Translations for mad in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
“It is this, that ever since I have seen you, I know not why, you have taken a place in my life; that, if I drive the thought of you out of my mind, it always comes back; that when I met you to-day, after not having seen you for two years, you made a deeper impression on my heart and mind than ever; that, now that you have let me come to see you, now that I know you, now that I know all that is strange in you, you have become a necessity of my life, and you will drive me mad, not only if you will not love me, but if you will not let me love you.” | —C'est que, depuis que je vous ai vue, je ne sais comment ni pourquoi, vous avez pris une place dans ma vie; c'est que j'ai eu beau chasser votre image de ma pensée, elle y est toujours revenue; c'est qu'aujourd'hui, quand je vous ai rencontrée, après être resté deux ans sans vous voir, vous avez pris sur mon cœur et mon esprit un ascendant plus grand encore; c'est qu'enfin, maintenant que vous m'avez reçu, que je vous connais, que je sais tout ce qu'il y a d'étrange en vous, vous m'êtes devenue indispensable, et que je deviendrai fou, non pas seulement si vous ne m'aimez pas, mais si vous ne me laissez pas vous aimer. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“You are mad,” replied Marguerite. “You know quite well that I don’t want you. It is no good at the end of two years to make love to a woman like me. With us, it is at once, or never. Come, gentlemen, supper!” | —Vous êtes fou, lui répondait Marguerite, vous savez bien que je ne veux pas de vous. Ce n'est pas au bout de deux ans que l'on connaît une femme comme moi, qu'on lui demande à être son amant. Nous autres, nous nous donnons tout de suite ou jamais. Allons, messieurs, à table. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"Yes, yes, madame! Yes, your Majesty!" cried the duke. "I know that I must have been mad, senseless, to believe that snow would become animated or marble warm; but what then! They who love believe easily in love. Besides, I have lost nothing by this journey because I see you." | — Oh ! oui, madame, oui, Votre Majesté, s’écria le duc, je sais que j’ai été un fou, un insensé de croire que la neige s’animerait, que le marbre s’échaufferait ; mais que voulez-vous, quand on aime, on croit facilement à l’amour ; d’ailleurs, je n’ai pas tout perdu à ce voyage, puisque je vous vois. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
“What a way you behaved!” he said, as he sat down. “They will think you are mad.” | —Comme vous y allez! me dit-il en s'asseyant; elles vous croient fou. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
I opened the doors one after another. I visited every room. No one. It was enough to drive one mad. | J'ouvris les portes les unes après les autres, je visitai toutes les chambres. Personne. C'était à devenir fou. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"I would contest nothing; but I tell you that the favor of a minister is ephemeral, and that a man must be mad to attach himself to a minister. There are powers above his which do not depend upon a man or the issue of an event; it is to these powers we should rally." | — Je ne lui conteste rien, mais je vous dis que la faveur d’un ministre est éphémère, et qu’il faut être fou pour s’attacher à un ministre : il est des pouvoirs au-dessus du sien, qui ne reposent pas sur le caprice d’un homme ou l’issue d’un événement ; c’est à ces pouvoirs qu’il faut se rallier. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
When I had read the last word, I thought I should have gone mad. For a moment I was really afraid of falling in the street. A cloud passed before my eyes and my blood beat in my temples. At last I came to myself a little. I looked about me, and was astonished to see the life of others continue without pausing at my distress. | Quand j'eus lu le dernier mot, je crus que j'allais devenir fou. Un moment j'eus réellement peur de tomber sur le pavé de la rue. Un nuage me passait sur les yeux, et le sang me battait dans les tempes. Enfin je me remis un peu, je regardai autour de moi, tout étonné de voir la vie des autres se continuer sans s'arrêter à mon malheur. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
The Hatter shook his head mournfully. “Not I!” he replied. “We quarrelled last March—just before he went mad, you know—” (pointing with his tea spoon at the March Hare,) “—it was at the great concert given by the Queen of Hearts, and I had to sing | Le Chapelier secoua tristement la tête. “Hélas! non,” répondit-il, “nous nous sommes querellés au mois de mars dernier, un peu avant qu’il devînt fou.” (Il montrait le Lièvre du bout de sa cuiller.) C’était à un grand concert donné par la Reine de Cœur, et j’eus à chanter: |
Alice’s Adventures in Wonderland, by Lewis Carroll | Aventures d’Alice au Pays des Merveilles, par Lewis Carroll |
Then a mad hope invaded her; and, slowly, patiently, she began the work of self-deliverance. | Alors un espoir fou la pénétra, et patiemment, lentement, elle commença l’œuvre de délivrance. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
My father stopped, looked at me disdainfully, and contented himself with saying, “I believe you are mad.” After this he went out, shutting the door violently after him. | Mon père s'arrêta, me regarda avec dédain, et se contenta de me répondre: —Vous êtes fou, je crois. Après quoi, il sortit en fermant violemment la porte derrière lui. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
She had hardly completed this act when she realized its absurdity. It was mad to suppose that the message would reach the address and madder still to hope that the man to whom she was sending could come to her assistance, "whatever the hour, whatever the obstacles." | Elle n’avait pas accompli cet acte qu’elle en saisit toute l’absurdité. Il était fou de supposer que le message irait à son adresse, et plus fou encore d’espérer que l’homme qu’elle appelait pourrait venir à son secours, quelle que fût l’heure et quels que fussent les obstacles . |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Then I'll tell our story right away," said the lady. "Frank here and I met in '84, in McQuire's camp, near the Rockies, where pa was working a claim. We were engaged to each other, Frank and I; but then one day father struck a rich pocket and made a pile, while poor Frank here had a claim that petered out and came to nothing. The richer pa grew, the poorer was Frank; so at last pa wouldn't hear of our engagement lasting any longer, and he took me away to 'Frisco. Frank wouldn't throw up his hand, though; so he followed me there, and he saw me without pa knowing anything about it. It would only have made him mad to know, so we just fixed it all up for ourselves. Frank said that he would go and make his pile, too, and never come back to claim me until he had as much as pa. So then I promised to wait for him to the end of time, and pledged myself not to marry any one else while he lived. 'Why shouldn't we be married right away, then,' said he, 'and then I will feel sure of you; and I won't claim to be your husband until I come back?' Well, we talked it over, and he had fixed it all up so nicely, with a clergyman all ready in waiting, that we just did it right there; and then Frank went off to seek his fortune, and I went back to pa. | — Eh bien ! je vais tout vous dire, reprit sa femme. Nous nous sommes connus, Frank et moi, en 81, au camp de Mac Quire, auprès des Montagnes Rocheuses, où p’pa travaillait dans une concession. Nous nous fiançons, mais voilà qu’un jour p’pa tombe sur un riche filon, et se fait un sac énorme, pendant que ce pauvre Frank, lui, ne trouvait rien dans sa concession. Plus p’pa devient riche, plus Frank devient pauvre, si bien qu’à la fin p’pa ne voulut plus entendre parler de mariage et m’emmena à Frisco. Mais Frank ne voulait pas me lâcher, alors il me suivit et nous continuâmes à nous voir sans que p’pa le sût. Ça l’aurait rendu fou, et nous nous cachions de lui. Puis Frank me dit qu’il allait travailler à se faire un sac aussi, et qu’il ne viendrait jamais me chercher tant qu’il ne serait pas aussi riche que p’pa. Je lui promis de l’attendre indéfiniment, et de ne pas me marier tant qu’il vivrait. — Pourquoi ne pas demander à un pasteur de nous marier tout de suite ? dit-il ; je n’exigerai rien de vous avant mon retour, mais au moins comme ça je serai plus tranquille. Après avoir bien réfléchi nous nous décidâmes à nous présenter devant un révérend que Frank avait prévenu, et nous nous mariâmes sans tambour ni trompette. Puis Frank partit pour faire fortune et je restai avec p’pa. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
“Oh, you can’t help that,” said the Cat: “we’re all mad here. I’m mad. You’re mad.” | “Vous ne pouvez pas vous en défendre, tout le monde est fou ici. Je suis fou, vous êtes folle.” |
Alice’s Adventures in Wonderland, by Lewis Carroll | Aventures d’Alice au Pays des Merveilles, par Lewis Carroll |
"You must excuse this little precaution, sir. I am obliged to take it in case you should be mad, though that does not seem likely. No, you are not mad. But you have come here with an object which I fail to grasp; and you have sprung upon me an accusation of so astounding a character that I am curious to know the reason. I have experienced so much disappointment and undergone so much suffering that an outrage of this kind leaves me indifferent. Continue, please." | « Vous excuserez, monsieur, cette petite précaution, que je suis obligé de prendre au cas, d’ailleurs invraisemblable, où vous seriez devenu fou. Non, vous n’êtes pas fou. Mais vous venez ici dans un but que je ne m’explique pas, et vous avez lancé contre moi une accusation si stupéfiante que je suis curieux d’en connaître la raison. » |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
To reach such a point I must have been literally mad. I was like a man drunk upon bad wine, who falls into one of those nervous exaltations in which the hand is capable of committing a crime without the head knowing anything about it. In the midst of it all I endured a martyrdom. The not disdainful calm, the not contemptuous dignity with which Marguerite responded to all my attacks, and which raised her above me in my own eyes, enraged me still more against her. | Il fallait être fou pour en arriver là. J'étais comme un homme qui, s'étant grisé avec du mauvais vin, tombe dans une de ces exaltations nerveuses où la main est capable d'un crime sans que la pensée y soit pour quelque chose. Au milieu de tout cela, je souffrais le martyre. Le calme sans dédain, la dignité sans mépris, avec lesquels Marguerite répondait à toutes mes attaques, et qui à mes propres yeux la faisaient supérieure à moi, m'irritaient encore contre elle. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“Well, then,” the Cat went on, “you see, a dog growls when it’s angry, and wags its tail when it’s pleased. Now I growl when I’m pleased, and wag my tail when I’m angry. Therefore I’m mad.” | “Eh bien!” continua le Chat, “un chien grogne quand il se fâche, et remue la queue lorsqu’il est content. Or, moi, je grogne quand je suis content, et je remue la queue quand je me fâche. Donc je suis fou.” |
Alice’s Adventures in Wonderland, by Lewis Carroll | Aventures d’Alice au Pays des Merveilles, par Lewis Carroll |
She yielded to a fit of mad despair: | Elle eut un accès de désespoir fou. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |