Translations for pardon in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
"Yes. The cardinal, as it appears, pursues he and persecutes her more than ever. He cannot pardon her the history of the Saraband. You know the history of the Saraband?" — Oui. M. le cardinal, à ce qu’il paraît, la poursuit et la persécute plus que jamais. Il ne peut pas lui pardonner l’histoire de la sarabande. Vous savez l’histoire de la sarabande ?
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“I must seem to you very absurd,” he added, “but pardon me, and believe that I shall never forget the patience with which you have listened to me.” —Je dois vous paraître bien ridicule, ajouta-t-il, excusez-moi encore pour cela, et croyez que je n'oublierai jamais la patience avec laquelle vous voulez bien m'écouter.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
It is to my own generation that I speak, to those for whom the theories of M. de Voltaire happily exist no longer, to those who, like myself, realize that humanity, for these last fifteen years, has been in one of its most audacious moments of expansion. The science of good and evil is acquired forever; faith is refashioned, respect for sacred things has returned to us, and if the world has not all at once become good, it has at least become better. The efforts of every intelligent man tend in the same direction, and every strong will is harnessed to the same principle: Be good, be young, be true! Evil is nothing but vanity, let us have the pride of good, and above all let us never despair. Do not let us despise the woman who is neither mother, sister, maid, nor wife. Do not let us limit esteem to the family nor indulgence to egoism. Since “there is more joy in heaven over one sinner that repenteth than over ninety and nine just persons that need no repentance,” let us give joy to heaven. Heaven will render it back to us with usury. Let us leave on our way the alms of pardon for those whom earthly desires have driven astray, whom a divine hope shall perhaps save, and, as old women say when they offer you some homely remedy of their own, if it does no good it will do no harm. C'est à ma génération que je m'adresse, à ceux pour qui les théories de M. de Voltaire n'existent heureusement plus, à ceux qui, comme moi, comprennent que l'humanité est depuis quinze ans dans un de ses plus audacieux élans. La science du bien et du mal est à jamais acquise; la foi se reconstruit, le respect des choses saintes nous est rendu, et si le monde ne se fait pas tout à fait bon, il se fait du moins meilleur. Les efforts de tous les hommes intelligents tendent au même but, et toutes les grandes volontés s'attellent au même principe: soyons bons, soyons jeunes, soyons vrais! Le mal n'est qu'une vanité, ayons l'orgueil du bien, et surtout ne désespérons pas. Ne méprisons pas la femme qui n'est ni mère, ni sœur, ni fille, ni épouse. Ne réduisons pas l'estime à la famille, l'indulgence à l'égoïsme. Puisque le ciel est plus en joie pour le repentir d'un pécheur que pour cent justes qui n'ont jamais péché, essayons de réjouir le ciel. Il peut nous le rendre avec usure. Laissons sur notre chemin l'aumône de notre pardon à ceux que les désirs terrestres ont perdus, que sauvera peut-être une espérance divine, et, comme disent les bonnes vieilles femmes quand elles conseillent un remède de leur façon, si cela ne fait pas de bien, cela ne peut pas faire de mal.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Be kind enough to pardon me, madame; but in this circumstance I am but the instrument which the king employs. Has not his Majesty just left you, and has he not himself asked you to prepare for this visit?" — Veuillez me le pardonner, madame ; mais dans cette circonstance, je ne suis que l’instrument dont le roi se sert. Sa Majesté ne sort-elle pas d’ici et ne vous a-t-elle pas invitée elle-même à vous préparer à cette visite ?
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
People have always associated the country with love, and they have done well; nothing affords so fine a frame for the woman whom one loves as the blue sky, the odours, the flowers, the breeze, the shining solitude of fields, or woods. However much one loves a woman, whatever confidence one may have in her, whatever certainty her past may offer us as to her future, one is always more or less jealous. If you have been in love, you must have felt the need of isolating from this world the being in whom you would live wholly. It seems as if, however indifferent she may be to her surroundings, the woman whom one loves loses something of her perfume and of her unity at the contact of men and things. As for me, I experienced that more than most. Mine was not an ordinary love; I was as much in love as an ordinary creature could be, but with Marguerite Gautier; that is to say, that at Paris, at every step, I might elbow the man who had already been her lover or who was about to, while in the country, surrounded by people whom we had never seen and who had no concern with us, alone with nature in the spring-time of the year, that annual pardon, and shut off from the noise of the city, I could hide my love, and love without shame or fear. On a toujours associé la campagne à l'amour et l'on a bien fait: rien n'encadre la femme que l'on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante des champs ou des bois. Si fort que l'on aime une femme, quelque confiance que l'on ait en elle, quelque certitude sur l'avenir que vous donne son passé, on est toujours plus ou moins jaloux. Si vous avez été amoureux, sérieusement amoureux, vous avez dû éprouver ce besoin d'isoler du monde l'être dans lequel vous vouliez vivre tout entier. Il semble que, si indifférente qu'elle soit à ce qui l'entoure, la femme aimée perde de son parfum et de son unité au contact des hommes et des choses. Moi, j'éprouvais cela bien plus que tout autre. Mon amour n'était pas un amour ordinaire; j'étais amoureux autant qu'une créature ordinaire peut l'être, mais de Marguerite Gautier, c'est-à-dire qu'à Paris, à chaque pas, je pouvais coudoyer un homme qui avait été l'amant de cette femme ou qui le serait le lendemain. Tandis qu'à la campagne, au milieu de gens que nous n'avions jamais vus et qui ne s'occupaient pas de nous, au sein d'une nature toute parée de son printemps, ce pardon annuel, et séparée du bruit de la ville, je pouvais cacher mon amour et aimer sans honte et sans crainte.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Pardon, pardon,” said he; “sorrow sharpens the sensations. Let me stay here for a few minutes longer, long enough to dry my eyes, so that the idlers in the street may not look upon it as a curiosity to see a big fellow like me crying. You have made me very happy by giving me this book. I do not know how I can ever express my gratitude to you.” —Pardon, pardon, me dit-il, la douleur exagère les sensations. Laissez-moi rester quelques minutes encore, le temps de m'essuyer les yeux, pour que les badauds de la rue ne regardent pas comme une curiosité ce grand garçon qui pleure. Vous venez de me rendre bien heureux en me donnant ce livre; je ne saurai jamais comment reconnaître ce que je vous dois.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“If that is what you think of me, madame, I have only to ask your pardon for my indiscretion, and to take leave of you with the assurance that it shall not occur again.” —Si c'est là ce que vous pensez de moi, madame, il ne me reste plus qu'à vous demander pardon de mon indiscrétion, et à prendre congé de vous en vous assurant qu'elle ne se renouvellera pas.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Pardon, pardon,” I murmured. “I understood it all, but I wanted to have it from your own lips, my beloved Marguerite. Forget the rest and remember only one thing: that we belong to one another, that we are young, and that we love. Marguerite, do with me as you will; I am your slave, your dog, but in the name of heaven tear up the letter which I wrote to you and do not make me leave you to-morrow; it would kill me.” —Pardon, pardon, murmurai-je, j'avais compris tout cela, mais je voulais te l'entendre dire, ma Marguerite adorée. Oublions le reste et ne nous souvenons que d'une chose: c'est que nous sommes l'un à l'autre, que nous sommes jeunes et que nous nous aimons. «Marguerite, fais de moi tout ce que tu voudras, je suis ton esclave, ton chien; mais, au nom du ciel, déchire la lettre que je t'ai écrite et ne me laisse pas partir demain; j'en mourrais.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
Here is Christianity with its marvellous parable of the Prodigal Son to teach us indulgence and pardon. Jesus was full of love for souls wounded by the passions of men; he loved to bind up their wounds and to find in those very wounds the balm which should heal them. Thus he said to the Magdalen: “Much shall be forgiven thee because thou hast loved much,” a sublimity of pardon which can only have called forth a sublime faith. Le christianisme est là avec sa merveilleuse parabole de l'enfant prodigue pour nous conseiller l'indulgence et le pardon. Jésus était plein d'amour pour ces âmes blessées par les passions des hommes, et dont il aimait à panser les plaies en tirant le baume qui devait les guérir des plaies elles-mêmes. Ainsi, il disait à Madeleine: «Il te sera beaucoup remis parce que tu as beaucoup aimé», sublime pardon qui devait éveiller une foi sublime.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Ax your pardon, sir," returned one of the men; "you're pretty free with some of the rules, maybe you'll kindly keep an eye upon the rest. This crew's dissatisfied; this crew don't vally bullying a marlinspike; this crew has its rights like other crews, I'll make so free as that, and by your own rules I take it we can talk together. I ax your pardon, sir, acknowledging you for to be capting at this present, but I claim my right and steps outside for a council." — Demande pardon, capitaine, répliqua l’un des hommes, tu en prends par trop à ton aise avec certaines de nos règles. Cet équipage est mécontent ; cet équipage n’aime pas l’intimidation plus que les coups d’épissoir ; cet équipage a ses droits comme tous les équipages, je prends la liberté de le dire ; et de tes propres règles, je retiens que nous pouvons causer ensemble. Je te demande pardon, reconnaissant que tu es mon capitaine en ce moment ; mais je réclame mon droit, et je sors pour aller tenir conseil.
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson
"To beg him to assist me in finding my wife. I believed I had a right to endeavor to find her. I was deceived, as it appears, and I ask your pardon." — De le prier de m’aider à retrouver ma femme. Je croyais que j’avais le droit de la réclamer ; je me trompais, à ce qu’il paraît, et je vous en demande bien pardon.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
Then, when God allows love to a courtesan, that love, which at first seems like a pardon, becomes for her almost without penitence. When a creature who has all her past to reproach herself with is taken all at once by a profound, sincere, irresistible love, of which she had never felt herself capable; when she has confessed her love, how absolutely the man whom she loves dominates her! How strong he feels with his cruel right to say: You do no more for love than you have done for money. They know not what proof to give. A child, says the fable, having often amused himself by crying “Help! a wolf!” in order to disturb the labourers in the field, was one day devoured by a Wolf, because those whom he had so often deceived no longer believed in his cries for help. It is the same with these unhappy women when they love seriously. They have lied so often that no one will believe them, and in the midst of their remorse they are devoured by their love. Puis, quand Dieu permet l'amour à une courtisane, cet amour, qui semble d'abord un pardon, devient presque toujours pour elle un châtiment. Il n'y a pas d'absolution sans pénitence. Quand une créature, qui a tout son passé à se reprocher, se sent tout à coup prise d'un amour profond, sincère, irrésistible, dont elle ne se fût jamais crue capable; quand elle a avoué cet amour, comme l'homme aimé ainsi la domine! Comme il se sent fort avec ce droit cruel de lui dire: «vous ne faites pas plus pour de l'amour que vous n'avez fait pour de l'argent.» Alors elles ne savent quelles preuves donner. Un enfant, raconte la fable, après s'être longtemps amusé dans un champ à crier: «au secours!» Pour déranger des travailleurs, fut dévoré un jour par un ours, sans que ceux qu'il avait trompés si souvent crussent cette fois aux cris réels qu'il poussait. Il en est de même de ces malheureuses filles, quand elles aiment sérieusement. Elles ont menti tant de fois qu'on ne veut plus les croire, et elles sont, au milieu de leurs remords, dévorées par leur amour.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
At that there was only one thing to do, to show him the proof that since I was your mistress I had spared no sacrifice to be faithful to you without asking for more money than you had to give me. I showed him the pawn tickets, the receipts of the people to whom I had sold what I could not pawn; I told him of my resolve to part with my furniture in order to pay my debts, and live with you without being a too heavy expense. I told him of our happiness, of how you had shown me the possibility of a quieter and happier life, and he ended by giving in to the evidence, offering me his hand, and asking pardon for the way in which he had at first approached me. «À cela, il n'y avait qu'une chose à répondre, n'est-ce pas? C'était de montrer les preuves que depuis que j'étais votre maîtresse, aucun sacrifice ne m'avait coûté pour vous rester fidèle sans vous demander plus d'argent que vous ne pouviez en donner. Je montrai les reconnaissances du Mont-de-Piété, les reçus des gens à qui j'avais vendu les objets que je n'avais pu engager, je fis part à votre père de ma résolution de me défaire de mon mobilier pour payer mes dettes, et pour vivre avec vous sans vous être une charge trop lourde. Je lui racontai notre bonheur, la révélation que vous m'aviez donnée d'une vie plus tranquille et plus heureuse, et il finit par se rendre à l'évidence, et me tendre la main, en me demandant pardon de la façon dont il s'était présenté d'abord.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"I beg your pardon, madame, but I did not receive your letter until very late." « Je vous demande pardon, madame, votre lettre ne m’a été remise que tard.
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc
“I have come to trouble you, Armand, for I have two things to ask: pardon for what I said yesterday to Mlle. Olympe, and pity for what you are perhaps still ready to do to me. Intentionally or not, since your return you have given me so much pain that I should be incapable now of enduring a fourth part of what I have endured till now. You will have pity on me, won’t you? And you will understand that a man who is not heartless has other nobler things to do than to take his revenge upon a sick and sad woman like me. See, take my hand. I am in a fever. I left my bed to come to you, and ask, not for your friendship, but for your indifference.” —Je viens vous ennuyer, Armand, parce que j'ai deux choses à vous demander: pardon de ce que j'ai dit hier à Mademoiselle Olympe, et grâce de ce que vous êtes peut-être prêt à me faire encore. Volontairement ou non, depuis votre retour, vous m'avez fait tant de mal, que je serais incapable maintenant de supporter le quart des émotions que j'ai supportées jusqu'à ce matin. Vous aurez pitié de moi, n'est-ce pas? et vous comprendrez qu'il y a pour un homme de cœur de plus nobles choses à faire que de se venger d'une femme malade et triste comme je le suis. Tenez, prenez ma main. J'ai la fièvre, j'ai quitté mon lit pour venir vous demander, non pas votre amitié, mais votre indifférence.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“I have come to trouble you, Armand, for I have two things to ask: pardon for what I said yesterday to Mlle. Olympe, and pity for what you are perhaps still ready to do to me. Intentionally or not, since your return you have given me so much pain that I should be incapable now of enduring a fourth part of what I have endured till now. You will have pity on me, won’t you? And you will understand that a man who is not heartless has other nobler things to do than to take his revenge upon a sick and sad woman like me. See, take my hand. I am in a fever. I left my bed to come to you, and ask, not for your friendship, but for your indifference.” —Je viens vous ennuyer, Armand, parce que j'ai deux choses à vous demander: pardon de ce que j'ai dit hier à Mademoiselle Olympe, et grâce de ce que vous êtes peut-être prêt à me faire encore. Volontairement ou non, depuis votre retour, vous m'avez fait tant de mal, que je serais incapable maintenant de supporter le quart des émotions que j'ai supportées jusqu'à ce matin. Vous aurez pitié de moi, n'est-ce pas? et vous comprendrez qu'il y a pour un homme de cœur de plus nobles choses à faire que de se venger d'une femme malade et triste comme je le suis. Tenez, prenez ma main. J'ai la fièvre, j'ai quitté mon lit pour venir vous demander, non pas votre amitié, mais votre indifférence.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“I have come to trouble you, Armand, for I have two things to ask: pardon for what I said yesterday to Mlle. Olympe, and pity for what you are perhaps still ready to do to me. Intentionally or not, since your return you have given me so much pain that I should be incapable now of enduring a fourth part of what I have endured till now. You will have pity on me, won’t you? And you will understand that a man who is not heartless has other nobler things to do than to take his revenge upon a sick and sad woman like me. See, take my hand. I am in a fever. I left my bed to come to you, and ask, not for your friendship, but for your indifference.” —Je viens vous ennuyer, Armand, parce que j'ai deux choses à vous demander: pardon de ce que j'ai dit hier à Mademoiselle Olympe, et grâce de ce que vous êtes peut-être prêt à me faire encore. Volontairement ou non, depuis votre retour, vous m'avez fait tant de mal, que je serais incapable maintenant de supporter le quart des émotions que j'ai supportées jusqu'à ce matin. Vous aurez pitié de moi, n'est-ce pas? et vous comprendrez qu'il y a pour un homme de cœur de plus nobles choses à faire que de se venger d'une femme malade et triste comme je le suis. Tenez, prenez ma main. J'ai la fièvre, j'ai quitté mon lit pour venir vous demander, non pas votre amitié, mais votre indifférence.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"Order it as you please, sire; you possess the right of pardon." — Ordonnez, Sire, dit-il, vous avez le droit de grâce.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"Order it as you please, sire; you possess the right of pardon." — Ordonnez, Sire, dit-il, vous avez le droit de grâce.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“I implore your forgiveness, mademoiselle. All these happenings are a trifle sudden and this behaviour rather out of the way. But circumstances often compel us to deeds of which our conscience does not approve. Pray pardon me.” « Je vous demande pardon, Mademoiselle. Tous ces incidents sont un peu brusques, et cette façon d’agir plutôt anormale. Mais les circonstances nous entraînent souvent à des actes que notre conscience n’approuve pas. Excusez-moi. »
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc
“I may have spoken too warmly, sir,” said he, “and if I have I am sure that I beg your pardon. At the same time, I was very much surprised when I heard you two gentlemen come back this morning and learned that you had been chasing Selden. The poor fellow has enough to fight against without my putting more upon his track.” « — Peut-être, répondit-il, ai-je eu le tort de m’emporter… S’il en est ainsi, veuillez me pardonner, sir Henry. Tout de même j’ai été fort surpris d’apprendre ce matin que vous aviez donné la chasse à Selden. Le pauvre garçon a déjà bien assez de monde à ses trousses, sans que j’en grossisse le nombre par mon fait.
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle