Translations for husband in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
"And did my husband know I had been carried off?" | — Et mon mari savait-il que j’avais été enlevée ? |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"I took advantage of a moment when they left me alone; and as I had known since morning the reason of my abduction, with the help of the sheets I let myself down from the window. Then, as I believed my husband would be at home, I hastened hither." | — J’ai profité d’un moment où l’on m’a laissée seule, et comme je savais depuis ce matin à quoi m’en tenir sur mon enlèvement, à l’aide de mes draps, je suis descendue par la fenêtre ; alors, comme je croyais mon mari ici, je suis accourue. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"What, that which brings you home to me? Is it not the desire of seeing a husband again from whom you have been separated for a week?" asked the mercer, piqued to the quick. | — Comment ? ce qui vous amène près de moi, n’est-ce donc pas le désir de revoir un mari dont vous êtes séparée depuis huit jours ? demanda le mercier piqué au vif. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"Your husband has none. Is that what you would say?" | — Ton mari n’en a pas, c’est cela que tu veux dire. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"Here," said she, "here is a ring of great value, as I have been assured. It came from my brother, the King of Spain. It is mine, and I am at liberty to dispose of it. Take this ring; raise money with it, and let your husband set out." | — Tiens, dit-elle, voici une bague d’un grand prix, à ce qu’on assure ; elle vient de mon frère le roi d’Espagne ; elle est à moi et j’en peux disposer. Prends cette bague et fais-en de l’argent, et que ton mari parte. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
Ten minutes afterward she was at home. As she told the queen, she had not seen her husband since his liberation; she was ignorant of the change that had taken place in him with respect to the cardinal--a change which had since been strengthened by two or three visits from the Comte de Rochefort, who had become the best friend of Bonacieux, and had persuaded him, without much trouble, was putting his house in order, the furniture of which he had found mostly broken and his closets nearly empty--justice not being one of the three things which King Solomon names as leaving no traces of their passage. As to the servant, she had run away at the moment of her master's arrest. Terror had had such an effect upon the poor girl that she had never ceased walking from Paris till she reached Burgundy, her native place. | Dix minutes après, elle était chez elle, comme elle l’avait dit à la reine ; elle n’avait pas revu son mari depuis sa mise en liberté ; elle ignorait donc le changement qui s’était fait en lui à l’endroit du cardinal, changement qu’avaient opéré la flatterie et l’argent de Son Éminence et qu’avaient corroboré depuis, deux ou trois visites du comte de Rochefort, devenu le meilleur ami de Bonacieux, auquel il avait fait croire, sans beaucoup de peine, qu’aucun sentiment coupable n’avait amené l’enlèvement de sa femme, mais que c’était seulement une précaution politique. Elle trouva M. Bonacieux seul : le pauvre homme remettait à grand-peine de l’ordre dans la maison, dont il avait trouvé les meubles à peu près brisés et les armoires à peu près vides, la justice n’étant pas une des trois choses que le roi Salomon indique comme ne laissant point de traces de leur passage. Quant à la servante, elle s’était enfuie lors de l’arrestation de son maître. La terreur avait gagné la pauvre fille au point qu’elle n’avait cessé de marcher de Paris jusqu’en Bourgogne, son pays natal. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
Bonacieux was repeating, word for word, a sentence which he had heard from the Comte de Rochefort; but the poor wife, who had reckoned on her husband, and who, in that hope, had answered for him to the queen, did not tremble the less, both at the danger into which she had nearly cast herself and at the helpless state to which she was reduced. Nevertheless, knowing the weakness of her husband, and more particularly his cupidity, she did not despair of bringing him round to her purpose. | Bonacieux répétait mot pour mot une phrase qu’il avait entendu dire au comte de Rochefort ; mais la pauvre femme, qui avait compté sur son mari, et qui, dans cet espoir, avait répondu de lui à la reine, n’en frémit pas moins et du danger dans lequel elle avait failli se jeter et de l’impuissance dans laquelle elle se trouvait. Cependant, connaissant la faiblesse et surtout la cupidité de son mari, elle ne désespérait pas de l’amener à ses fins. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"Madame, those men were more dangerous than any robbers could have been, for they are the agents of the cardinal; and as to your husband, Monsieur Bonacieux, he is not here because he was yesterday evening conducted to the Bastille." | — Madame, ces hommes étaient bien autrement dangereux que ne pourraient être des voleurs, car ce sont des agents de M. le cardinal ; et quant à votre mari, M. Bonacieux, il n’est point ici parce qu’hier on est venu le prendre pour le conduire à la Bastille. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"Wounded? A fiddle-stick's end!" said the doctor. "No more wounded than you or I. The man has had a stroke, as I warned him. Now, Mrs. Hawkins, just you run upstairs to your husband and tell him, if possible, nothing about it. For my part, I must do my best. to save this fellow's trebly worthless life; and Jim here will get me a basin." | — Lui, blessé ? Taratata ! fit le docteur. Pas plus blessé que vous ni moi. Cet homme vient d’avoir une attaque d’apoplexie, comme je le lui avais prédit. Allons, madame Hawkins, remontez vite auprès de votre mari, et autant que possible ne lui parlez de rien. De mon côté, je dois faire de mon mieux pour sauver la vie trois fois indigne de ce misérable, et pour cela Jim ici présent va m’apporter une cuvette. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
"You are a very complacent husband, my dear Monsieur Bonacieux," said the cardinal. | — Vous êtes un mari complaisant, mon cher monsieur Bonacieux, dit le cardinal. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
From that day forth the duke was never referred to. Marguerite was no longer the same woman that I had known. She avoided everything that might recall to me the life which she had been leading when I first met her. Never did wife or sister surround husband or brother with such loving care as she had for me. Her nature was morbidly open to all impressions and accessible to all sentiments. She had broken equally with her friends and with her ways, with her words and with her extravagances. Any one who had seen us leaving the house to go on the river in the charming little boat which I had bought would never have believed that the woman dressed in white, wearing a straw hat, and carrying on her arm a little silk pelisse to protect her against the damp of the river, was that Marguerite Gautier who, only four months ago, had been the talk of the town for the luxury and scandal of her existence. | À partir de ce jour il ne fut plus question du duc. Marguerite n'était plus la fille que j'avais connue. Elle évitait tout ce qui aurait pu me rappeler la vie au milieu de laquelle je l'avais rencontrée. Jamais femme, jamais sœur n'eut pour son époux ou son frère l'amour et les soins qu'elle avait pour moi. Cette nature maladive était prête à toutes les impressions, accessible à tous les sentiments. Elle avait rompu avec ses amies comme avec ses habitudes, avec son langage comme avec les dépenses d'autrefois. Quand on nous voyait sortir de la maison pour aller faire une promenade dans un charmant petit bateau que j'avais acheté, on n'eût jamais cru que cette femme vêtue d'une robe blanche, couverte d'un grand chapeau de paille, et portant sur son bras la simple pelisse de soie qui devait la garantir de la fraîcheur de l'eau, était cette Marguerite Gautier qui, quatre mois auparavant, faisait bruit de son luxe et de ses scandales. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
It was not the first time that she had spoken to us of her husband's trouble, to me as a doctor, to my wife as an old friend and school companion. We soothed and comforted her by such words as we could find. Did she know where her husband was? Was it possible that we could bring him back to her? | Ce n’était pas la première fois qu’elle nous parlait de l’infirmité de son mari, à moi comme docteur, à ma femme comme à une vieille amie de pension. Nous fîmes tous nos efforts pour la calmer et la réconforter, tout en la questionnant sur l’endroit où pouvait se trouver son mari et la possibilité de le ramener au logis. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
The hours passed by, the dreary hours of winter evenings when nothing but the sound of carriages interrupts the silence of the street. The clock struck, pitilessly. In the half-sleep that numbed her limbs, Yvonne counted the strokes. She also heard certain noises, on different floors of the house, which told her that her husband had dined, that he was going up to his room, that he was going down again to his study. But all this seemed very shadowy to her; and her torpor was such that she did not even think of lying down on the sofa, in case he should come in . . . . | Alors le temps s’écoula, le temps morne des soirées d’hiver où les voitures interrompent seules le silence de la rue. La pendule sonnait, implacable. Dans le demi-sommeil qui l’engourdissait, la jeune femme en comptait les tintements. Elle percevait aussi certains bruits à différents étages de la maison, et savait de la sorte que son mari avait dîné, qu’il montait jusqu’à sa chambre et redescendait dans son cabinet de travail. Mais tout cela lui semblait très vague, et sa torpeur était telle qu’elle ne songeait même pas à s’étendre sur le divan, pour le cas où il entrerait… |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Then it's not true? . . . His mother is not ill? . . . In that case, my husband will be coming back. . . ." | « Alors, ce n’est pas vrai ?… Sa mère n’est pas malade ?… En ce cas, mon mari va revenir… |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Never mind about that. For six months, I have worked on this affair, investigated it, studied it, questioned the servants, the money-lenders and men of straw; for six months, I have shadowed the husband and wife. Consequently, I know what I am talking about. Whether the fortune came to them from old Brawford, as they pretend, or from some other source, I do not care. I know that it is a reality; that it exists. And some day it will be mine." | — Laisse-les courir. Il y a six mois que je poursuis l’affaire, six mois que je me renseigne, que j’étudie, que je tends mes filets, que j’interroge les domestiques, les prêteurs et les hommes de paille, six mois que je vis dans l’ombre du mari et de la femme. Par conséquent je sais à quoi m’en tenir. Que la fortune provienne du vieux Brawford, comme ils le prétendent, ou d’une autre source, j’affirme qu’elle existe. Et puisqu’elle existe, elle est à moi. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
"Your husband went out ten minutes ago." | — Votre mari est sorti depuis dix minutes. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"He is taking him away, I suppose, because he wants to divorce you and marry another woman, a former friend of yours, whom you have turned out of your house. Is that it? Oh, I entreat you, answer me frankly! These are facts of public notoriety; and your hesitation, your scruples, must all cease, now that the matter concerns your son. So your husband wished to marry another woman?" | — Il vous l’enlève, n’est-ce pas, parce qu’il veut divorcer et épouser une autre femme, une de vos anciennes amies, que vous avez chassée de votre maison ?… Oh ! je vous en conjure, répondez-moi sans détours. Ce sont là des faits de notoriété publique, et votre hésitation, vos scrupules, tout doit cesser actuellement, puisqu’il s’agit de votre fils. Ainsi donc, votre mari veut épouser une autre femme ? |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"The others are the same, rewritten by me and carefully worded. Your husband will not find anything objectionable in them, and will never suspect the substitution since they were taken from the safe in his presence." | — Les autres sont les mêmes que celles-ci, mais recopiées par moi, cette nuit, et soigneusement arrangées. Votre mari sera d’autant plus heureux de les lire qu’il ne se doutera pas de la substitution, puisque tout a paru se passer sous ses yeux… |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
At half-past three, a motor-cab drew up. The door downstairs was slammed again; and, almost immediately after, Yvonne saw her husband hurry in, with a furious look in his eyes. He ran up to her, felt to see if she was still fastened and, snatching her hand, examined the ring. Yvonne fainted. . . . | À trois heures et demie, une automobile s’arrêtait. La porte, en bas, claqua de nouveau, et presque aussitôt Yvonne aperçut son mari qui entrait rapidement, l’air furieux. Il courut vers elle, s’assura qu’elle était toujours attachée, et, s’emparant de sa main, examina la bague. Yvonne s’évanouit… |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Yes," he said, "It would be madness! Who would have set you free? Who would have opened that door for you? An accomplice? What an argument against you and what a pretty use your husband would make of it with his mother! And, besides, what's the good? To run away means accepting divorce . . . and what might that not lead to? . . . You must stay here. | « Oui, disait-il, ce serait de la folie. Qui vous aurait délivrée ? Qui vous aurait ouvert cette porte ? Un complice ? Quel argument contre vous, et comme votre mari s’en servirait auprès de sa mère ! Et puis, à quoi bon ? Vous enfuir, c’est accepter le divorce… et sait-on jamais le dénouement ?… Il faut rester ici. » |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Baron Repstein?" I asked. "The husband of the famous baroness?" | — Le baron Repstein ? demandai-je, le mari de la fameuse baronne ? |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Quite so. Your husband, as far as you could see, had his ordinary clothes on?" | — Parfaitement. Et vous croyez que votre mari avait ses vêtements ordinaires ? |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"I know what everybody knows. Baron Repstein, the company-promoter and racing-man, whose colt Etna won the Derby and the Grand Prix this year, has been victimized by his wife. The wife, who was well known for her fair hair, her dress and her extravagance, ran away a fortnight ago, taking with her a sum of three million francs, stolen from her husband, and quite a collection of diamonds, pearls and jewellery which the Princesse de Berny had placed in her hands and which she was supposed to buy. For two weeks the police have been pursuing the baroness across France and the continent: an easy job, as she scatters gold and jewels wherever she goes. They think they have her every moment. Two days ago, our champion detective, the egregious Ganimard, arrested a visitor at a big hotel in Belgium, a woman against whom the most positive evidence seemed to be heaped up. On enquiry, the lady turned out to be a notorious chorus-girl called Nelly Darbal. As for the baroness, she has vanished. The baron, on his side, has offered a reward of two hundred thousand francs to whosoever finds his wife. The money is in the hands of a solicitor. Moreover, he has sold his racing-stud, his house on the Boulevard Haussmann and his country-seat of Roquencourt in one lump, so that he may indemnify the Princesse de Berny for her loss." | « Je sais ce que tout le monde sait. Le baron Repstein, financier et sportsman, dont le cheval Etna a gagné cette année le Derby d’Epsom et le Grand-Prix de Longchamp, le baron Repstein a été la victime de sa femme, laquelle femme, très connue pour ses cheveux blonds, ses toilettes et son luxe, s’est enfuie voilà quinze jours, emportant avec elle une somme de trois millions, volée à son mari, et toute une collection de diamants, de perles et de bijoux, que la princesse de Berny lui avait confiée et qu’elle devait acheter. Depuis deux semaines, on poursuit la baronne à travers la France et l’Europe, ce qui est facile, la baronne semant l’or et les bijoux sur son chemin. À chaque instant, on croit l’arrêter. Avant-hier même, en Belgique, notre policier national, l’ineffable Ganimard, cueillait, dans un grand hôtel, une voyageuse contre qui les preuves les plus irréfutables s’accumulaient. Renseignements pris, c’était une théâtreuse notoire, Nelly Darbel. Quant à la baronne, introuvable. De son côté, le baron Repstein offre une prime de cent mille francs à qui fera retrouver sa femme. L’argent est entre les mains d’un notaire. En outre, pour désintéresser la princesse de Berny, il vient de vendre en bloc son écurie de courses, son hôtel du boulevard Haussmann et son château de Roquencourt. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |