'elle a fait un peu la vie, passez-moi l'expression. Maintenant, la pauvre demoiselle, elle est morte; et il en reste autant que de celles dont on n'a rien à dire et que nous arrosons tous les jours; eh bien, quand les parents des personnes qui sont enterrées à côté d'elle ont appris qui elle était, ne se sont-ils pas imaginé de dire qu'ils s'opposeraient à ce qu'on la mît ici, et qu'il devait y avoir des terrains à part pour ces sortes de femmes comme pour les pauvres. A-t-on jamais vu cela? Je les ai joliment relevés, moi; des gros rentiers qui ne viennent pas quatre fois l'an visiter leurs défunts, qui apportent leurs fleurs eux-mêmes, et voyez quelles fleurs! Qui regardent à un entretien pour ceux qu'ils disent pleurer, qui écrivent sur leurs tombes des larmes qu'ils n'ont jamais versées, et qui viennent faire les difficiles pour le voisinage. Vous me croirez si vous voulez, monsieur, je ne connaissais pas cette demoiselle, je ne sais pas ce qu'elle a fait; eh bien, je l'aime, cette pauvre petite, et j'ai soin d'elle, et je lui passe les camélias au plus juste prix. C'est ma morte de prédilection. Nous autres, monsieur, nous sommes bien forcés d'aimer les morts, car nous sommes si occupés, que nous n'avons presque pas le temps d'aimer autre chose.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“They tell me there were people who ruined themselves over that girl, and lovers that worshipped her; well, when I think there isn’t one of them that so much as buys her a flower now, that’s queer, sir, and sad. And, after all, she isn’t so badly off, for she has her grave to herself, and if there is only one who remembers her, he makes up for the others. But we have other poor girls here, just like her and just her age, and they are just thrown into a pauper’s grave, and it breaks my heart when I hear their poor bodies drop into the earth. And not a soul thinks about them any more, once they are dead! ‘Tisn’t a merry trade, ours, especially when we have a little heart left. What do you expect? I can’t help it. I have a fine, strapping girl myself; she’s just twenty, and when a girl of that age comes here I think of her, and I don’t care if it’s a great lady or a vagabond, I can’t help feeling it a bit. But I am taking up your time, sir, with my tales, and it wasn’t to hear them you came here. I was told to show you Mlle. Gautier’s grave; here you have it. Is there anything else I can do for you?” —On dit qu'il y avait des gens qui se ruinaient pour cette fille-là, et qu'elle avait des amants qui l'adoraient; eh bien, quand je pense qu'il n'y en a pas un qui vienne lui acheter une fleur seulement, c'est cela qui est curieux et triste. Et encore, celle-ci n'a pas à se plaindre, car elle a sa tombe, et s'il n'y en a qu'un qui se souvienne d'elle, il fait les choses pour les autres. Mais nous avons ici de pauvres filles du même genre et du même âge qu'on jette dans la fosse commune, et cela me fend le cœur quand j'entends tomber leurs pauvres corps dans la terre. Et pas un être ne s'occupe d'elles, une fois qu'elles sont mortes! Ce n'est pas toujours gai, le métier que nous faisons, surtout tant qu'il nous reste un peu de cœur. Que voulez-vous? C'est plus fort que moi. J'ai une belle grande fille de vingt ans, et, quand on apporte ici une morte de son âge, je pense à elle, et, que ce soit une grande dame ou une vagabonde, je ne peux pas m'empêcher d'être ému. «Mais je vous ennuie sans doute avec mes histoires et ce n'est pas pour les écouter que vous voilà ici. On m'a dit de vous amener à la tombe de mademoiselle Gautier, vous y voilà; puis-je vous être bon encore à quelque chose?
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Well," says I, growing a bit bolder, 'if I'm to choose, I declare I have a right to know what's what, and why you're here, and where my friends are." — Eh bien, fis-je, quelque peu enhardi, si je dois choisir, je déclare que j’ai le droit de savoir ce qu’il en est, pourquoi vous êtes ici, et où sont mes amis.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
"Well, then," said he, "this is the berth forme. Here you, matey," he cried to the man who trundled the barrow; "bring up alongside and help up my chest. I'll stay here a bit," he continued. 'I'm a plain man; rum and bacon and eggs is what I want, and that head up.there for to watch ships off. What you mought call me? You mought call me captain. Oh, I see what you're at—there;" and he threw down three or four gold pieces on the threshold. 'You can tell me when I've worked through that," said he, looking as fierce as a commander. — Eh bien ! alors, reprit-il, je n’ai plus qu’à jeter l’ancre… Hé ! l’ami, cria-t-il à l’homme qui poussait la brouette, accostez ici et aidez à monter mon coffre… Je resterai ici quelque temps, continua-t-il. Je ne suis pas difficile : du rhum et des œufs au lard, il ne m’en faut pas plus, et cette pointe là-haut pour regarder passer les bateaux. Comment vous pourriez m’appeler ? Vous pourriez m’appeler capitaine… Ah ! je vois ce qui vous inquiète… Tenez ! (Et il jeta sur le comptoir trois ou quatre pièces d’or.) Vous me direz quand j’aurai tout dépensé, fit-il, l’air hautain comme un capitaine de vaisseau.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
“I should say, on the contrary, that he has only come with you because it would have bored you to come here by yourself.” —Je crois plutôt que monsieur vous a accompagné ici parce que cela vous ennuyait d'y venir seul.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Some one was waiting for me here.” —On m'attendait ici.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Because she was at the theatre with me, and because when I leave here I want to have someone to see me home.” —Parce qu'elle était avec moi au spectacle, et qu'en partant d'ici je voulais avoir quelqu'un pour m'accompagner.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"And now, Mr. Silver," I said, "I believe you're the best man here, and if things go to the worst, I'll take it kind of you to let the doctor know the way I took it." — Et maintenant, maître Silver, je crois que vous êtes ici le meilleur de tous : si les choses en viennent au pis, je vous serai obligé de faire savoir au docteur la façon dont je me suis comporté.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
"I don't know about treasure," he said, 'but I'll stake my wig there's fever here." — Je ne sais rien du trésor, dit-il, mais je gagerais ma perruque qu’il y a de la fièvre par ici.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
“Their quarters and the kitchen are also on the other side. No one ever comes to this part. I walk here myself, but nobody else does.” — Ils habitent également, et travaillent de l’autre côté. Personne ne vient jamais par ici. Moi seule m’y promène.
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc