Translations for reason in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
For twenty-five days of the month the camellias were white, and for five they were red; no one ever knew the reason of this change of colour, which I mention though I can not explain it; it was noticed both by her friends and by the habitue’s of the theatres to which she most often went. She was never seen with any flowers but camellias. At the florist’s, Madame Barjon’s, she had come to be called “the Lady of the Camellias,” and the name stuck to her. | Pendant vingt-cinq jours du mois, les camélias étaient blancs, et pendant cinq ils étaient rouges; on n'a jamais su la raison de cette variété de couleurs, que je signale sans pouvoir l'expliquer, et que les habitués des théâtres où elle allait le plus fréquemment et ses amis avaient remarquée comme moi. On n'avait jamais vu à Marguerite d'autres fleurs que des camélias. Aussi chez madame Barjon, sa fleuriste, avait-on fini par la surnommer la Dame aux Camélias, et ce surnom lui était resté. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"Yes, yes; you have already given me that reason, and I find it excellent." | — Oui, oui, vous m’avez déjà donné cette raison, et je la trouve excellente. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
“MY DEAR ARMAND:—I have received your letter. You are still good, and I thank God for it. Yes, my friend, I am ill, and with one of those diseases that never relent; but the interest you still take in me makes my suffering less. I shall not live long enough, I expect, to have the happiness of pressing the hand which has written the kind letter I have just received; the words of it would be enough to cure me, if anything could cure me. I shall not see you, for I am quite near death, and you are hundreds of leagues away. My poor friend! your Marguerite of old times is sadly changed. It is better perhaps for you not to see her again than to see her as she is. You ask if I forgive you; oh, with all my heart, friend, for the way you hurt me was only a way of proving the love you had for me. I have been in bed for a month, and I think so much of your esteem that I write every day the journal of my life, from the moment we left each other to the moment when I shall be able to write no longer. If the interest you take in me is real, Armand, when you come back go and see Julie Duprat. She will give you my journal. You will find in it the reason and the excuse for what has passed between us. Julie is very good to me; we often talk of you together. She was there when your letter came, and we both cried over it. | «Mon cher Armand, j'ai reçu votre lettre, vous êtes resté bon et j'en remercie Dieu. Oui, mon ami, je suis malade, et d'une de ces maladies qui ne pardonnent pas; mais l'intérêt que vous voulez bien prendre encore à moi diminue beaucoup ce que je souffre. Je ne vivrai sans doute pas assez longtemps pour avoir le bonheur de serrer la main qui a écrit la bonne lettre que je viens de recevoir et dont les paroles me guériraient, si quelque chose pouvait me guérir. Je ne vous verrai pas, car je suis tout près de la mort, et des centaines de lieues vous séparent de moi. Pauvre ami! Votre Marguerite d'autrefois est bien changée, et il vaut peut-être mieux que vous ne la revoyiez plus que de la voir telle qu'elle est. Vous me demandez si je vous pardonne? Oh! de grand cœur, ami, car le mal que vous avez voulu me faire n'était qu'une preuve de l'amour que vous aviez pour moi. Il y a un mois que je suis au lit, et je tiens tant à votre estime que chaque jour j'écris le journal de ma vie, depuis le moment où nous nous sommes quittés jusqu'au moment où je n'aurai plus la force d'écrire. «Si l'intérêt que vous prenez à moi est réel, Armand, à votre retour, allez chez Julie Duprat. Elle vous remettra ce journal. Vous y trouverez la raison et l'excuse de ce qui s'est passé entre nous. Julie est bien bonne pour moi; nous causons souvent de vous ensemble. Elle était là quand votre lettre est arrivée, nous avons pleuré en la lisant. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“You are right. But to-day I have too much need of tears; I can not very well talk. One day I will tell you the whole story, and you will see if I have reason for regretting the poor girl. And now,” he added, rubbing his eyes for the last time, and looking at himself in the glass, “say that you do not think me too absolutely idiotic, and allow me to come back and see you another time.” | —Vous avez raison; mais aujourd'hui j'ai trop besoin de pleurer, et je ne vous dirais que des paroles sans suite. Un jour, je vous ferai part de cette histoire, et vous verrez si j'ai raison de regretter la pauvre fille. Et maintenant, ajouta-t-il en se frottant une dernière fois les yeux et en se regardant dans la glace, dites-moi que vous ne me trouvez pas trop niais, et permettez-moi de revenir vous voir. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“She has very good reason not to. You have done what you were bound to do. You have been more reasonable than she, for she was really in love with you; she did nothing but talk of you. I don’t know what she would not have been capable of doing.” | —Et elle a grandement raison. Vous avez fait ce que vous deviez faire, vous avez été plus raisonnable qu'elle, car cette fille-là vous aimait, elle ne faisait que parler de vous, et aurait été capable de quelque folie. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“Well, there was a sufficient reason why I went in alone.” | —Eh bien, il y avait une bonne raison pour que je rentrasse seule. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“I could not help laughing at the idea that you had been so happy to see me come in alone when there was such a good reason for it.” | —Je n'ai pas pu m'empêcher de rire à l'idée que vous aviez été si heureux de me voir rentrer seule, quand il y avait une si bonne raison pour cela. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
The more I reflected the more I said to myself that Marguerite had no reason for feigning a love which she did not feel, and I said to myself also that women have two ways of loving, one of which may arise from the other: they love with the heart or with the senses. Often a woman takes a lover in obedience to the mere will of the senses, and learns without expecting it the mystery of immaterial love, and lives henceforth only through her heart; often a girl who has sought in marriage only the union of two pure affections receives the sudden revelation of physical love, that energetic conclusion of the purest impressions of the soul. | Plus j'y réfléchissais, plus je me disais que Marguerite n'avait aucune raison de feindre un amour qu'elle n'aurait pas ressenti, et je me disais aussi que les femmes ont deux façons d'aimer qui peuvent résulter l'une de l'autre: elles aiment avec le cœur ou avec les sens. Souvent une femme prend un amant pour obéir à la seule volonté de ses sens, et apprend, sans s'y être attendue, le mystère de l'amour immatériel et ne vit plus que par son cœur; souvent une jeune fille, ne cherchant dans le mariage que la réunion de deux affections pures, reçoit cette soudaine révélation de l'amour physique, cette énergique conclusion des plus chastes impressions de l'âme. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
All these suppositions, as you may see, were improbable enough; but whatever might have been the reason of her consent, one thing was certain, she had consented. | Toutes ces suppositions, comme vous le voyez, étaient assez vraisemblables; mais quelle que fût la raison à son consentement, il y avait une chose certaine, c'est qu'elle avait consenti. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"Well, Jim," says he, "ust see the good that comes of being dainty in your food. You've seen my snufibox, haven't you? And you never saw me take snuff; the reason being that in my snuff-box I carry a piece of Parmesan cheese—a cheese made in Italy, very nutritious. Well, that's for Ben Gunn!" | — Eh bien, Jim, voyez qu’il est parfois bon d’avoir le goût raffiné. Vous connaissez ma tabatière, n’est-ce pas ? et vous ne m’avez jamais vu priser : la raison en est que je garde dans cette tabatière un morceau de parmesan… un fromage fait en Italie, très nutritif. Eh bien ! voilà pour Ben Gunn ! |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
“It is not for that reason.” | —Ce n'est pas pour cette raison. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"Well," said I, "that may be so, and so be it; all the more reason that I should hurry on and join my friends." | — Bien, dis-je, c’est possible, et je vous crois ; mais raison de plus pour que je me dépêche de rejoindre mes amis. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
"And that is the reason I have come to see you.” | — C’est précisément la raison pour laquelle je m’adresse à votre obligeance. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
But she preferred to keep it, to live in a commonplace apartment with her companion, her cook, and a man-servant, rather than sell that inestimable jewel. There was a reason for it; a reason she was not afraid to disclose: the black pearl was the gift of an emperor! Almost ruined, and reduced to the most mediocre existence, she remained faithful to the companion of her happy and brilliant youth. The black pearl never left her possession. She wore it during the day, and, at night, concealed it in a place known to her alone. | Elle ne le voulut point. Elle préféra se restreindre, vivre dans un simple appartement avec sa dame de compagnie, sa cuisinière et un domestique, plutôt que de vendre cet inestimable joyau. Il y avait à cela une raison qu’elle ne craignait pas d’avouer : la perle noire était le cadeau d’un empereur ! Et presque ruinée, réduite à l’existence la plus médiocre, elle demeura fidèle à sa compagne des beaux jours. — Moi vivante, disait-elle, je ne la quitterai pas. Du matin jusqu’au soir, elle la portait à son cou. La nuit, elle la mettait dans un endroit connu d’elle seule. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
Arsene saw no reason why he should not go to the Imbert house the next day. But a perusal of the morning papers revealed this startling fact: Ludovic and Gervaise Imbert had disappeared. | Le lendemain Arsène pensa qu’aucune raison ne l’empêchait de retourner à l’hôtel Imbert. Mais la lecture des journaux lui révéla cette nouvelle imprévue : Ludovic et Gervaise avaient disparu. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
ON leaving his house one morning, at his usual early hour for going to the Law Courts, Chief-inspector Ganimard noticed the curious behaviour of an individual who was walking along the Rue Pergolèse in front of him. Shabbily dressed and wearing a straw hat, though the day was the first of December, the man stooped at every thirty or forty yards to fasten his bootlace, or pick up his stick, or for some other reason. And, each time, he took a little piece of orange-peel from his pocket and laid it stealthily on the curb of the pavement. It was probably a mere display of eccentricity, a childish amusement to which no one else would have paid attention; but Ganimard was one of those shrewd observers who are indifferent to nothing that strikes their eyes and who are never satisfied until they know the secret cause of things. He therefore began to follow the man. | Ce matin-là, en sortant de chez lui, à l’heure ordinaire où il se rendait au Palais de Justice, l’inspecteur principal Ganimard nota le manège assez curieux d’un individu qui marchait devant lui, le long de la rue Pergolèse. Tous les cinquante ou soixante pas, cet homme, pauvrement vêtu, coiffé, bien qu’on fût en novembre, d’un chapeau de paille, se baissait, soit pour renouer les lacets de ses chaussures, soit pour ramasser sa canne, soit pour tout autre motif. Et, chaque fois, il tirait de sa poche, et déposait furtivement sur le bord même du trottoir, un petit morceau de peau d’orange. Simple manie, sans doute, divertissement puéril auquel personne n’eût prêté attention ; mais Ganimard était un de ces observateurs perspicaces que rien ne laisse indifférents, et qui ne sont satisfaits que quand ils savent la raison secrète des choses. Il se mit donc à suivre l’individu. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Pardon me....a bad habit. Because they have taken mine is nor reason why I should take yours. Besides, I have a chronometer here that satisfies me fairly well.” | — Pardonne-moi… une mauvaise habitude… Mais ce n’est pas une raison parce qu’ils m’ont pris la mienne pour que je vous prive de la vôtre. D’autant que j’ai là un chronomètre dont je n’ai pas à me plaindre, et qui satisfait pleinement à mes besoins. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |