Translations for moss in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
Add to this that from the place where I was I could see on the shore a charming little house of two stories, with a semicircular railing; through the railing, in front of the house, a green lawn, smooth as velvet, and behind the house a little wood full of mysterious retreats, where the moss must efface each morning the pathway that had been made the day before. Climbing flowers clung about the doorway of this uninhabited house, mounting as high as the first story. | Ajoutez à cela que, de l'endroit où j'étais, je voyais sur la rive une charmante petite maison à deux étages, avec une grille en hémicycle; à travers la grille, devant la maison, une pelouse verte, unie comme du velours, et derrière le bâtiment un petit bois plein de mystérieuses retraites, et qui devait effacer chaque matin sous sa mousse le sentier fait la veille. Des fleurs grimpantes cachaient le perron de cette maison inhabitée qu'elles embrassaient jusqu'au premier étage. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
The slopes of the knoll and all the inside of the stockade had been cleared of timber to build the house, and we could see by the stumps what a fine and lofty grove had been destroyed. Most of the soil had been washed away or buried in drift after the removal of the trees; only where the streamlet ran down from the kettle a thick bed of moss and some ferns and little creeping bushes were still green among the sand. Very close around the stockade—too close for defense, they said—the wood still flourished high and dense, all of fir on the land side, but toward the sea with a large admixture of live-oaks. | Sur les pentes du monticule et dans tout l’intérieur du retranchement, on avait abattu le bois pour construire le fortin, et les souches témoignaient encore de la luxuriance de cette futaie. Après sa destruction, presque toute la terre végétale avait été délayée par les pluies ou ensevelie sous la dune ; au seul endroit où le ruisselet se dégorgeait du chaudron, un épais tapis de mousse, quelques fougères et des buissons rampants verdoyaient encore parmi les sables. Entourant la palanque de très près — de trop près pour la défense, disaient mes compagnons — la forêt poussait toujours haute et drue, exclusivement composée de pins du côté de la terre, et avec une forte proportion de chênes verts du côté de la mer. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
"You were yourself struck by the nature of the injury as recorded by the surgeon at the inquest. The blow was struck from immediately behind, and yet was upon the left side. Now, how can that be unless it were by a left-handed man? He had stood behind that tree during the interview between the father and son. He had even smoked there. I found the ash of a cigar, which my special knowledge of tobacco ashes enabled me to pronounce as an Indian cigar. I have, as you know, devoted some attention to this, and written a little monograph on the ashes of 140 different varieties of pipe, cigar, and cigarette tobacco. Having found the ash, I then looked round and discovered the stump among the moss where he had tossed it. It was an Indian cigar, of the variety which are rolled in Rotterdam." | — Vous avez sûrement été frappé par la nature de la blessure décrite par le chirurgien lors de sa déposition. Le coup a été porté directement par derrière et cependant à gauche. C’est bien le fait d’un gaucher. Il est sûrement resté derrière l’arbre pendant l’entrevue du père et du fils. Il a même fumé à cet endroit. J’ai retrouvé là la cendre d’un cigare que mes connaissances particulières en cendres de tabac me permettent de reconnaître pour avoir été un cigare indien. Vous savez que je me suis appliqué à cette étude et que j’ai écrit une petite monographie sur les cendres de cent quarante variétés différentes de tabacs de pipe, de cigare et de cigarette. Après avoir trouvé de la cendre j’ai cherché tout autour, dans la mousse, le bout de cigare qui avait dû être jeté là et je l’ai découvert. C’était, en effet, un cigare indien de la qualité fabriquée à Rotterdam. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
The captain took the knife handed to him. And with the point, very gently, he began to scratch the mixture of earth and moss that filled the narrow cleft. | Le capitaine saisit le couteau qu’on lui tendait. Il l’ouvrit. Et à l’aide de la pointe, très doucement, il commença à gratter le mélange de terre, de mousse et de lichen qui remplissait l’étroite cassure. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Oh, tut, tut! I have no time! That left foot of yours with its inward twist is all over the place. A mole could trace it, and there it vanishes among the reeds. Oh, how simple it would all have been had I been here before they came like a herd of buffalo, and wallowed all over it. Here is where the party with the lodge-keeper came, and they have covered all tracks for six or eight feet round the body. But here are three separate tracks of the same feet." He drew out a lens, and lay down upon his waterproof to have a better view, talking all the time rather to himself than to us. "These are young McCarthy's feet. Twice he was walking, and once he ran swiftly so that the soles are deeply marked, and the heels hardly visible. That bears out his story. He ran when he saw his father on the ground. Then here are the father's feet as he paced up and down. What is this, then? It is the butt-end of the gun as the son stood listening. And this? Ha, ha! What have we here? Tiptoes! tiptoes! Square, too, quite unusual boots! They come, they go, they come again—of course that was for the cloak. Now where did they come from?" He ran up and down, sometimes losing, sometimes finding the track until we were well within the edge of the wood, and under the shadow of a great beech, the largest tree in the neighborhood. Holmes traced his way to the farther side of this, and lay down once more upon his face with a little cry of satisfaction. For a long time he remained there, turning over the leaves and dried sticks, gathering up what seemed to me to be dust into an envelope, and examining with his lens not only the ground, but even the bark of the tree as far as he could reach. A jagged stone was lying among the moss, and this also he carefully examined and retained. Then he followed a pathway through the wood until he came to the high-road, where all traces were lost. | — Bon, bon, je n’ai pas le temps de m’arrêter à des vétilles. L’empreinte de votre pied gauche, qui est tourné en dedans, est visible partout ; une taupe elle-même pourrait la relever et je la vois là, disparaissant parmi les roseaux. Oh ! comme ma tâche aurait été facile si j’étais venu ici avant que tous ces gens ne se soient vautrés sur la piste comme un troupeau de buffles. Voici l’endroit où la bande du portier s’est arrêtée, et ils ont tout piétiné sur un rayon de six ou huit pieds autour du cadavre. Mais voici trois pistes différentes tracées par les mêmes personnes. Il tira une loupe de sa poche et, se couchant par terre pour mieux voir, après avoir étendu son waterproof dans le but de ne pas se mouiller, il se mit à se parler à lui-même plutôt qu’à nous : — Ce sont les empreintes du jeune Mac Carthy. Deux fois il marchait et une fois il courait, c’est bien certain, car la semelle est profondément marquée tandis que le talon est à peine visible. Cela confirme sa déposition. Il a couru lorsqu’il a vu son père étendu par terre. Je vois ici les empreintes du vieux Mac Carthy lorsqu’il se promenait de long en large. Mais qu’est-ce ? Ah ! j’y suis : la crosse du fusil lorsque le fils était là, à écouter. Et ceci ? Ah ! ah ! Les empreintes de quelqu’un qui a marché sur la pointe des pieds et qui avait des bottines tout à fait particulières. L’individu est venu, il est reparti, puis il est revenu ; naturellement pour chercher le manteau. Maintenant, d’où venait-il ? Holmes fouillait le sol, perdant la piste puis la retrouvant ; il la suivit ainsi jusqu’à la lisière du bois, à l’ombre d’un grand hêtre, l’arbre le plus élevé du voisinage. La piste contournait l’arbre. Holmes se coucha une fois de plus à plat ventre, avec une visible satisfaction. Il demeura là, longtemps, remuant les feuilles et les morceaux de bois mort, mettant dans une enveloppe ce qui me parut être de la poussière et examinant avec sa loupe non seulement le terrain, mais même l’écorce de l’arbre jusque dans sa plus grande profondeur. Il examina ensuite une pierre ébréchée qui émergeait de la mousse, et la prit. Il suivit enfin le sentier à travers bois jusqu’à sa jonction avec la grand’route sur laquelle les traces se perdaient. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
The wagonette swung round into a side road, and we curved upward through deep lanes worn by centuries of wheels, high banks on either side, heavy with dripping moss and fleshy hart’s-tongue ferns. Bronzing bracken and mottled bramble gleamed in the light of the sinking sun. Still steadily rising, we passed over a narrow granite bridge, and skirted a noisy stream which gushed swiftly down, foaming and roaring amid the grey boulders. Both road and stream wound up through a valley dense with scrub oak and fir. At every turn Baskerville gave an exclamation of delight, looking eagerly about him and asking countless questions. To his eyes all seemed beautiful, but to me a tinge of melancholy lay upon the country-side, which bore so clearly the mark of the waning year. Yellow leaves carpeted the lanes and fluttered down upon us as we passed. The rattle of our wheels died away as we drove through drifts of rotting vegetation—sad gifts, as it seemed to me, for Nature to throw before the carriage of the returning heir of the Baskervilles. | Nous traversions un pays vallonné, couvert de pâturages. Le toit de quelques maisons s’élevait au-dessus des frondaisons épaisses des arbres ; mais au-delà de cette campagne paisible, illuminée par les rayons du soleil couchant, la longue silhouette de la lande se détachait en noir sur l’azur du ciel. La voiture s’engagea dans un chemin de traverse. Nous gravîmes ainsi des sentiers abrupts, bordés de hauts talus tapissés de mousse et de scolopendres, où, pendant des siècles, le passage des roues avait creusé de profondes ornières. Des fougères rouillées par la rosée, des ronces aux baies sanglantes étincelaient aux derniers feux du soleil. Nous franchîmes un petit pont de granit et nous côtoyâmes un ruisseau qui fuyait rapidement sur un lit de cailloux grisâtres. La route et le ruisseau suivaient une vallée plantée de chênes rabougris et de sapins étiques. Baskerville saluait chaque tournant du chemin par une exclamation de surprise. Tout lui semblait beau, tandis que j’éprouvais une indéfinissable tristesse à l’aspect de cette campagne qui portait les stigmates irrécusables de l’hiver déjà prochain. |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |