Translations for magnificent in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
On a large table against the wall, a table three feet in width and six in length, glittered all the treasures of Aucoc and Odiot. It was a magnificent collection, and there was not one of those thousand little things so necessary to the toilet of a woman of the kind which was not in gold or silver. Such a collection could only have been got together little by little, and the same lover had certainly not begun and ended it. | Sur une grande table, adossée au mur, table de trois pieds de large sur six de long, brillaient tous les trésors d'Aucoc et d'Odiot. C'était là une magnifique collection, et pas un de ces mille objets, si nécessaires à la toilette d'une femme comme celle chez qui nous étions, n'était en autre métal qu'or ou argent. Cependant cette collection n'avait pu se faire que peu à peu, et ce n'était pas le même amour qui l'avait complétée. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
Perhaps you know the inn, which is a hotel on week days and a tea garden on Sundays. There is a magnificent view from the garden, which is at the height of an ordinary first floor. On the left the Aqueduct of Marly closes in the horizon, on the right one looks across bill after hill; the river, almost without current at that spot, unrolls itself like a large white watered ribbon between the plain of the Gabillons and the island of Croissy, lulled eternally by the trembling of its high poplars and the murmur of its willows. Beyond, distinct in the sunlight, rise little white houses, with red roofs, and manufactories, which, at that distance, put an admirable finish to the landscape. Beyond that, Paris in the mist! As Prudence had told us, it was the real country, and, I must add, it was a real lunch. | Vous connaissez peut-être cette auberge, hôtel de semaine, guinguette le dimanche. Du jardin, qui est à la hauteur d'un premier étage ordinaire, on découvre une vue magnifique. À gauche, l'aqueduc de Marly ferme l'horizon, à droite la vue s'étend sur un infini de collines; la rivière, presque sans courant dans cet endroit, se déroule comme un large ruban blanc moiré, entre la plaine des Gabillons et l'île de Croissy, éternellement bercée par le frémissement de ses hauts peupliers et le murmure de ses saules. Au fond, dans un large rayon de soleil, s'élèvent de petites maisons blanches à toits rouges, et des manufactures qui, perdant par la distance leur caractère dur et commercial, complètent admirablement le paysage. Au fond, Paris dans la brume! Comme nous l'avait dit Prudence, c'était une vraie campagne, et, je dois le dire, ce fut un vrai déjeuner. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
D'Artagnan, hearing the Musketeer swear, wished to escape from the cloak, which blinded him, and sought to find his way from under the folds of it. He was particularly anxious to avoid marring the freshness of the magnificent baldric we are acquainted with; but on timidly opening his eyes, he found himself with his nose fixed between the two shoulders of Porthos--that is to say, exactly upon the baldric. Alas, like most things in this world which have nothing in their favor but appearances, the baldric was glittering with gold in the front, but was nothing but simple buff behind. Vainglorious as he was, Porthos could not afford to have a baldric wholly of gold, but had at least half. One could comprehend the necessity of the cold and the urgency of the cloak. | D’Artagnan, entendant jurer le mousquetaire, voulut sortir de dessous le manteau qui l’aveuglait, et chercha son chemin dans le pli. Il redoutait surtout d’avoir porté atteinte à la fraîcheur du magnifique baudrier que nous connaissons ; mais en ouvrant timidement les yeux, il se trouva le nez collé entre les deux épaules de Porthos c’est-à-dire précisément sur le baudrier. Hélas ! comme la plupart des choses de ce monde qui n’ont pour elles que l’apparence, le baudrier était d’or par-devant et de simple buffle par-derrière. Porthos, en vrai glorieux qu’il était, ne pouvant avoir un baudrier d’or tout entier, en avait au moins la moitié : on comprenait dès lors la nécessité du rhume et l’urgence du manteau. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"Porthos, you are as vain as Narcissus; I plainly tell you so," replied Aramis. "You know I hate moralizing, except when it is done by Athos. As to you, good sir, you wear too magnificent a baldric to be strong on that head. I will be an abbe if it suits me. In the meanwhile I am a Musketeer; in that quality I say what I please, and at this moment it pleases me to say that you weary me." | — Porthos, vous êtes prétentieux comme Narcisse. Je vous en préviens, répondit Aramis, vous savez que je hais la morale, excepté quand elle est faite par Athos. Quant à vous, mon cher, vous avez un trop magnifique baudrier pour être bien fort là-dessus. Je serai abbé s’il me convient ; en attendant, je suis mousquetaire ; en cette qualité, je dis ce qu’il me plaît, et en ce moment il me plaît de vous dire que vous m’impatientez. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
The center of the most animated group was a Musketeer of great height and haughty countenance, dressed in a costume so peculiar as to attract general attention. He did not wear the uniform cloak--which was not obligatory at that epoch of less liberty but more independence--but a cerulean-blue doublet, a little faded and worn, and over this a magnificent baldric, worked in gold, which shone like water ripples in the sun. A long cloak of crimson velvet fell in graceful folds from his shoulders, disclosing in front the splendid baldric, from which was suspended a gigantic rapier. This Musketeer had just come off guard, complained of having a cold, and coughed from time to time affectedly. It was for this reason, as he said to those around him, that he had put on his cloak; and while he spoke with a lofty air and twisted his mustache disdainfully, all admired his embroidered baldric, and d'Artagnan more than anyone. | Au centre du groupe le plus animé était un mousquetaire de grande taille, d’une figure hautaine et d’une bizarrerie de costume qui attirait sur lui l’attention générale. Il ne portait pas, pour le moment, la casaque d’uniforme, qui, au reste, n’était pas absolument obligatoire dans cette époque de liberté moindre, mais d’indépendance plus grande, il portait un justaucorps bleu de ciel, tant soit peu fané et râpé, et sur cet habit un baudrier magnifique, en broderies d’or, et qui reluisait comme les écailles dont l’eau se couvre au grand soleil. Un manteau long de velours cramoisi tombait avec grâce sur ses épaules, découvrant par devant seulement le splendide baudrier, auquel pendait une gigantesque rapière. Ce mousquetaire venait de descendre de garde à l’instant même, se plaignait d’être enrhumé et toussait de temps en temps avec affectation. Aussi avait-il pris le manteau, à ce qu’il disait autour de lui, et tandis qu’il parlait du haut de sa tête, en frisant dédaigneusement sa moustache, on admirait avec enthousiasme le baudrier brodé, et d’Artagnan plus que tout autre. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
With what a thrill of joy he recalled the invitation he received that night! At last, he had reached his goal! At last, he had undertaken a task worth of his strength and skill! The Imbert millions! What a magnificent feast for an appetite like his! | Aussi quel frisson de joie à son réveil, quand il se rappela l’invitation de la nuit ! Enfin il touchait au but ! Enfin il entreprenait une œuvre digne de ses forces et de son talent ! Les millions des Imbert, quelle proie magnifique pour un appétit comme le sien ! |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
"It is a noiseless lock," said he. "It is no wonder that it did not wake you. This case, I presume, contains the coronet. We must have a look at it." He opened the case, and, taking out the diadem, he laid it upon the table. It was a magnificent specimen of the jeweller's art, and the thirty-six stones were the finest that I have ever seen. At one side of the coronet was a cracked edge, where a corner holding three gems had been torn away. | — C’est une serrure silencieuse. Il n’est pas étonnant que cela ne vous ait pas réveillé. Cette boîte, je pense, renferme le diadème. Voyons-le. Il ouvrit l’écrin et sortant le diadème, le posa sur la table. C’était un magnifique spécimen de l’art du joaillier, et les trente-six pierres étaient les plus belles que j’aie jamais vues. Sur l’un des côtés il était tordu ; il en manquait même à l’extrémité un morceau, celui précisément sur lequel étaient enchâssées les trois pierres manquantes. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
And Lupin had no doubt but that the pin attached to that magnificent pearl was the weapon which had pierced the heart of the unfortunate M. Lavernoux. | Et Lupin ne douta pas que l’épingle, ornée de la perle magnifique, n’eût été l’arme qui avait perforé le cœur de ce pauvre M. Lavernoux. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
One day, when he had an appointment with a duchess, he endeavored even to borrow it of Athos. Athos, without saying anything, emptied his pockets, got together all his jewels, purses, aiguillettes, and gold chains, and offered them all to Porthos; but as to the sword, he said it was sealed to its place and should never quit it until its master should himself quit his lodgings. In addition to the sword, there was a portrait representing a nobleman of the time of Henry III, dressed with the greatest elegance, and who wore the Order of the Holy Ghost; and this portrait had certain resemblances of lines with Athos, certain family likenesses which indicated that this great noble, a knight of the Order of the King, was his ancestor. Besides these, a casket of magnificent goldwork, with the same arms as the sword and the portrait, formed a middle ornament to the mantelpiece, and assorted badly with the rest of the furniture. Athos always carried the key of this coffer about him; but he one day opened it before Porthos, and Porthos was convinced that this coffer contained nothing but letters and papers--love letters and family papers, no doubt. | Un jour qu’il avait rendez-vous avec une duchesse, il essaya même de l’emprunter à Athos. — Athos, sans rien dire, vida ses poches, ramassa tous ses bijoux : bourses, aiguillettes et chaînes d’or, il offrit tout à Porthos ; mais quant à l’épée, lui dit-il, elle était scellée à sa place, et ne devait la quitter que lorsque son maître quitterait lui-même son logement. Outre son épée, il y avait encore un portrait représentant un seigneur du temps de Henri III, vêtu avec la plus grande élégance, et qui portait l’ordre du Saint-Esprit, et ce portrait avait avec Athos certaines ressemblances de lignes, certaines similitudes de famille, qui indiquaient que ce grand seigneur, chevalier des ordres du roi, était son ancêtre. Enfin, un coffre de magnifique orfèvrerie, aux mêmes armes que l’épée et le portrait, faisait un milieu de cheminée qui jurait effroyablement avec le reste de la garniture. Athos portait toujours la clef de ce coffre sur lui. Mais un jour il l’avait ouvert devant Porthos, et Porthos avait pu s’assurer que ce coffre ne contenait que des lettres et des papiers : — des lettres d’amour et des papiers de famille, sans doute. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
" 'Precisely.' He opened the case, and there, imbedded in soft, flesh-colored velvet, lay the magnificent piece of jewelry which he had named. 'There are thirty-nine enormous beryls,' said he, "and the price of the gold chasing is incalculable. The lowest estimate would put the worth of the coronet at double the sum which I have asked. I am prepared to leave it with you as my security.' | « — Justement. » Il ouvrit l’écrin, et me montra, ressortant sur un beau velours couleur de chair, le magnifique bijou en question. — Il y a trente-neuf énormes béryls, et le prix de la monture en or est incalculable. L’estimation la plus basse équivaudrait au double de la somme que je vous demande ; je vous laisserai ce diadème en garantie. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"This is all very easy for you to say," replied d'Artagnan, "for you, Athos, who live like a dumb man with Grimaud, who forbid him to speak, and consequently never exchange ill words with him; for you, Porthos, who carry matters in such a magnificent style, and are a god to your valet, Mousqueton; and for you, Aramis, who, always abstracted by your theological studies, inspire your servant, Bazin, a mild, religious man, with a profound respect; but for me, who am without any settled means and without resources--for me, who am neither a Musketeer nor even a Guardsman, what I am to do to inspire either the affection, the terror, or the respect in Planchet?" | — Cela vous est bien aisé à dire, reprit d’Artagnan, à vous, Athos, qui vivez muet avec Grimaud, qui lui défendez de parler, et qui, par conséquent, n’avez jamais de mauvaises paroles avec lui ; à vous, Porthos, qui menez un train magnifique et qui êtes un dieu pour votre valet Mousqueton ; à vous enfin, Aramis, qui, toujours distrait par vos études théologiques, inspirez un profond respect à votre serviteur Bazin, homme doux et religieux ; mais moi qui suis sans consistance et sans ressources, moi qui ne suis pas mousquetaire ni même garde, moi, que ferai-je pour inspirer de l’affection, de la terreur ou du respect à Planchet ? |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"I can at least suggest a supposition, derived from the statements made by the servant. The victim, who enjoyed a greater reputation on account of her looks than through her talent as a singer, went to Russia, two years ago, and brought back with her a magnificent sapphire, which she appears to have received from some person of importance at the court. Since then, she went by the name of Jenny Saphir and seems generally to have been very proud of that present, although, for prudence sake, she never wore it. I daresay that we shall not be far out if we presume the theft of the sapphire to have been the cause of the crime." | « Je puis tout au moins avancer une hypothèse, qui résulte des déclarations de la bonne. La victime, dont le talent de chanteuse était médiocre, mais que l’on connaissait pour sa beauté, a fait, il y a deux ans, un voyage en Russie, d’où elle est revenue avec un magnifique saphir que lui avait donné, paraît-il, un personnage de la cour. Jenny Saphir, comme on appelait la jeune femme depuis ce jour, était très fière de ce cadeau, bien que, par prudence, elle ne le portât pas. N’est-il pas à supposer que le vol du saphir fut la cause du crime ? |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
In front of and around this dejected group of prisoners were several ape-men, who watched them closely and made all escape impossible. Then, right out from all the others and close to the edge of the cliff, were two figures, so strange, and under other circumstances so ludicrous, that they absorbed my attention. The one was our comrade, Professor Challenger. The remains of his coat still hung in strips from his shoulders, but his shirt had been all torn out, and his great beard merged itself in the black tangle which covered his mighty chest. He had lost his hat, and his hair, which had grown long in our wanderings, was flying in wild disorder. A single day seemed to have changed him from the highest product of modern civilization to the most desperate savage in South America. Beside him stood his master, the king of the ape-men. In all things he was, as Lord John had said, the very image of our Professor, save that his coloring was red instead of black. The same short, broad figure, the same heavy shoulders, the same forward hang of the arms, the same bristling beard merging itself in the hairy chest. Only above the eyebrows, where the sloping forehead and low, curved skull of the ape-man were in sharp contrast to the broad brow and magnificent cranium of the European, could one see any marked difference. At every other point the king was an absurd parody of the Professor. | Un certain nombre d’hommes-singes entouraient les prisonniers, de façon à rendre toute évasion impossible. Enfin, sur le bord extrême du plateau, très à l’écart, il y avait deux figures si étranges, et qui, en d’autres circonstances, eussent été si comiques, qu’elles concentrèrent mon attention. L’une était mon camarade, le professeur Challenger. Ce qui restait de son veston lui pendait en loques sur les épaules ; il n’avait plus de chemise, et sa grande barbe sombrait dans l’obscure toison de sa poitrine ; il n’avait plus de chapeau, et ses cheveux, laissés libres de pousser depuis le début de l’expédition, flottaient en désordre autour de lui. Il semblait qu’un jour eût suffi pour ravaler cet homme, du rang éminent qu’il occupait dans la civilisation moderne, à l’indignité du dernier sauvage d’Amérique ! Challenger avait à son côté le roi des hommes-singes. Celui-ci en rouge, celui-là en noir, ils étaient, comme l’avait dit lord John, la vivante image l’un de l’autre : même forme courte et massive, même carrure d’épaules, mêmes longs bras pendants, même barbe hérissée plongeant dans une poitrine velue. À ceci près que le front bas et oblique, le crâne incurvé de l’homme-singe, formaient le plus frappant contraste avec le large front et le crâne magnifique de l’Européen, nulle différence sensible : le roi caricaturait absurdement le professeur. |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |