Translations for understand in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
“Thanks,” he said, taking the letters. “Yes,” he added, after glancing at the addresses, “they are from my father and sister. They must have been quite at a loss to understand my silence.” | —Merci, me dit-il en prenant ses lettres. Oui, ajouta-t-il après avoir regardé les adresses, oui, c'est de mon père et de ma sœur. Ils ont dû ne rien comprendre à mon silence. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“I know all that is in these papers by heart,” he said. “For three weeks I have read them ten times over every day. You shall read them, too, but later on, when I am calmer, and can make you understand all the love and tenderness hidden away in this confession. For the moment I want you to do me a service.” | —Je sais par cœur ce que ces papiers renferment, me dit-il. Depuis trois semaines je les ai relus dix fois par jour. Vous les lirez aussi, mais plus tard, quand je serai plus calme et quand je pourrai vous faire comprendre tout ce que cette confession révèle de cœur et d'amour. Pour le moment, j'ai un service à réclamer de vous. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“Well, my friend, you must either love me a little less or understand me a little better. Your letter gave me a great deal of pain. If I had been free, first of all I would not have seen the count the day before yesterday, or, if I had, I should have come and asked your forgiveness as you ask me now, and in future I should have had no other lover but you. I fancied for a moment that I might give myself that happiness for six months; you would not have it; you insisted on knowing the means. Well, good heavens, the means were easy enough to guess! In employing them I was making a greater sacrifice for you than you imagine. I might have said to you, ‘I want twenty thousand francs’; you were in love with me and you would have found them, at the risk of reproaching me for it later on. I preferred to owe you nothing; you did not understand the scruple, for such it was. Those of us who are like me, when we have any heart at all, we give a meaning and a development to words and things unknown to other women; I repeat, then, that on the part of Marguerite Gautier the means which she used to pay her debts without asking you for the money necessary for it, was a scruple by which you ought to profit, without saying anything. If you had only met me to-day, you would be too delighted with what I promised you, and you would not question me as to what I did the day before yesterday. We are sometimes obliged to buy the satisfaction of our souls at the expense of our bodies, and we suffer still more, when, afterward, that satisfaction is denied us.” | —Eh bien, mon ami, il fallait m'aimer un peu moins ou me comprendre un peu mieux. Votre lettre m'a fait beaucoup de peine. Si j'avais été libre, d'abord je n'aurais pas reçu le comte avant-hier, ou, l'ayant reçu, je serais venue vous demander le pardon que vous me demandiez tout à l'heure, et je n'aurais pas à l'avenir d'autre amant que vous. J'ai cru un moment que je pourrais me donner ce bonheur-là pendant six mois; vous ne l'avez pas voulu; vous teniez à connaître les moyens, eh! mon Dieu, les moyens étaient bien faciles à deviner. C'était un sacrifice plus grand que vous ne croyez que je faisais en les employant. J'aurais pu vous dire: j'ai besoin de vingt mille francs; vous étiez amoureux de moi, vous les eussiez trouvés, au risque de me les reprocher plus tard. J'ai mieux aimé ne rien vous devoir; vous n'avez pas compris cette délicatesse, car c'en est une. Nous autres, quand nous avons encore un peu de cœur, nous donnons aux mots et aux choses une extension et un développement inconnus aux autres femmes; je vous répète donc que, de la part de Marguerite Gautier, le moyen qu'elle trouvait de payer ses dettes sans vous demander l'argent nécessaire pour cela était une délicatesse dont vous devriez profiter sans rien dire. Si vous ne m'aviez connue qu'aujourd'hui, vous seriez trop heureux de ce que je vous promettrais, et vous ne me demanderiez pas ce que j'ai fait avant-hier. Nous sommes quelquefois forcées d'acheter une satisfaction pour notre âme aux dépens de notre corps, et nous souffrons bien davantage quand, après, cette satisfaction nous échappe. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“Come, come,” said she, “put these foolish theories to flight, and laugh over them. Life is pleasant, my dear fellow; it all depends on the colour of the glass through which one sees it. Ask your friend Gaston; there’s a man who seems to me to understand love as I understand it. All that you need think of, unless you are quite a fool, is that close by there is a beautiful girl who is waiting impatiently for the man who is with her to go, thinking of you, keeping the whole night for you, and who loves you, I am certain. Now, come to the window with me, and let us watch for the count to go; he won’t be long in leaving the coast clear.” | —Allons, allons, me dit-elle, chassez-moi ces mauvaises théories, et riez; la vie est charmante, mon cher, c'est selon le verre par lequel on la regarde. Tenez, consultez votre ami Gaston, en voilà un qui me fait l'effet de comprendre l'amour comme je le comprends. Ce dont il faut que vous soyez convaincu, sans quoi vous deviendrez un garçon insipide, c'est qu'il y a à côté d'ici une belle fille qui attend impatiemment que l'homme qui est chez elle s'en aille, qui pense à vous, qui vous garde sa nuit et qui vous aime, j'en suis certaine. Maintenant venez vous mettre à la fenêtre avec moi, et regardons partir le comte qui ne va pas tarder à nous laisser la place. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“You must be at a loss to understand,” he went on, sighing sadly, “for what purpose an unknown visitor, at such an hour, in such a costume, and in tears, can have come to see you. I have simply come to ask of you a great service.” | —Vous ne devez pas comprendre, reprit-il en soupirant tristement, ce que vous veut ce visiteur inconnu, à pareille heure, dans une pareille tenue et pleurant comme il le fait. Je viens tout simplement, monsieur, vous demander un grand service. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"What is that?" asked the queen, who did not understand, or rather was not willing to understand. | — Laquelle ? demanda la reine, qui ne comprenait pas, ou plutôt qui ne voulait pas comprendre. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"Ah, the others!" returned John. "They're a nice lot, ain't they? You say this cruise is bungled. Ah! by gum, if you could understand how bad it's bungled, you would see! We're that near the gibbet that my neck's stiff with thinking on it. You've seen 'em, may be, hanged in chains, birds about 'em, seamen p'inting 'em out as they go down with the tide. "Who's that?' saysone. "That! Why, that's John Silver. I knowed him well," says another. "And you can hear the chains a-jangle as you go about and reach for the other buoy. Now, that's about where we are, every mother's son of us, thanks to him, and Hands, and Anderson, and other ruination fools of you. And if you want to know about number four, and that boy, why, shiver my timbers! isn't he a hostage? Are we going to waste a hostage? No, not us; he might be our last chance, and I shouldn't wonder. Kill that boy? not me, mates! And number three? Ah, well, there's a deal to say to number three. May be you don't count it nothing to have a real college doctor come to see you every day—you, John, with your head broke—or you, George Merry, that had the ague shakes upon you not six hours agone, and has your eyes the color of lemon peel to this same moment on the clock? And maybe, perhaps, you didn't know there was a consort coming, either? But there is, and not so long till then; and we'll see who'll be glad to have a hostage when it comes to that. And as for number two, and why I made a bargain—well, you came crawling on your knees to me to make it—on your knees you came, you was that down-hearted—and you'd have starved, too, if I hadn't—but that's a trifle! you look there—that's why!" | — Ah ! oui ! les autres ! C’est du joli, n’est-ce pas ? Vous dites que cette croisière est gâchée ? Ah ! crédié ! si vous pouviez comprendre à quel point elle l’est !… Nous sommes si près du gibet que mon cou se roidit déjà rien que d’y penser. Vous les avez vus, hein, les pendus, enchaînés, avec des oiseaux voltigeant tout autour… et les marins qui les montrent du doigt en descendant la rivière avec la marée… « Qui est celui-là ? » dit l’un. « Celui-là ? Tiens ! mais c’est Long John Silver ; je l’ai bien connu », dit un autre… Et l’on entend le cliquetis des chaînes quand on passe et qu’on arrive à la bouée suivante. Or donc, voilà à peu près où nous en sommes, nous tous fils de nos mères, grâce à lui, et à Hands, et à Anderson, et autres calamiteux imbéciles d’entre vous. Et si vous voulez savoir ce qui concerne le numéro quatre, et ce garçon, mais, mort de mes os ! n’est-il pas un otage ? Allons-nous donc perdre un otage ? Non, jamais : il serait notre dernier espoir que ça ne m’étonnerait pas. Tuer ce garçon ? jamais, camarades ! Et le numéro trois ? Eh bien, il y a beaucoup à dire, sur le numéro trois. Peut-être ne comptez-vous pour rien d’avoir un vrai docteur d’université qui vous visite chaque jour… toi, John, avec ton crâne fêlé… ou bien toi, George Merry, qui tremblais la fièvre il n’y a pas six heures, et qui à la présente minute as encore les yeux couleur peau de citron ? Et peut-être ne savez-vous pas non plus qu’il doit venir une conserve, hein ? Mais cela est ; vous n’aurez pas longtemps à l’attendre, et nous verrons alors qui sera bien aise d’avoir un otage lorsqu’on en sera là. Et quant au numéro deux : pourquoi j’ai conclu un marché… mais vous m’avez supplié à genoux de le faire… car vous vous traîniez à genoux, tant vous étiez abattus… et vous seriez morts de faim, d’ailleurs, si je ne l’avais pas fait… Mais ce n’est là qu’une bagatelle ! tenez, regardez : voilà ma vraie raison ! |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
I began to dimly understand. | Je commençais vaguement à comprendre. Je l’interrogeai : |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
"I thought of the fifty guineas, and of how very useful they would be to me. 'Not at all,' said I, 'I shall be very happy to accommodate myself to your wishes. I should like, however, to understand a little more clearly what it is that you wish me to do.' | Je pensai aux cinquante guinées qui tombaient si à point. « — Avant tout, dis-je, je serai très heureux de me conformer à vos désirs. Je voudrais cependant comprendre un peu plus clairement ce que vous me demandez. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"What I cannot understand," said I, "is why they should have spared you when they found you lying fainting in the garden. Perhaps the villain was softened by the woman's entreaties." | — Ce que je ne puis comprendre, dis-je, c’est qu’ils vous aient épargné quand ils vous ont trouvé évanoui dans le jardin. Peut-être le misérable se sera-t-il laissé attendrir par cette femme ? |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"I'm beginning to understand. It's blackmail. . . ·" | « Je commence à comprendre, c’est du chantage… |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
Your father had written me a very polite letter, in order that I might consent to see him; he did not present himself quite as he had written. His manner at first was so stiff, insolent, and even threatening, that I had to make him understand that I was in my own house, and that I had no need to render him an account of my life, except because of the sincere affection which I had for his son. | «Votre père m'avait écrit une lettre très convenable pour que je consentisse à le recevoir; il ne se présenta pas tout à fait comme il avait écrit. Il y eut assez de hauteur, d'impertinence et même de menaces, dans ses premières paroles, pour que je lui fisse comprendre que j'étais chez moi et que je n'avais de compte à lui rendre de ma vie qu'à cause de la sincère affection que j'avais pour son fils. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“Pray take a seat, Sir Henry. Do I understand you to say that you have yourself had some remarkable experience since you arrived in London?” | « Veuillez vous asseoir, sir Henry, fit-il. Dois-je comprendre que depuis votre court séjour à Londres, vous avez été l’objet de quelque aventure ? |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
"You may address me as the Count Von Kramm, a Bohemian nobleman. I understand that this gentleman, your friend, is a man of honor and discretion, whom I may trust with a matter of the most extreme importance. If not, I should much prefer to communicate with you alone." | — Au comte de Kramm, si vous permettez, gentilhomme bohémien. Je crois comprendre que monsieur ici présent, votre ami, est un homme d’honneur et de discrétion à qui je puis confier une affaire de la plus haute importance. S’il en était autrement, je préférerais conférer avec vous seul. » |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
In the meantime, the host, who entertained no doubt that it was the presence of the young man that drove the stranger from his hostelry, re-ascended to his wife's chamber, and found d'Artagnan just recovering his senses. Giving him to understand that the police would deal with him pretty severely for having sought a quarrel with a great lord--for the opinion of the host the stranger could be nothing less than a great lord--he insisted that notwithstanding his weakness d'Artagnan should get up and depart as quickly as possible. D'Artagnan, half stupefied, without his doublet, and with his head bound up in a linen cloth, arose then, and urged by the host, began to descend the stairs; but on arriving at the kitchen, the first thing he saw was his antagonist talking calmly at the step of a heavy carriage, drawn by two large Norman horses. | Pendant ce temps l’hôte, qui ne doutait pas que ce ne fût la présence du jeune garçon qui chassât l’inconnu de son hôtellerie, était remonté chez sa femme et avait trouvé d’Artagnan maître enfin de ses esprits. Alors, tout en lui faisant comprendre que la police pourrait bien lui faire un mauvais parti pour avoir été chercher querelle à un grand seigneur, car, à l’avis de l’hôte, l’inconnu ne pouvait être qu’un grand seigneur, il le détermina, malgré sa faiblesse, à se lever et à continuer son chemin. D’Artagnan, à moitié abasourdi, sans pourpoint et la tête tout emmaillotée de linges, se leva donc, et poussé par l’hôte, commença de descendre ; mais en arrivant à la cuisine, la première chose qu’il aperçut fut son provocateur qui causait tranquillement au marchepied d’un lourd carrosse attelé de deux gros chevaux normands. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
But his eyes, wide with wonder, remained fixed upon his clothes; and he himself seemed not to understand. | Mais ses yeux écarquillés ne quittaient pas son vêtement, et il paraissait n’y rien comprendre, lui non plus. |
The Confessions of Arsene Lupin, by Maurice Leblanc | Les Confidences d’Arsène Lupin, de Maurice Leblanc |
"Oh, you are the young person who cannot understand plain English, are you? My general conclusions you are good enough to approve, as I understand?" | — Ah ! oui… vous êtes le jeune homme qui n’arrive pas à comprendre le bon anglais ; mais vous daignez, je crois, approuver mes conclusions générales ? |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |
“I could not quite understand the object of your questions this morning, Sir Henry,” said he. “I trust that they do not mean that I have done anything to forfeit your confidence?” | « — Je cherche vraiment, sir Henry, à comprendre l’objet de vos questions, dit-il. J’espère qu’elles ne tendent pas à établir que j’ai fait quoi que ce soit pour perdre votre confiance. » |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
She laughed at the elasticity of my character. "Well, in the first place, I don't think my ideal would speak like that," said she. "He would be a harder, sterner man, not so ready to adapt himself to a silly girl's whim. But, above all, he must be a man who could do, who could act, who would look Death in the face and have no fear of him—a man of great deeds and strange experiences. It is never a man that I should love, but always the glories he had won; for they would be reflected upon me. Think of Richard Burton! When I read his wife's life of him I could so understand her love! And Lady Stanley! Did you ever read the wonderful last chapter of that book about her husband? These are the sort of men that a woman could worship with all her soul, and yet be the greater, not the less, on account of her love, honoured by all the world as the inspirer of noble deeds." | Tant de souplesse la fit rire. — Et d’abord, je crois que mon idéal ne parlerait pas ainsi. Je l’imagine plus raide, moins prompt à se plier aux caprices d’une petite sotte. Par-dessus tout, ce serait un homme d’action ; il chercherait le risque et la prouesse ; il saurait regarder la mort en face. J’aimerais en lui non pas lui-même, mais sa gloire, pour ce qui en rejaillirait sur moi. Pensez à Richard Burnton : l’histoire de sa vie écrite par sa femme m’aide tellement à comprendre l’amour qu’elle avait pour lui ! Et lady Stanley ? Avez-vous jamais lu l’admirable dernier chapitre du livre qu’elle a consacré à son mari ? Voilà l’espèce d’homme qu’une femme peut adorer de toute son âme : car elle s’en trouve, aux yeux du monde, non pas diminuée, mais grandie, comme l’inspiratrice de nobles gestes ! |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |
"I am bound to say, sir," said Lord John, with some sternness of voice, "that your turning up is a considerable relief to us, for our mission seemed to have come to a premature end. Even now I can't for the life of me understand why you should have worked it in so extraordinary a manner." Instead of answering, Professor Challenger entered, shook hands with myself and Lord John, bowed with ponderous insolence to Professor Summerlee, and sank back into a basket-chair, which creaked and swayed beneath his weight. | — Certes, monsieur, répondit lord Roxton avec une certaine sévérité, votre arrivée me soulage d’un grand poids : car notre mission me semblait prématurément terminée. Mais, sur ma vie, je n’arrive pas encore à comprendre pourquoi vous agissez envers nous d’une façon si singulière. Sans répondre, Challenger entra, serra la main de lord Roxton et la mienne, s’inclina devant Summerlee avec une impertinente gravité, et se laissa choir dans un fauteuil d’osier, qui frémit et craqua sous sa masse. |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |