Translations for pity in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
Three months afterward a man took pity on her and tried to heal her, morally and physically; but the last shock had been too violent, and Louise died of it. The mother still lives; how? God knows. | Trois mois après, un homme se prit de pitié pour elle et entreprit sa guérison morale et physique; mais la dernière secousse avait été trop violente, et Louise mourut des suites de la fausse couche qu'elle avait faite. La mère vit encore: comment? Dieu le sait. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“Have you no parents, no friends? Hope. Go and see them; they will console you. As for me, I can only pity you.” | —N'avez-vous pas des parents, des amis? Espérez, voyez-les, et ils vous consoleront, car moi je ne puis que vous plaindre. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
As for me, though my initials did not occur on any of Marguerite’s belongings, that instinctive indulgence, that natural pity that I have already confessed, set me thinking over her death, more perhaps than it was worth thinking over. I remembered having often met Marguerite in the Bois, where she went regularly every day in a little blue coupe drawn by two magnificent bays, and I had noticed in her a distinction quite apart from other women of her kind, a distinction which was enhanced by a really exceptional beauty. | Quant à moi, quoique mon chiffre ne se retrouvât sur aucun des nécessaires de Marguerite, cette indulgence instinctive, cette pitié naturelle que je viens d'avouer tout à l'heure me faisaient songer à sa mort plus longtemps qu'elle ne méritait peut-être que j'y songeasse. Je me rappelais avoir rencontré Marguerite très souvent aux Champs-Elysées, où elle venait assidûment, tous les jours, dans un petit coupé bleu attelé de deux magnifiques chevaux bais, et avoir alors remarqué en elle une distinction peu commune à ses semblables, distinction que rehaussait encore une beauté vraiment exceptionnelle. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
Manon Lescaut is a touching story. I know every detail of it, and yet whenever I come across the volume the same sympathy always draws me to it; I open it, and for the hundredth time I live over again with the heroine of the Abbe Prevost. Now this heroine is so true to life that I feel as if I had known her; and thus the sort of comparison between her and Marguerite gave me an unusual inclination to read it, and my indulgence passed into pity, almost into a kind of love for the poor girl to whom I owed the volume. Manon died in the desert, it is true, but in the arms of the man who loved her with the whole energy of his soul; who, when she was dead, dug a grave for her, and watered it with his tears, and buried his heart in it; while Marguerite, a sinner like Manon, and perhaps converted like her, had died in a sumptuous bed (it seemed, after what I had seen, the bed of her past), but in that desert of the heart, a more barren, a vaster, a more pitiless desert than that in which Manon had found her last resting-place. | Certes, Manon Lescaut est une touchante histoire dont pas un détail ne m'est inconnu, et cependant lorsque je trouve ce volume sous ma main, ma sympathie pour lui m'attire toujours, je l'ouvre et pour la centième fois je revis avec l'héroïne de l'abbé Prévost. Or, cette héroïne est tellement vraie, qu'il me semble l'avoir connue. Dans ces circonstances nouvelles, l'espèce de comparaison faite entre elle et Marguerite donnait pour moi un attrait inattendu à cette lecture, et mon indulgence s'augmenta de pitié, presque d'amour pour la pauvre fille à l'héritage de laquelle je devais ce volume. Manon était morte dans un désert, il est vrai, mais dans les bras de l'homme qui l'aimait avec toutes les énergies de l'âme, qui, morte, lui creusa une fosse, l'arrosa de ses larmes et y ensevelit son cœur; tandis que Marguerite, pécheresse comme Manon, et peut-être convertie comme elle, était morte au sein d'un luxe somptueux, s'il fallait en croire ce que j'avais vu, dans le lit de son passé, mais aussi au milieu de ce désert du cœur, bien plus aride, bien plus vaste, bien plus impitoyable que celui dans lequel avait été enterrée Manon. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
Then from Manon and Marguerite my mind wandered to those whom I knew, and whom I saw singing along the way which led to just such another death. Poor souls! if it is not right to love them, is it not well to pity them? You pity the blind man who has never seen the daylight, the deaf who has never heard the harmonies of nature, the dumb who has never found a voice for his soul, and, under a false cloak of shame, you will not pity this blindness of heart, this deafness of soul, this dumbness of conscience, which sets the poor afflicted creature beside herself and makes her, in spite of herself, incapable of seeing what is good, of bearing the Lord, and of speaking the pure language of love and faith. | Puis de Manon et de Marguerite ma pensée se reportait sur celles que je connaissais et que je voyais s'acheminer en chantant vers une mort presque toujours invariable. Pauvres créatures! Si c'est un tort de les aimer, c'est bien le moins qu'on les plaigne. Vous plaignez l'aveugle qui n'a jamais vu les rayons du jour, le sourd qui n'a jamais entendu les accords de la nature, le muet qui n'a jamais pu rendre la voix de son âme, et, sous un faux prétexte de pudeur, vous ne voulez pas plaindre cette cécité du cœur, cette surdité de l'âme, ce mutisme de la conscience qui rendent folle la malheureuse affligée et qui la font malgré elle incapable de voir le bien, d'entendre le Seigneur et de parler la langue pure de l'amour et de la foi. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"If you could see my heart," said d'Artagnan, "you would there read so much curiosity that you would pity me and so much love that you would instantly satisfy my curiosity. We have nothing to fear from those who love us." | — Si vous pouviez voir mon cœur tout à découvert, dit d’Artagnan, vous y liriez tant de curiosité que vous auriez pitié de moi, et tant d’amour que vous satisferiez à l’instant même ma curiosité. On n’a rien à craindre de ceux qui vous aiment. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"Oh, my God, my God!" cried Anne of Austria, "this is more than I can bear. In the name of heaven, Duke, leave me, go! I do not know whether I love you or love you not; but what I know is that I will not be perjured. Take pity on me, then, and go! Oh, if you are struck in France, if you die in France, if I could imagine that your love for me was the cause of your death, I could not console myself; I should run mad. Depart then, depart, I implore you!" | — Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! s’écria Anne d’Autriche, c’est plus que je n’en puis supporter. Tenez, duc, au nom du ciel, partez, retirez-vous ; je ne sais si je vous aime ou si je ne vous aime pas ; mais ce que je sais, c’est que je ne serai point parjure. — Prenez donc pitié de moi et partez. Oh ! si vous êtes frappé en France, si vous mourez en France, si je pouvais supposer que votre amour pour moi fût cause de votre mort, je ne me consolerais jamais : j’en deviendrais folle. Partez donc, partez, je vous en supplie… |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
I ran to him at once, calling to my mother. But haste was all in vain. The captain had been struck dead by thundering apoplexy. It is a curious thing to understand, for I had certainly never liked the man, though of late I had begun to pity him, but as soon as I saw that he was dead I burst into a flood of tears. It was the second death I had known, and the sorrow of the first was still fresh in my heart. | Je courus à lui, tout en appelant ma mère. Mais notre empressement fut vain. Frappé d’apoplexie foudroyante, le capitaine avait succombé. Chose singulière à dire, bien que sur la fin il éveillât ma pitié, jamais certes je ne l’avais aimé ; pourtant, dès que je le vis mort, j’éclatai en sanglots. C’était le second décès que je voyais, et le chagrin dû au premier était encore tout frais dans mon cœur. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
I do not know much about religion, but I think that God will know that my tears were genuine, my prayers fervent, my alms-giving sincere, and that he will have pity on her who, dying young and beautiful, has only had me to close her eyes and put her in her shroud. | «Je ne me connais pas bien en religion, mais je pense que le bon Dieu reconnaîtra que mes larmes étaient vraies, ma prière fervente, mon aumône sincère, et qu'il aura pitié de celle, qui, morte jeune et belle, n'a eu que moi pour lui fermer les yeux et l'ensevelir.» |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
I read these urgent and repeated letters, and tore them in pieces, without telling Marguerite what they contained and without advising her to see the old man again, though I was half inclined to, so much did I pity him, but I was afraid lest, if I so advised her she should think that I wished the duke, not merely to come and see her again, but to take over the expenses of the house; I feared, above all, that she might think me capable of shirking the responsibilities of every consequence to which her love for me might lead her. | J'avais donc lu ces lettres pressantes et réitérées, et je les avais déchirées, sans dire à Marguerite ce qu'elles contenaient, et sans lui conseiller de revoir le vieillard, quoiqu'un sentiment de pitié pour la douleur du pauvre homme m'y portât: mais je craignais qu'elle ne vit dans ce conseil le désir, en faisant reprendre au duc ses anciennes visites, de lui faire reprendre les charges de la maison; je redoutais par-dessus tout qu'elle me crût capable de dénier la responsabilité de sa vie dans toutes les conséquences où son amour pour moi pouvait l'entraîner. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
I began to think over this poor girl’s life, and my love for her was mingled with a great pity. I walked to and fro in the room, thinking over things, when Prudence entered. | Pour moi, je me mis à réfléchir sur la vie de cette fille, et mon amour s'augmenta de pitié. Je me promenais à grands pas dans cette chambre, tout en songeant, quand Prudence entra. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“What a pity it wouldn’t stay!” sighed the Lory, as soon as it was quite out of sight; and an old Crab took the opportunity of saying to her daughter “Ah, my dear! Let this be a lesson to you never to lose your temper!” “Hold your tongue, Ma!” said the young Crab, a little snappishly. “You’re enough to try the patience of an oyster!” | “Quel dommage qu’elle ne soit pas restée!” dit en soupirant le Lory, sitôt que la Souris eut disparu. Un vieux crabe, profitant de l’occasion, dit à son fils: “Mon enfant, que cela vous serve de leçon, et vous apprenne à ne vous emporter jamais!” “Taisez-vous donc, papa,” dit le jeune crabe d’un ton aigre. “Vous feriez perdre patience à une huître.” |
Alice’s Adventures in Wonderland, by Lewis Carroll | Aventures d’Alice au Pays des Merveilles, par Lewis Carroll |
"I wrote my articles, and thought little more of the matter until, some time later, I backed a bill for a friend, and had a writ served upon me for £25. I was at my wits' end where to get the money, but a sudden idea came to me. I begged a fortnight's grace from the creditor, asked for a holiday from my employers, and spent the time in begging in the city under my disguise. In ten days I had the money, and had paid the debt. "Well, you can imagine how hard it was to settle down to arduous work at £2 a week, when I knew that I could earn as much in a day by smearing my face with a little paint, laying my cap on the ground, and sitting still. It was a long fight between my pride and the money, but the dollars won at last, and I threw up reporting, and sat day after day in the corner which I had first chosen, inspiring pity by my ghastly face, and filling my pockets with coppers. Only one man knew my secret. He was the keeper of a low den in which I used to lodge in Swandam Lane, where I could every morning emerge as a squalid beggar, and in the evenings transform myself into a well-dressed man about town. This fellow, a Lascar, was well paid by me for his rooms, so that I knew that my secret was safe in his possession. "Well, very soon I found that I was saving considerable sums of money. I do not mean that any beggar in the streets of London could earn £700 a year—which is less than my average takings—but I had exceptional advantages in my power of making up, and also in a facility of repartee, which improved by practice, and made me quite a recognized character in the city. All day a stream of pennies, varied by silver, poured in upon me, and it was a very bad day in which I failed to take £2. | J’écrivis mes articles et je ne pensais guère plus à cette histoire jusqu’à ce que, ayant un jour donné ma signature à vue, pour obliger un ami, je fusse assigné pour une somme de vingt-cinq livres. Je ne savais où trouver cet argent, lorsque soudain il me vint une idée. Je demandai à mon créancier un délai de quinze jours, à mes chefs un congé, et je passai, déguisé en mendiant, mes journées à demander l’aumône dans la Cité. En dix jours j’avais recueilli de quoi payer ma dette. Vous pensez bien qu’il était dur de se mettre à un travail sérieux, aux appointements de deux livres par mois, lorsque je savais pouvoir en gagner tout autant dans un jour, sans bouger, en me barbouillant le visage d’un peu de peinture et en mettant ma casquette par terre à côté de moi. Il se livra un long combat entre ma vanité et l’amour de l’argent, mais les dollars eurent le dessus. Je renonçai au reportage et chaque jour je vins m’asseoir dans le coin que j’avais d’abord choisi et où j’inspirai pitié grâce à ma figure blafarde. Pendant ce temps ma poche se remplissait de sous. Un seul homme connaissait mon secret. C’était le propriétaire d’un antre de Swandam-Lane, dans lequel je logeais. Chaque matin, j’en sortais déguisé en mendiant sordide et chaque soir, transformé en homme comme il faut. Je payais largement mon loyer à cet homme, un certain Lascar, de sorte que je savais mon secret bien gardé. Je m’aperçus vite que je gagnais beaucoup. Ce n’est pas qu’un mendiant de Londres puisse se faire toujours sept cent livres par an, moins que ma moyenne ; mais j’avais en mon pouvoir un don exceptionnel d’imitation et aussi une facilité de repartie qui s’accrut encore par la pratique et fit de moi un personnage marquant dans la Cité. Toute la journée un flot de sous mêlés de pièces blanches tombait sur moi et il était bien rare que je ne recueillisse pas au moins deux livres. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
Isa Whitney, brother of the late Elias Whitney, D.D., Principal of the Theological College of St. George's, was much addicted to opium. The habit grew upon him, as I understand, from some foolish freak when he was at college; for having read De Quincey's description of his dreams and sensations, he had drenched his tobacco with laudanum in an attempt to produce the same effects. He found, as so many more have done, that the practice is easier to attain than to get. rid of, and for many years he continued to be a slave to the drug, an object of mingled horror and pity to his friends and relatives. I can see him now, with yellow, pasty face, drooping lids, and pin-point pupils, all huddled in a chair, the wreck and ruin of a noble man. | Isa Whitney, frère du défunt Elias Whitney, docteur en théologie, principal de l’école de Théologie de Saint-Georges, s’adonnait à l’opium. Il paraît qu’il contracta ce vice au collège, à la suite d’une ridicule espièglerie. Il avait lu la description des rêves et sensations de Quincey, et, pour produire les mêmes résultats à son profit, il avait inondé son tabac de laudanum. Il découvrit, comme beaucoup d’autres, qu’il est plus facile de prendre une habitude que de s’en débarrasser, et, pendant plusieurs années, lui, qui avait été un homme respectable, devint, sous l’empire de cette passion, un objet d’horreur et de pitié pour ses parents et amis. Je le vois encore, assis, tout ramassé sur lui-même ; je vois son teint jaune et empâté, ses paupières lourdes, ses pupilles réduites à la dimension de pointes d’épingles ; en un mot, l’image de la dégradation. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"Alas, alas!" said he to himself, "misfortune is over my head; my wife must have committed some frightful crime. They believe me her accomplice, and will punish me with her. She must have spoken; she must have confessed everything--a woman is so weak! A dungeon! The first he comes to! That's it! A night is soon passed; and tomorrow to the wheel, to the gallows! Oh, my God, my God, have pity on me!" | — Hélas ! hélas ! se dit-il, le malheur est sur ma tête ; ma femme aura commis quelque crime effroyable ; on me croit son complice et l’on me punira avec elle : elle aura parlé, elle aura avoué qu’elle m’avait tout dit ; une femme, c’est si faible ! Un cachot ! le premier venu ! c’est cela ! une nuit est bientôt passée ; et demain, à la roue, à la potence ! Oh ! mon Dieu ! mon Dieu ! ayez pitié de moi ! |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
While I was thus looking and wondering, in a calm moment when the ship was still, Israel Hands turned partly round, and with a low moan, writhed himself back to the position in which I had seen him first. The moan, which told of pain and deadly weakness, and the way in which his jaw hung open, went right to my heart. But when I remembered the talk I had overheard from the apple barrel, all pity left me. I walked aft until I reached the mainmast. | Je regardais ce spectacle avec étonnement, lorsque dans un intervalle de calme où le navire se tenait tranquille, Israël Hands se tourna à demi, et avec un gémissement sourd et en se tortillant, reprit la position dans laquelle je l’avais vu d’abord. Son gémissement, qui décelait une douleur et une faiblesse extrêmes, et la vue de sa mâchoire pendante, émurent ma compassion. Mais en me remémorant les propos que j’avais ouïs, caché dans ma barrique de pommes, toute pitié m’abandonna. Je m’avançai jusqu’au grand mât. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
While I was thus looking and wondering, in a calm moment when the ship was still, Israel Hands turned partly round, and with a low moan, writhed himself back to the position in which I had seen him first. The moan, which told of pain and deadly weakness, and the way in which his jaw hung open, went right to my heart. But when I remembered the talk I had overheard from the apple barrel, all pity left me. I walked aft until I reached the mainmast. | Je regardais ce spectacle avec étonnement, lorsque dans un intervalle de calme où le navire se tenait tranquille, Israël Hands se tourna à demi, et avec un gémissement sourd et en se tortillant, reprit la position dans laquelle je l’avais vu d’abord. Son gémissement, qui décelait une douleur et une faiblesse extrêmes, et la vue de sa mâchoire pendante, émurent ma compassion. Mais en me remémorant les propos que j’avais ouïs, caché dans ma barrique de pommes, toute pitié m’abandonna. Je m’avançai jusqu’au grand mât. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
"Can I be of service to your Majesty?" said all at once a voice full of sweetness and pity. | — Ne puis-je donc être bonne à rien à Votre Majesté ? dit tout à coup une voix pleine de douceur et de pitié. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
“What a pretty creature! It would be a pity if any harm were to come to her. Luckily, Arsène Lupin is keeping his weather-eye open.” | « Jolie créature ! il serait dommage qu’il lui arrivât malheur. Heureusement, ce brave Arsène veille au grain. » |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
“I have come to trouble you, Armand, for I have two things to ask: pardon for what I said yesterday to Mlle. Olympe, and pity for what you are perhaps still ready to do to me. Intentionally or not, since your return you have given me so much pain that I should be incapable now of enduring a fourth part of what I have endured till now. You will have pity on me, won’t you? And you will understand that a man who is not heartless has other nobler things to do than to take his revenge upon a sick and sad woman like me. See, take my hand. I am in a fever. I left my bed to come to you, and ask, not for your friendship, but for your indifference.” | —Je viens vous ennuyer, Armand, parce que j'ai deux choses à vous demander: pardon de ce que j'ai dit hier à Mademoiselle Olympe, et grâce de ce que vous êtes peut-être prêt à me faire encore. Volontairement ou non, depuis votre retour, vous m'avez fait tant de mal, que je serais incapable maintenant de supporter le quart des émotions que j'ai supportées jusqu'à ce matin. Vous aurez pitié de moi, n'est-ce pas? et vous comprendrez qu'il y a pour un homme de cœur de plus nobles choses à faire que de se venger d'une femme malade et triste comme je le suis. Tenez, prenez ma main. J'ai la fièvre, j'ai quitté mon lit pour venir vous demander, non pas votre amitié, mais votre indifférence. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"Not a bit, doctor. Stay where you are. I am lost without my Boswell. And this promises to be interesting. It would be a pity to miss it." | — Pas du tout, docteur. Je vous prie au contraire de rester. Je me sens perdu sans mon Boswell et cette affaire promet d’être intéressante ; ce serait vraiment dommage de ne pas la connaître. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
You had only been gone an hour when your father presented himself. I won’t say what impression his severe face made upon me. Your father had the old theory that a courtesan is a being without heart or reason, a sort of machine for coining gold, always ready, like the machine, to bruise the hand that gives her everything, and to tear in pieces, without pity or discernment, those who set her in motion. | «Vous étiez parti depuis une heure quand votre père se présenta. Je vous fais grâce de l'impression que me causa son visage sévère. Votre père était imbu des vieilles théories, qui veulent que toute courtisane soit un être sans cœur, sans raison, une espèce de machine à prendre de l'or, toujours prête, comme les machines de fer, à broyer la main qui lui tend quelque chose, et à déchirer sans pitié, sans discernement celui qui la fait vivre et agir. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"What a woman—oh, what a woman!" cried the King of Bohemia, when we had all three read this epistle. "Did I not tell you how quick and resolute she was? Would she not have made an admirable queen? Is it not a pity that she was not on my level?" | — Quelle femme ! oh ! quelle femme ! s’écria le roi de Bohême lorsque nous eûmes tous trois achevé de lire cette épître. Ne vous avais-je pas dit combien elle était vive et décidée ? N’aurait-elle pas été une reine admirable ? N’est-il pas dommage qu’elle n’ait pas été de mon rang ? |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |