Translations for receive in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
“She will receive you better by and bye.” —Elle va mieux vous recevoir.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
The queen remained for a short time to receive the compliments of the city dignitaries and to reply to the salutations of the ladies. All at once the king appeared with the cardinal at one of the doors of the hall. The cardinal was speaking to him in a low voice, and the king was very pale. La reine resta quelque temps à recevoir les compliments de MM. de la ville et à répondre aux saluts des dames. Tout à coup le roi apparut avec le cardinal à l’une des portes de la salle. Le cardinal lui parlait tout bas, et le roi était très pâle.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
M. de Treville, after having written the letter, sealed it, and rising, approached the young man in order to give it to him. But at the very moment when d'Artagnan stretched out his hand to receive it, M. de Treville was highly astonished to see his protege make a sudden spring, become crimson with passion, and rush from the cabinet crying, "S'blood, he shall not escape me this time!" M. de Tréville, après avoir écrit la lettre, la cacheta, et se levant s’approcha du jeune homme pour la lui donner ; mais au moment même où d’Artagnan étendait la main pour la recevoir, M. de Tréville fut bien étonné de voir son protégé faire un soubresaut, rougir de colère et s’élancer hors du cabinet en criant : — Ah, sangdieu ! il ne m’échappera pas, cette fois.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
"In my chosen retreat, I have felt a desire for many things, but my fondest wish was to receive you here.” — Je désirais bien des choses dans la retraite que j’ai choisie… mais aucune plus passionnément que de vous y recevoir.
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc
I began by borrowing five or six thousand francs on my little capital, and with this I took to gambling. Since gambling houses were destroyed gambling goes on everywhere. Formerly, when one went to Frascati, one had the chance of making a fortune; one played against money, and if one lost, there was always the consolation of saying that one might have gained; whereas now, except in the clubs, where there is still a certain rigour in regard to payments, one is almost certain, the moment one gains a considerable sum, not to receive it. You will readily understand why. Gambling is only likely to be carried on by young people very much in need of money and not possessing the fortune necessary for supporting the life they lead; they gamble, then, and with this result; or else they gain, and then those who lose serve to pay for their horses and mistresses, which is very disagreeable. Debts are contracted, acquaintances begun about a green table end by quarrels in which life or honour comes to grief; and though one may be an honest man, one finds oneself ruined by very honest men, whose only defect is that they have not two hundred thousand francs a year. Je commençai à emprunter cinq ou six mille francs sur mon petit capital, et je me mis à jouer, car depuis qu'on a détruit les maisons de jeu on joue partout. Autrefois, quand on entrait à Frascati, on avait la chance d'y faire sa fortune: on jouait contre de l'argent, et si l'on perdait, on avait la consolation de se dire qu'on aurait pu gagner; tandis que maintenant, excepté dans les cercles, où il y a encore une certaine sévérité pour le paiement, on a presque la certitude, du moment que l'on gagne une somme importante, de ne pas la recevoir. On comprendra facilement pourquoi. Le jeu ne peut être pratiqué que par des jeunes gens ayant de grands besoins et manquant de la fortune nécessaire pour soutenir la vie qu'ils mènent; ils jouent donc, et il en résulte naturellement ceci: ou ils gagnent, et alors les perdants servent à payer les chevaux et les maîtresses de ces messieurs, ce qui est fort désagréable. Des dettes se contractent, des relations commencées autour d'un tapis vert finissent par des querelles où l'honneur et la vie se déchirent toujours un peu; et quand on est honnête homme, on se trouve ruiné par de très honnêtes jeunes gens qui n'avaient d'autre défaut que de ne pas avoir deux cent mille livres de rente.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
"And was it also to receive the visit of a lady that Louis the Sixteenth caused the passage to be opened?" Velmont reprit : — Et ce bon Louis XVI, fut-ce également pour recevoir la visite d’une dame, qu’il se fit ouvrir le souterrain ?
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc
“I am very sorry not to have been here to receive you.” —Je regrette bien de ne pas m'être trouvé là pour vous recevoir.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
This affair made a great noise. M. de Treville scolded his Musketeers in public, and congratulated them in private; but as no time was to be lost in gaining the king, M. de Treville hastened to report himself at the Louvre. It was already too late. The king was closeted with the cardinal, and M. de Treville was informed that the king was busy and could not receive him at that moment. In the evening M. de Treville attended the king's gaming table. The king was winning; and as he was very avaricious, he was in an excellent humor. Perceiving M. de Treville at a distance-- L’affaire fit grand bruit, M. de Tréville gronda beaucoup tout haut contre ses mousquetaires et les félicita tout bas ; mais comme il n’y avait pas de temps à perdre pour prévenir le roi, M. de Tréville s’empressa de se rendre au Louvre. Il était déjà trop tard, le roi était enfermé avec le cardinal, et l’on dit à M. de Tréville que le roi travaillait et ne pouvait recevoir en ce moment. Le soir, M. de Tréville vint au jeu du roi. Le roi gagnait, et comme Sa Majesté était fort avare, elle était d’excellente humeur ; aussi, du plus loin que le roi aperçut Tréville :
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
In fact, ten minutes had scarcely passed away when the door of the king's closet opened, and M. de Treville saw M. de la Tremouille come out. The duke came straight up to him, and said: "Monsieur de Treville, his Majesty has just sent for me in order to inquire respecting the circumstances which took place yesterday at my hotel. I have told him the truth; that is to say, that the fault lay with my people, and that I was ready to offer you my excuses. Since I have the good fortune to meet you, I beg you to receive them, and to hold me always as one of your friends." En effet, dix minutes s’étaient à peine écoulées, que la porte du cabinet s’ouvrit et que M. de Tréville en vit sortir le duc de la Trémouille, lequel vint à lui et lui dit : — M. de Tréville, Sa Majesté vient de m’envoyer quérir pour savoir comment les choses s’étaient passées hier matin, à mon hôtel. Je lui ai dit la vérité, c’est-à-dire que la faute était à mes gens, et que j’étais prêt à vous en faire mes excuses. Puisque je vous rencontre, veuillez les recevoir, et me tenir toujours pour un de vos amis.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
The reader hushed herself instantly. All the ladies rose, and there was a profound silence. As to the king, he made no demonstration of politeness, only stopping before the queen. "Madame," said he, "you are about to receive a visit from the chancellor, who will communicate certain matters to you with which I have charged him." La lectrice se tut à l’instant même, toutes les dames se levèrent, et il se fit un profond silence. Quant au roi, il ne fit aucune démonstration de politesse ; seulement, s’arrêtant devant la reine : — Madame, dit-il d’une voix altérée, vous allez recevoir la visite de M. le chancelier, qui vous communiquera certaines affaires dont je l’ai chargé.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
D'Artagnan related the adventure of the preceding day in all its details; how, not having been able to sleep for the joy he felt in the expectation of seeing his Majesty, he had gone to his three friends three hours before the hour of audience; how they had gone together to the tennis court, and how, upon the fear he had manifested lest he receive a ball in the face, he had been jeered at by Bernajoux who had nearly paid for his jeer with his life and M. de la Tremouille, who had nothing to do with the matter, with the loss of his hotel. D’Artagnan raconta l’aventure de la veille dans tous ses détails : comment, n’ayant pas pu dormir de la joie qu’il éprouvait à voir Sa Majesté, il était arrivé chez ses amis trois heures avant l’heure de l’audience ; comment ils étaient allés ensemble au tripot, et comment, sur la crainte qu’il avait manifestée de recevoir une balle au visage, il avait été raillé par Bernajoux, lequel avait failli payer cette raillerie de la perte de la vie, et M. de la Trémouille, qui n’y était pour rien, de la perte de son hôtel.
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas
“Madame can not receive you,” she said in an embarrassed way. —Madame ne peut pas vous recevoir, me dit-elle avec embarras.
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils
“Four years ago, that is to say, in the eleventh year of my voluntary exile, when I settled in the extreme south of Algeria, I made the acquaintance, in the course of a hunting-expedition arranged by a big Arab chief, of a man whose geniality, whose charm of manner, whose consummate prowess, whose indomitable pluck, whose combined humour and depth of mind fascinated me in the highest degree. The Comte d'Andrésy spent six weeks as my guest. After he left, we kept up a correspondence at regular intervals. I also often saw his name in the papers, in the society and sporting columns. He was to come back and I was preparing to receive him, three months ago, when, one evening as I was out riding, my two Arab attendants flung themselves upon me, bound me, blindfolded me and took me, travelling day and night, for a week, along deserted roads, to a bay on the coast, where five men awaited them. I was at once carried on board a small steam-yacht, which weighed anchor without delay. There was nothing to tell me who the men were nor what their object was in kidnapping me. They had locked me into a narrow cabin, secured by a massive door and lighted by a port-hole protected by two iron cross-bars. Every morning, a hand was inserted through a hatch between the next cabin and my own and placed on my bunk two or three pounds of bread, a good helping of food and a flagon of wine and removed the remains of yesterday's meals, which I put there for the purpose. From time to time, at night, the yacht stopped and I heard the sound of the boat rowing to some harbour and then returning, doubtless with provisions. Then we set out once more, without hurrying, as though on a cruise of people of our class, who travel for pleasure and are not pressed for time. Sometimes, standing on a chair, I would see the coastline, through my port-hole, too indistinctly, however, to locate it. And this lasted for weeks. One morning, in the ninth week, I perceived that the hatch had been left unfastened and I pushed it open. The cabin was empty at the time. With an effort, I was able to take a nail-file from a dressing-table. Two weeks after that, by dint of patient perseverance, I had succeeded in filing through the bars of my port-hole and I could have escaped that way, only, though I am a good swimmer, I soon grow tired. I had therefore to choose a moment when the yacht was not too far from the land. It was not until yesterday that, perched on my chair, I caught sight of the coast; and, in the evening, at sunset, I recognized, to my astonishment, the outlines of the Château de Sarzeau, with its pointed turrets and its square keep. I wondered if this was the goal of my mysterious voyage. All night long, we cruised in the offing. The same all day yesterday. At last, this morning, we put in at a distance which I considered favourable, all the more so as we were steaming through rocks under cover of which I could swim unobserved. But, just as I was about to make my escape, I noticed that the shutter of the hatch, which they thought they had closed, had once more opened of itself and was flapping against the partition. I again pushed it ajar from curiosity. Within arm's length was a little cupboard which I managed to open and in which my hand, groping at random, laid hold of a bundle of papers. This consisted of letters, letters containing instructions addressed to the pirates who held me prisoner. An hour later, when I wriggled through the port-hole and slipped into the sea, I knew all: the reasons for my abduction, the means employed, the object in view and the infamous scheme plotted during the last three months against the Duc de Sarzeau-Vendôme and his daughter. Unfortunately, it was too late. I was obliged, in order not to be seen from the yacht, to crouch in the cleft of a rock and did not reach land until mid-day. By the time that I had been to a fisherman's cabin, exchanged my clothes for his and come on here, it was three o'clock. On my arrival. I learnt that Angélique's marriage was celebrated this morning.” « Vous vous rappelez, mon oncle, que j’ai quitté la France depuis quinze ans, après le refus qu’Angélique opposa à ma demande en mariage. Or, il y a quatre ans, c’est-à-dire la onzième année de mon exil volontaire et de mon établissement dans l’extrême-Sud de l’Algérie, je fis la connaissance, au cours d’une partie de chasse organisée par un grand chef arabe, d’un individu dont la bonne humeur, le charme, l’adresse inouïe, le courage indomptable, l’esprit à la fois ironique et profond, me séduisirent au plus haut point. « Le comte d’Andrésy passa six semaines chez moi. Quand il fut parti, nous correspondîmes l’un avec l’autre de façon régulière. En outre, je lisais souvent son nom dans les journaux, aux rubriques mondaines ou sportives. Il devait revenir et je me préparais à le recevoir, il y a trois mois, lorsqu’un soir, comme je me promenais à cheval, les deux serviteurs arabes qui m’accompagnaient se jetèrent sur moi, m’attachèrent, me bandèrent les yeux, et me conduisirent, en sept nuits et sept jours, par des chemins déserts, jusqu’à une baie de la côte, où cinq hommes les attendaient. Aussitôt, je fus embarqué sur un petit yacht à vapeur qui leva l’ancre sans plus tarder. « Qui étaient ces hommes ? Quel était leur but en m’enlevant. Aucun indice ne put me renseigner. Ils m’avaient enfermé dans une cabine étroite percée d’un hublot que traversaient deux barres de fer en croix. Chaque matin, par un guichet qui s’ouvrait entre la cabine voisine et la mienne, on plaçait sur ma couchette deux ou trois livres de pain, une gamelle abondante et un flacon de vin, et on reprenait les restes de la veille que j’y avais disposés. « De temps à autre, la nuit, le yacht stoppait, et j’entendais le bruit du canot qui s’en allait vers quelque havre, puis qui revenait, chargé de provisions sans doute. Et l’on repartait, sans se presser, comme pour une croisière de gens du monde qui flânent et n’ont pas hâte d’arriver. Quelquefois, monté sur une chaise, j’apercevais par mon hublot la ligne des côtes, mais si indistincte que je ne pouvais rien préciser. « Et cela dura des semaines. Un des matins de la neuvième, m’étant avisé que le guichet de communication n’avait pas été refermé, je le poussai. La cabine était vide à ce moment. Avec un effort, je réussis à prendre une lime à ongles sur une toilette. « Deux semaines après, à force de patience, j’avais limé les barres de mon hublot, et j’aurais pu m’évader par là ; mais, si je suis bon nageur, je me fatigue assez vite. Il me fallait donc choisir un moment où le yacht ne serait pas trop éloigné de la terre. C’est seulement avant-hier que, juché à mon poste, je discernai les côtes, et que, le soir, au coucher du soleil, je reconnus, à ma stupéfaction, la silhouette du château de Sarzeau, avec ses tourelles pointues et la masse de son donjon. Était-ce donc là le terme de mon voyage mystérieux ? « Toute la nuit, nous croisâmes au large. Et toute la journée d’hier également. Enfin ce matin, on se rapprocha à une distance que je jugeai propice, d’autant plus que nous naviguions entre des roches derrière lesquelles je pouvais nager en toute sécurité. Mais, à la minute même, où j’allais m’enfuir, je m’avisai que, une fois encore, le guichet de communication que l’on avait cru fermer, s’était rouvert de lui-même, et qu’il battait contre la cloison. Je l’entre-bâillai de nouveau par curiosité. À portée de mon bras, il y avait une petite armoire que je pus ouvrir, et où ma main, à tâtons, au hasard, saisit une liasse de papiers. « C’était des lettres, des lettres qui contenaient les instructions adressées aux bandits dont j’étais prisonnier. Une heure après, lorsque j’enjambai le hublot et que je me laissai glisser dans la mer, je savais tout, les raisons de mon enlèvement, les moyens employés, le but poursuivi, et la machination abominable ourdie, depuis trois mois, contre le duc de Sarzeau-Vendôme et contre sa fille. Malheureusement, il était trop tard. Obligé, pour n’être pas vu du bateau, de me blottir dans le creux d’un récif, je n’abordai la côte qu’à midi. Le temps de gagner la cabane d’un pêcheur, de troquer mes vêtements contre les siens, de venir ici. Il était trois heures. En arrivant j’appris que le mariage avait été célébré le matin même. »
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc
"One day—it was in March, 1883—a letter with a foreign stamp lay upon the table in front of the Colonel's plate. It was not a common thing for him to receive letters, for his bills were all paid in ready money, and he had no friends of any sort. 'From India!' said he, as he took it up, 'Pondicherry postmark! What can this be?' Opening it hurriedly, out there jumped five little dried orange pips, which pattered down upon his plate. I began to laugh at this, but the laugh was struck from my lips at the sight of his face. His lip had fallen, his eyes were protruding, his skin the color of putty, and he glared at the envelope which he still held in his trembling hand. 'K. K. K.!' he shrieked, and then, 'My God, my God, my sins have overtaken me!' Un jour, en mars 83, je vis sur la table de la salle à manger et devant l’assiette du colonel une lettre timbrée de l’étranger. C’était chose peu commune pour lui que de recevoir des lettres car il payait comptant ses factures et n’avait pas d’amis. — Des Indes, dit-il, en prenant la lettre, et de Pondichéry ! Qu’est-ce que cela peut être ? Il l’ouvrit à la hâte : cinq pépins d’orange s’en échappèrent et tombèrent sur son assiette. Je me mis à rire, mais je m’arrêtai court en voyant l’expression de sa figure : ses lèvres s’étaient serrées, ses yeux étaient devenus hagards, sa peau avait pris une teinte de mastic. Il regardait l’enveloppe et sa main était toute tremblante. « K.K.K., s’écria-t-il, mon Dieu ! j’expie mes fautes. »
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle