Translations for pace in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
And Doctor Livesey shook hands with me through the stockade, nodded to Silver, and set off at a brisk pace into the wood. Et le docteur Livesey me serra les mains à travers la palissade, adressa un signe de tête à Silver, et d’un pas rapide s’enfonça dans le bois.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
And suddenly, not ten yards farther, we beheld them stop. A low cry arose. Silver doubled his pace, digging away with the foot of his crutch like one possessed, and next moment he and I had come also to a dead halt. Ils n’avaient pas fait dix toises, que nous les vîmes soudain s’arrêter. Un cri de désappointement retentit. Silver redoubla de vitesse, piochant comme un possédé avec le bout de sa béquille, et un instant plus tard, lui et moi nous arrêtions net également.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
With this to help me, I passed rapidly over what remained to me of my journey; and, sometimes walking, Sometimes running, impatiently drew near to the stockade. Yet, as I began to tread the grove that lies before it, I was not so thoughtless but that I slacked my pace and went a trifle warily. It would have been a poor end of my adventures to get shot down by my own party in mistake. Favorisé par cette circonstance, je franchis rapidement le reste du trajet ; dans mon impatience de me rapprocher de la palanque, je marchais et courais, alternativement. Toutefois, en pénétrant dans le bois qui la précède, je ne fus pas assez étourdi pour ne pas ralentir, et m’avançai avec plus de prudence. C’eût été piètrement finir mes aventures que d’attraper une balle des nôtres, par méprise.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
She shook with joy and began to pace the room, throwing sidelong glances at the bed, like a wild beast that does not for a moment take its eyes from its victim. And never had Lupin beheld greater hatred and savagery in any human being. Elle tremblait de joie, et elle se mit à marcher à travers la chambre avec des allures de bête fauve qui ne lâche pas de l’œil sa victime. Et jamais Lupin n’avait senti dans un être plus de haine et de sauvagerie.
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc
"Good!" cried d'Artagnan, "I will be there ten minutes before twelve." And he set off running as if the devil possessed him, hoping that he might yet find the stranger, whose slow pace could not have carried him far. — Bon ! lui cria d’Artagnan ; on y sera à midi moins dix minutes. Et il se mit à courir comme si le diable l’emportait, espérant retrouver encore son inconnu, que son pas tranquille ne devait pas avoir conduit bien loin.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
I could not doubt that this was the Miss Stapleton of whom I had been told, since ladies of any sort must be few upon the moor, and I remembered that I had heard some one describe her as being a beauty. The woman who approached me was certainly that, and of a most uncommon type. There could not have been a greater contrast between brother and sister, for Stapleton was neutral-tinted, with light hair and grey eyes, while she was darker than any brunette whom I have seen in England—slim, elegant, and tall. She had a proud, finely cut face, so regular that it might have seemed impassive were it not for the sensitive mouth and the beautiful dark, eager eyes. With her perfect figure and elegant dress she was, indeed, a strange apparition upon a lonely moorland path. Her eyes were on her brother as I turned, and then she quickened her pace towards me. I had raised my hat, and was about to make some explanatory remark, when her own words turned all my thoughts into a new channel. Je reconnus en elle miss Stapleton dont on m’avait parlé. Cela me fut aisé, car, indépendamment du petit nombre de femmes qui vivent sur la lande, on me l’avait dépeinte comme une personne d’une réelle beauté. La femme qui s’approchait de moi répondait au portrait qu’on m’avait tracé de la sœur du naturaliste. Impossible de concevoir un plus grand contraste entre un frère et une sœur. Stapleton était quelconque, avec ses cheveux blonds et ses yeux gris, tandis que la jeune fille avait ce teint chaud des brunes — si rare en Angleterre. Son visage un peu altier, mais finement modelé, aurait paru impassible dans sa régularité, sans l’expression sensuelle de la bouche et la vivacité de deux yeux noirs largement fendus. Sa taille parfaite, moulée dans une robe de coupe élégante, la faisait ressembler, sur ce chemin désert, à une étrange apparition. Au moment où je me retournais, elle regardait son frère. Alors elle hâta le pas. J’avais ôté mon chapeau et j’allais prononcer quelques mots d’explication, lorsque ses paroles imprimèrent une autre direction à mes pensées.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle
At a short distance, he saw against the darkness the yet darker outline of the chapel, the ruins of which towered above the path. A few drops of rain began to fall; and he heard a clock strike nine. He quickened his pace. There was a short descent; then the path rose again. And suddenly, he stopped once more. À une petite distance, il aperçut, dans l’obscurité, la silhouette plus noire de la chapelle dont les ruines dominaient le chemin de quelques mètres. Des gouttes de pluie commençaient à tomber, et il entendit une horloge frapper neuf coups. Il hâta le pas. Il y eut une courte descente, puis une montée. Et, brusquement, il s’arrêta de nouveau.
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc
The horses went like the wind, and in a few minutes they were at the gates of London. D'Artagnan imagined that on arriving in town the duke would slacken his pace, but it was not so. He kept on his way at the same rate, heedless about upsetting those whom he met on the road. In fact, in crossing the city two or three accidents of this kind happened; but Buckingham did not even turn his head to see what became of those he had knocked down. d'Artagnan followed him amid cries which strongly resembled curses. Les chevaux allaient comme le vent, et en quelques minutes ils furent aux portes de Londres. D’Artagnan avait cru qu’en arrivant dans la ville le duc allait ralentir l’allure du sien, mais il n’en fut pas ainsi ; il continua sa route à fond de train, s’inquiétant peu de renverser ceux qui étaient sur son chemin. En effet, en traversant la cité, deux ou trois accidents de ce genre arrivèrent ; mais Buckingham ne détourna pas même la tête pour regarder ce qu’étaient devenus ceux qu’il avait culbutés. D’Artagnan le suivait au milieu des cris qui ressemblaient fort à des malédictions.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
D'Artagnan shook his head, and set off at full speed. At Eccuis, the same scene was repeated. He found as provident a host and a fresh horse. He left his address as he had done before, and set off again at the same pace for Pontoise. At Pontoise he changed his horse for the last time, and at nine o'clock galloped into the yard of Treville's hotel. He had made nearly sixty leagues in little more than twelve hours. D’Artagnan fit signe de la tête que non et repartit à fond de train. À Écouis la même scène se répéta : il trouva un hôte aussi prévenant, un cheval frais et reposé, il laissa son adresse comme il l’avait fait, et repartit du même train pour Pontoise. À Pontoise, il changea une dernière fois de monture, et à neuf heures il entrait au grand galop dans la cour de l’hôtel de M. de Tréville. Il avait fait près de soixante lieues en douze heures.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
I was weary and spent, so my progress was not so fast as I wished; but at last I came into regions which I knew. There was the swamp of the pterodactyls upon my left; there in front of me was the glade of the iguanodons. Now I was in the last belt of trees which separated me from Fort Challenger. I raised my voice in a cheery shout to allay their fears. No answering greeting came back to me. My heart sank at that ominous stillness. I quickened my pace into a run. The zareba rose before me, even as I had left it, but the gate was open. I rushed in. In the cold, morning light it was a fearful sight which met my eyes. Our effects were scattered in wild confusion over the ground; my comrades had disappeared, and close to the smouldering ashes of our fire the grass was stained crimson with a hideous pool of blood. Rompu de fatigue, j’allais moins vite que je ne l’aurais voulu : à la fin, pourtant, j’arrivai dans une région que je connaissais. J’avais à ma gauche le marais des ptérodactyles ; en face de moi, la clairière des iguanodons. En franchissant le dernier rideau d’arbres qui me séparait de « Fort Challenger », je poussai des cris joyeux pour prévenir mes compagnons et pour les rassurer. Je n’en reçus pas de réponse. De silence me glaça. Je me mis à courir. La « zériba » m’apparut telle que je l’avais laissée ; mais la porte en était ouverte. Je m’élançai. La froide lumière du matin éclairait un affreux spectacle : tous nos bagages s’éparpillaient en désordre sur le sol : il n’y avait personne au camp ; près des cendres encore vives de notre foyer, une large flaque de sang rougissait l’herbe.
The Lost World, by Arthur Conan Doyle Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle
He quickened his pace until we had decreased the distance which divided us by about half. Then, still keeping a hundred yards behind, we followed into Oxford Street and so down Regent Street. Once our friends stopped and stared into a shop window, upon which Holmes did the same. An instant afterwards he gave a little cry of satisfaction, and, following the direction of his eager eyes, I saw that a hansom cab with a man inside which had halted on the other side of the street was now walking slowly onwards again. Holmes hâta le pas, jusqu’à ce que nous eussions diminué de moitié la distance qui nous séparait de nos nouveaux amis. Alors, laissant entre eux et nous un intervalle d’environ cent mètres, nous parcourûmes Oxford street, puis Regent street. Bientôt Holmes poussa un cri de joie. Je suivis la direction de son regard et je vis un hansom-cab , rangé le long du trottoir, reprendre sa marche en avant. Un voyageur l’occupait…
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle