Translations for occupied in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
Without another word, Lupin dragged me away once more, ran down the stairs and, once in the street, turned to the right, which took us past my flat again. Four doors further, he stopped at No. 92, a small, low-storied house, of which the ground-floor was occupied by the proprietor of a dram-shop, who stood smoking in his doorway, next to the entrance-passage. Lupin asked if Mr. Hargrove was at home. Sans en dire davantage, Lupin m’entraîna de nouveau, redescendit et, une fois dans la rue, tourna sur la droite, ce qui nous fit passer devant mon appartement. Quatre numéros plus loin, il s’arrêtait en face du 92, petite maison basse dont le rez-de-chaussée était occupé par un marchand de vins qui, justement, fumait sur le pas de sa porte, auprès du couloir d’entrée. Lupin s’informa si M. Dulâtre se trouvait chez lui.
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc
But there were ample signs that I had not come upon a false scent. This was certainly where the man lived. Some blankets rolled in a waterproof lay upon that very stone slab upon which neolithic man had once slumbered. The ashes of a fire were heaped in a rude grate. Beside it lay some cooking utensils and a bucket half-full of water. A litter of empty tins showed that the place had been occupied for some time, and I saw, as my eyes became accustomed to the chequered light, a pannikin and a half-full bottle of spirits standing in the corner. In the middle of the hut a flat stone served the purpose of a table, and upon this stood a small cloth bundle—the same, no doubt, which I had seen through the telescope upon the shoulder of the boy. It contained a loaf of bread, a tinned tongue, and two tins of preserved peaches. As I set it down again, after having examined it, my heart leaped to see that beneath it there lay a sheet of paper with writing upon it. I raised it, and this was what I read, roughly scrawled in pencil:— Une rapide inspection me montra qu’elle était habitée. Je vis des couvertures, doublées de toile cirée, étendues sur la large dalle de pierre où les hommes néolithiques avaient coutume de reposer. Des cendres s’amoncelaient dans un foyer rudimentaire. On avait placé dans un coin quelques ustensiles de cuisine et une jarre pleine d’eau. De vieilles boîtes de conserves mises en tas indiquaient que le lieu était occupé depuis assez longtemps, et, dès que mes yeux furent habitués à cette demi-obscurité, je distinguai une miche de pain et une bouteille de cognac entamées. Au centre de la hutte, une grande pierre plate remplaçait la table absente. On y avait posé un paquet enveloppé d’étoffe — le même sans doute qu’une heure auparavant le gamin portait sur ses épaules. Il contenait un morceau de pain frais, de la langue fumée et deux petits pots de confiture. Lorsque je le replaçai sur la pierre, après l’avoir examiné, je tressaillis à la vue d’une feuille de papier sur laquelle une main inexpérimentée avait, d’une grosse écriture, griffonné ces mots :
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle