Translations for recoil in French

Here are paragraphs from public domain books translated:
She made a movement of recoil. She had felt the workman's heavy hand on her hand; and that hateful touch revolted her. Elle eut un mouvement de recul. Elle avait vu sur sa main la main sale de l’ouvrier, et ce contact odieux la révoltait.
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc
But d'Artagnan had on the preceding day served his apprenticeship. Fresh sharpened by his victory, full of hopes of future favor, he was resolved not to recoil a step. So the two swords were crossed close to the hilts, and as d'Artagnan stood firm, it was his adversary who made the retreating step; but d'Artagnan seized the moment at which, in this movement, the sword of Bernajoux deviated from the line. He freed his weapon, made a lunge, and touched his adversary on the shoulder. d'Artagnan immediately made a step backward and raised his sword; but Bernajoux cried out that it was nothing, and rushing blindly upon him, absolutely spitted himself upon d'Artagnan's sword. As, however, he did not fall, as he did not declare himself conquered, but only broke away toward the hotel of M. de la Tremouille, in whose service he had a relative, d'Artagnan was ignorant of the seriousness of the last wound his adversary had received, and pressing him warmly, without doubt would soon have completed his work with a third blow, when the noise which arose from the street being heard in the tennis court, two of the friends of the Guardsman, who had seen him go out after exchanging some words with d'Artagnan, rushed, sword in hand, from the court, and fell upon the conqueror. But Athos, Porthos, and Aramis quickly appeared in their turn, and the moment the two Guardsmen attacked their young companion, drove them back. Bernajoux now fell, and as the Guardsmen were only two against four, they began to cry, "To the rescue! The Hotel de la Tremouille!" At these cries, all who were in the hotel rushed out and fell upon the four companions, who on their side cried aloud, "To the rescue, Musketeers!" Mais d’Artagnan avait fait la veille son apprentissage, et tout frais émoulu de sa victoire, tout gonflé de sa future faveur, il était résolu à ne pas reculer d’un pas : aussi les deux fers se trouvèrent-ils engagés jusqu’à la garde, et comme d’Artagnan tenait ferme à sa place, ce fut son adversaire qui fit un pas de retraite. Mais d’Artagnan saisit le moment où, dans ce mouvement, le fer de Bernajoux déviait de la ligne, il dégagea, se fendit et toucha son adversaire à l’épaule. Aussitôt, il fit, à son tour, un pas de retraite et releva son épée ; mais Bernajoux lui cria que ce n’était rien, et se fendant aveuglément sur lui, il s’enferra de lui-même. Cependant, comme il ne tombait pas, comme il ne se déclarait pas vaincu, mais que seulement il rompait du côté de l’hôtel de M. de La Trémouille au service duquel il avait un parent, d’Artagnan, ignorant lui-même la gravité de la dernière blessure que son adversaire avait reçue, le pressait vivement, et sans doute allait l’achever d’un troisième coup, lorsque la rumeur qui s’élevait de la rue s’étant étendue jusqu’au jeu de paume, deux des amis du garde, qui l’avaient entendu échanger quelques paroles avec d’Artagnan et qui l’avaient vu sortir à la suite de ces paroles, se précipitèrent l’épée à la main hors du tripot et tombèrent sur le vainqueur. Mais aussitôt Athos, Porthos et Aramis parurent à leur tour, et au moment où les deux gardes attaquaient leur jeune camarade, les forcèrent à se retourner. — En ce moment Bernajoux tomba, et comme les gardes étaient seulement deux contre quatre, ils se mirent à crier : « À nous, l’hôtel de La Trémouille ! » À ces cris, tout ce qui était dans l’hôtel sortit, se ruant sur les quatre compagnons, qui de leur côté se mirent à crier : « À nous, mousquetaires ! »
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas